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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

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Nouvelles et petits détails

Avant-propos

Salut ! ^-^
En tant qu’auteur, je dois bien marquer un petit mot avant mes nouvelles. Cette fic n’est pas une histoire continue : c’est un magma de petites histoires (comme l’indique le titre) ou, la plupart du temps, le personnage principal est Sheik (que je considère comme un personnage indépendant).
Donc il n’y aura pas de fin.
Voilà, Voilà… en espérant que cette fic va vous plaire.

Latiana

UNE DERNIERE FOIS

— Aouch !! Ma tête !

Comme toujours, Sheik se fracassa la tête contre la poutre, au-dessus de son lit ; et le voilà partit pour être de mauvaise humeur !

— Quelle idée de vernir à Termina ! Félicitations, cher Daphné Nohansen Hyrule, votre fille, Zelda a les idées les plus inimaginables d’Hyrule !

Parvenu à la grande salle à manger –somptueuse- du roi Zora, qui avait si gentiment invité la famille royale d’Hyrule à Termina, Sheik arrêta de pester.

— Bonjour, Sheik. fit la princesse Zelda. Comment vas-tu ?
— Bonjour, Votre Altesse . lui répondit le Sheikah en s’inclinant. Je vais bien, merci. Et vous ?
— Très bien, merci. C’était une bonne idée de venir ici…Termina est vraiment une très belle région !

Il faut dire que cela fait 2 mois que Termina n’était plus en guerre, et la princesse n’avait que 8 ans. C’est la première fois que Zelda quitte la province d’Hyrule.

— Moi et Père ont une surprise pour ton anniversaire, reprit Zelda. Suis-moi.

Sheik suivit donc sa protégée (et oui, Impa était en voyage !) à travers les couloirs du château Zora.

— Joyeux anniversaire… chantonna la fillette.

Le Sheikah n’en cru pas ses yeux : Une épée et un bouclier !! Oui mais attention, pas n’importe quelle épée ; la lame taillée dans du cristal de roche bleu hyper-résistant, et le pommeau nacré, avec le signe de la Triforce à l’extrémité !

Le bouclier non plus n’était pas banal ; d’un bleu translucide, assorti à la lame de l’épée, frappé lui aussi du signe de la sainte Triforce et d’un « S » en argent.

— Tu as 13 ans et voilà maintenant 4 ans que tu me protèges avec Impa. Père voulait te remercier ! Cela te plaît au moins ? demanda la princesse.
— Oh… euh…Ah… voui ! Balbutia Sheik. Berci…euh, merci !

Zelda rigola en voyant ainsi son ami. Lui d’habitude imperturbable !

* * *

Après ce moment, retrouvons Sheik dans une taverne, derrière un inconnu assez étrange et emmitouflé dans une cape noire.

— Salut, comment tu t’appelles ? fit l’homme en se retournant.

Ce n’était pas un Hylien, oh que non ! il avait la peau mat, les cheveux roux et les oreilles courtes dont une portait un anneaux. C’était un Gerudo.

— Mon nom est Ganondorf, poursuivit l’inconnu dont le silence du jeune Sheikah impatientait.

J’ai 18 ans et j’ai été banni de la Vallée Gerudo pour une question de trône. Je cherche quelqu’un qui pourrait m’aider .

— Je m’appelle Sheik. Je vis à Hyrule et je ne pourrais t’aider que là-bas…
— Quand rentre-tu ?
— La semaine prochaine.
— Ou habite-tu ?
— Au château d’Hyrule.
— Bien. Dans une semaine, je viendrais te voir à Hyrule.

Sur ce, le Gerudo s’en alla.

* * *

Une semaine passa et il était temps pour la famille royale de rentrer à Hyrule.

— Sheik, toi qui sais si bien dessiner…
— Disons que je me débrouille en dessin, rien de plus, princesse.
— Mais, non ! Tu dessines super bien !
— Si vous voulez…
— Peux-tu me dessiner le paysage magnifique que l’on voit ?
— Je ne vous promets rien…

Après deux heures de travail acharné, Sheik posa son fusain et montra le tableau à sa protégée.

— OoOoOoh ! fit Zelda. Il est magnifique!! Merci, Sheik !

Le roi d’Hyrule, suivi du roi Zora, apparut derrière eux.

— Regardez, Père, le beau dessin que m’a fait Sheik ! s’exclama Zelda
— Oui, il est absolument remarquable !
— Tu es très doué ! remarqua le roi Zora.

Sheik sentit la fierté l’envahir.

— Eh ! Sheik ! s’écria la princesse. Tu es tout rouge !
— Même pas vrai ! marmonna le Sheikah, dont les mots de la fillette accentuaient la couleur sur ses joues.

* * *

Voilà deux jours que Sheik était revenu à Hyrule, et l’inconnu n’avait pas donné signe de vie.

Le Sheikah était en train de s’exercer avec sa «  panoplie de petit guerrier parfait » .

Une main se plaqua sur sa bouche.

— C’est moi…entendit Sheik.

Il se retourna .

— Tu es en retard ! fit-il .
— Je t’avais dis : « Dans une semaine… ».Je n’ai pas dis « jours pour jours ». rectifia Ganondorf.
— Comment est-tu entré ici ? Il y a des gardes à chaque mètre…
— Tu exagères ! coupa le Gerudo. Et puis, n’oublies pas que je viens d’un peuple de voleuses-même si je n’approuve pas ce genre de comportement…

Cette fois, Ganondorf ne portait pas sa cape noir. Sheik se sentit minable face à lui .

Ses yeux d’un brun allant sur le gris étaient remplit d’une incroyable tendresse contrastant avec sa forte musculature. Ses cheveux étaient rouges-feu et sa peau brune.

Ganon et Sheik discutèrent encore longtemps de leur passé.

* * *

— Que voulait-tu à la taverne de l’autre fois ? demanda Sheik, au bout d’un moment.
— Connaît-tu des personnes d’une vingtaine d’années, sachant se battre et n’ayant aucun but dans la vie ?
— C’est tout ? Attends, je reviens dans un quart d’heure !

Ganon vit le jeune Sheikah s’éloigner. Non, il ne voulait pas tuer Nabooru (c’était son amie d’enfance); seulement lui faire comprendre qui était le chef des Gerudos.

Sheik arriva avec une quinzaine de personnes, toutes décidées à suivre Ganondorf.

Après quelques minutes, avant de partir reprendre sa place parmi les siens-ou plutôt les siennes- , le Gerudo se retourna vers Sheik :

— Veux-tu venir ? demanda-t-il
— ………..Je ne sais pas…..J’ai encore des difficultés pour combattre…..répondit le jeune Sheikah.
— Je t’apprendrais !
— Non, désolé, mais non. C’est vrai, je suis tenter, mais je suis un Sheikah, et je dois servir la famille royale…Désolé…
— Bon, tant pis…soupira Ganon .

Et il s’élança vers la Vallée Gerudo, suivi de ses compagnons. Sheik les regarda partir avec regrets…

* * *

Neuf ans passent et Sheik a, à présent, l’age pour combattre à la guerre – ce qu’il faisait en ce moment, d’ailleurs.

Ganondorf ? Tout le monde le connaît. C’est un vil homme, à la recherche de la Triforce, et qui fera tout, absolument tout, pour la retrouver.

Sheik entendit un hennissement derrière lui. Il se retourne et se retrouve par terre, face à son ancien ami.

Impossible ! Ce n’est pas lui ! pense Sheik.

Au milieu de la haine qu’il y a dans les yeux rouges de Ganon, Sheik aperçut de la peine.

— Je ne voulais pas faire de toi mon ennemi. murmura Ganon

La guerre se termina. Les Hyliens ont perdu.

Ganondorf lança un dernier regard à Sheik. Un dernier regard, une …dernière…fois.

Puis, il partit.

Ailleurs, peut-être…

Termina, solstice d’été.

Komeri se releva. Ou était-elle ? Au-delà s’étalaient des montagnes au nord, un océan à l’ouest et … des gens en face d’elle.

Ou plutôt des elfes, vu leurs fines oreilles ; de toute façon, là n’était pas le problème.

— C’est ici, Majesté ! s’écria une voix au-dessus du bruit de la foule.
— Mais voyons, écartez vous ! lança une voix ferme et autoritaire.

La foule se dissipa, laissant place à un homme d’un certain age (hum…pardon Nohansen…).

Une jeune femme de 17 ans l’accompagnait.

— Une Gérudo ! Ici ! s’exclama l’homme.
— Les Gérudos ne savent plus quoi trouver pour provoquer une guerre ! Catapulter leurs propres guerrières ! Mais franchement ! ironisa un jeune homme, derrière Komeri .
— Sheik ! s’indigna la femme .
— Mmmmoui ? répondit le dénommé Sheik, faisant mine de regarder les ongles de sa main.

Ce qui frappa Komeri, c’était leurs vêtements , d’une autre époque .

— Permettez ? demanda Sheik, en s’approchant d’elle .Hum… des oreilles de Gérudos…Une peau Hylienne…
— Un Hybride ? demanda le vieil homme.
— Je ne qualifierai pas ça d’« Hybride », Majesté ; plutôt d’ « humaine ».
— Humaine ? quel étrange nom ! Fit la femme .
— Et tu as trouvé ça tout seul, Sheik ? lança un homme dans la foule.
— Parfaitement ! répondit-il. Mademoiselle, si vous voulez bien me suivre…

Komeri mit un moment à réaliser que le dénommé Sheik lui parlait. Celui-ci lui tendait la main.

* * *

— Dites…Monsieur Sheik… fit timidement Komeri.

Au milieu de la plaine d’Hyrule galopait le cheval noir du Sheikah

— Appelles moi Sheik tout court, coupa celui-ci. Que veut-tu ?
— Ou suis-je ? Et pourquoi ? Et ou allons nous ???
— Hou là ! je sature ! Une question à la fois !
— Ou-je-suis ? articula t-elle
— C’est pas une raison de me parler comme ça…bougonna-t-il. Ici, tu es sur les terres d’Hyrule.
— Pourquoi ?
— ………………ben …………….j’sais pas.
— Ah. Ou nous allons ?
— A la ville d’Hyrule.
— Et qui êtes-vous ?
— …Quelqu’un… répondit Sheik, un sourire énigmatique sur les lèvres.
— Et ceux qui étaient avec vous ? L’homme et la femme ?
— L’homme est Daphnés Nohansen Hyrule, le roi d’Hyrule. La femme est la princesse Zelda, la fille du roi.

* * *

— Tu en as mis du temps, à revenir !!! s’exclama la jeune fille devant Sheik, au beau milieu de la ville.

— Excuse moi, un petit imprévu…
— Et c’est ça ton petit imprévu ? fit-elle en désignant Komeri, qui s’était endormie sur le cheval, après une nuit de voyage à travers tout le pays.
— Euh, oui…Sheila, je te présente Komeri ! déclama Sheik.

La dénommé Sheila s’avança vers le cheval, une lueur malicieuse dans le regard.

— Soeurette, que va tu faire ? demanda Sheik
— Môôa ? Mais rien !

Et elle donna une tape à l’arrière-train du cheval. Dans un hennissement, le cheval s’élança au galop, laissant la pauvre Komeri dans la poussière.

— Magnifique, sœurette ! lança ironiquement le Sheikah avant d’aller aider Komeri à se relever. Je n’aurais pas fait mieux moi-même !

Sheila haussa les épaules.

* * *

— Euh… Sheik, ou sommes nous ?
— Dans le temple d’Hyrule, ma chère Komeri. Nous allons tenter, moi et le sage, de te renvoyer dans ton monde…enfin, dans le futur…
— Vous connaissez plus de choses que vous le faites croire…Qui êtes vous ?

Le sage se releva, dans un craquement de dos (niark, niark !).

— Ça y est ! lança t-il comme un enfant qui attendrait le père noël.

Sheik amena Komeri au centre du cercle tracé par le sage, et revint sur ses pas.

— Est-ce qu’on se reverra ? demanda Komeri au Sheikah
— Ailleurs, peut-être…

Tout devint flou. Komeri quitta le sol, et perdit connaissance.

* * *

La porte s’ouvrit brusquement, réveillant en sursaut Komeri.

— Debout ! hurla sa mère.

Et la porte se referma.

Komeri se leva, prit son petit déjeuner, s’habilla, et partit pour le collège.

Son premier jour de collège en 3°.

Mais ce n’était pas le fait de rencontrer des professeurs sévères, ou de ne plus être avec sa seule amie en classe qui l’inquiétait.

Ce rêve, qu’elle avait fait, était-ce vraiment un rêve ? Il semblait si réel…

Komeri est en 3°B, sans sa meilleure amie, mais avec des profs qu’elle connaissait ; sauf son prof principal : M. Ferrin. Elle entra dans la salle.

— Bonjour, je m’appelle M. Ferrin. Je serai votre professeur de Sciences Physiques, ainsi que votre professeur principal.

Komeri n’en crut pas ses yeux : cet homme, c’était Sheik !

Interview.

Jingle

Latiana — Bonjour, bonjour! Aujourd’hui, nous allons interviewer les acteurs du célèbre jeu Zelda : The wind waker ! Avec nous, les acteurs de Link, Zelda et de Ganondorf ; alias Robert, Sandy et Eric. ( fin du jingle)

Sandy (contente) — Salut !

Eric — Salut.

Robert — Gnn…

Latiana — Euh…Oui! Les questions ! Alors, commençons par Eric !

Eric (sourire ravageur) — Je vous écoute.

Sandy — Qu’est-ce qu’il est beau !!

Latiana — (tousse). Vous jouez le rôle de Ganondorf : est-ce cela a été difficile d’être le méchant ?

Eric — Non, c’était très simple. Beaucoup plus facile qu’il n’y paraisse.

Latiana — Vous n’avez pas peur d’avoir mauvaise réputation, maintenant ?

Eric — Mais non, voyons…

Sandy (agressive) — De toute façon, ce n’est qu’un rôle.

Latiana (imperturbable) — A vous Sandy, Vous jouez Zelda et Tetra. Combien de temps mettez-vous pour la coiffure chaque jour ?

Sandy — Ça durait 1h30 pour la coiffure de Tetra- en passant, cette coiffure était HORRIBLE-et 30 min pour la coiffure de Zelda.

Latiana — A vous Robert…

Robert — Gnnoui ?

Latiana — A ce qu’il paraît, vous avez pris la grosse tête…L’alcool, la drogue, etc.…

Robert (Menteur comme pas deux) — Connais pas. Ce ne sont que des rumeurs…

Latiana — Voilà pourquoi vous sentez l’alcool à deux kilomètres à la ronde…Euh, revenons à Eric : Êtes-vous libre ce soir ?

Eric — Non j’ai une conférence pour la paix dans le monde.

Sandy — Vous savez Eric ne ferait pas de mal à une mouche

Une mouche passe… (quel hasard !)

Eric (à la mouche) — Oh bonjour, petite mouche ! comment t’appelles tu ?

Latiana — Bon voilà les 5 minutes sont passés… jingle C’était Latiana, « Toutes les réponses à vos questions » (qui a eu l’idée d’un truc aussi pourri…) ; à vous les studios !

Qui es-tu ?   Je suis moi…

— Aïïïe ! Mais c’est pas vrai !

Encore une fois, Sheik se prit en pleine figure la poutre au-dessus de son lit (enfin, celui qu’il utilise quand il est à Termina).Il faut qu’il se dépêche, sinon, il va être en retard.

Et comme toujours, il va être de mauvaise humeur.

Ca varie pas beaucoup.

Environ un siècle et demi après, la porte de la chambre de Komeri s’ouvrit.

Tenshi, sa sœur, entra avec un plateau dans les mains.

— Coucou ! annonça-t elle joyeusement.

Komeri ne voyait pas pourquoi un « coucou » si joyeusement lancé la mettrait de bonne humeur.

C’est Mercredi matin et son prof d’histoire s’est sentie obliger de la collée parce qu’elle avait rendu feuille blanche au contrôle.

— Pourquoi je dois y aller ? demanda-t elle.
— Komeri, il faut que tu travaille à l’école. Lui répondit sa petite sœur. Regarde maman elle se tue au travail pour nos études.
— On a une bourse, Tenshi…
— Oui mais quand même… Depuis que papa a disparu dans la nature, elle fait tout pour que l’on soit heureuses.

* * *

Komeri se retrouva face à la porte de la salle d’histoire. Elle toqua. Le ciel va lui tomber sur la tête.

Et bien non ce n’est pas le ciel qui arrive a grande allure, mais son professeur de sciences physiques.

— M. Ferrin ???
— Komeri, mais qu’est-ce que tu fais là ?!?
— Et bien ma prof d’his… euh, ma professeur d’histoire m’a collée…Alors…
— Mais elle est malade …
— C’est vrai ??????

Komeri se retint de ne pas hurler de joie. Elle n’avait jamais aimé l’histoire et encore moins la géographie.

— Mais je vais me faire un plaisir de la remplacer. acheva M. Ferrin.

Mais si Komeri n’avait pas montré sa joie, elle insista par contre à exprimer sa déception.

— Komeri… se désola son prof. Tu as une excellente moyenne partout, sauf en histoire. Ecoute, je suis calé en histoire ; si tu veux tu me dis où tu as des difficultés et je t’aiderais.

Komeri sourit. Il est cool, M. Ferrin, pense-t elle. Et il ressemble tellement à Sheik.

* * *

En une demi-heure, Komeri avait appris toutes les dates importantes de 6°,5° ,4° et 3°.

— Monsieur. Appela-t elle.
— Oui, Komeri ?

Le jeune homme était en train de regarder le programme d’histoire, carrément allongé sur le bureau.

— J’ai fait un rêve étrange au début de l’année.

Pourquoi avait-elle dit cela ?

Il fallait qu’elle le dise à quelqu’un. La seule personne de confiance dans son entourage était sa sœur. Mais Tenshi n’aurais pas compris.

Le prof s’assit, afin d’être à la même hauteur que son élève.

— J’étais dans une époque inconnue, peut-être le Moyen-age, et vous étiez là.

continua Komeri. Mais je ne vous avait jamais rencontré avant. Comment vous pouvez expliquer ça ?

Son professeur resta pensif un moment.

Finalement, il déclara :

— Je ne sais pas.

Komeri fut déçue. Et peut-être que ce n’était qu’un simple rêve. Tous les espoirs que ce rêve soit réel avaient disparu. Elle se sentait seule. Une profonde détresse l’envahit.

A la fin de l’heure de colle, alors que Komeri quittait la salle, son prof de sciences physiques lui dit :

— Ce que tu m’as dit tout à l’heure… Je ne pense pas que ça soit un simple rêve.

Komeri s’en alla. Elle se posait plein de question au sujet de Sheik et de M. Ferrin.

— Mais qui es-tu ? murmura-t elle assez doucement pour que personne ne l’entende.
— Je suis moi… répondit Sheik.

« Entre les doigts » ou « Les Kokiri ne seront jamais grands »

Komeri ouvrit les yeux ; encore un rêve ; elle inspecta les environs, allongée sur le dos. Mais où était-elle encore atterrie ?

Ce paysage ressemblait à la place du village de Termina…Il avait terriblement changé, par contre.

Toutes les maisons étaient brûlées et la fontaine au centre était souillée de nombreux graffitis. Mais le plus écœurant, c’était l’odeur de pourriture qui régnait. Et pour cause, des cadavres jonchaient le sol, comme des fleur dans un champs le printemps ( l’allusion est plutôt étrange, mais bon…).

Une créature aux yeux globuleux s’approcha d’elle. Elle colla son visage contre celui de la jeune fille. Elle haletait, la langue pendante, dégageant une odeur fétide.

— Maître ! postillonna la créature. J’ai trouvé un résistant !

Komeri grimaça de dégoût lorsque la salive de la bestiole arriva sur son visage. Doucement, elle essaya de se dégager de l’étreinte du monstre. Mais celui-ci ne lâchait pas prise ; il était tellement fier de ce qu’il avait trouvé. Il en bavait. Komeri sentit sur son bras nu un liquide tomber et glisser par terre. L’attente était insupportable.

— Ma poupée tu vas crever,

le maître va t’assassiner.

Donne-moi le nom de tes parents,

Je leur enverrais tes tripes avec un joli ruban.

La créature commença à chanter à tue-tête. Ses yeux étaient à présent injectés de sang.

— Obake ? Tonna une voix grave et puissante.
— Maître ! j… j’ai trouvé un résistant !
— Voyons voir…

La créature laissa place à un homme démesurément grand. Il était roux, avait la peau bronzée virant sur le vert. Ses yeux rouges étaient froids et ne laissaient place à aucune pitié. Cet homme était Ganondorf. Finalement, il déclara aux hommes derrière lui :

— Aller, embarquez la !
— Et ben non !!! fit une voix au-dessus de leurs têtes.

Un homme vêtu de bleu s’élança de son perchoir. Il brandit des lames qu’il lança dans la gorges de certains soldats.

— Sheik !!! s’écria Komeri.

Si le vol n’était pas mal, l’atterrissage aurait eu la première place à vidéo gag.

— ATTRAPEZ-MOI CE BOUT EN TRAIN !!!! hurla Ganon, furieux qu’on lui vole le rôle principal.

L’idiot en question profita de la cohue générale pour rejoindre Komeri. Il égorgea Obake, toujours agglutiner à la jeune fille.

Ensemble, ils sortirent de la ville.

* * *

— Mon dieu, mais c’est quoi ce rêve ??! pensa Komeri en réalisant l’ampleur de la situation.

Elle était assise sur Senpuu, l’étalon noir de Sheik, et derrière le Sheikah en question.

Des hordes de monstres sanguinaires les suivaient de près.

— Voilà ce qui arrive quand on atterri n’importe où ! lança Sheik à l’humaine.

Il s’arrêta brusquement. Les poursuivants le dépassèrent d’une bonne dizaine de mètres avant de se rendrent compte que Komeri et le Sheikah partaient dans le sens opposés.

Les fuyards arrivèrent dans un bâtiment qui avant fut une magnifique église. Mais si le lieu était complètement détruit, la magie demeurait toujours.

Sheik sortit son épée à la lame bleue de son fourreau et traça des symboles, effacés avec la temps. Il plaça Komeri au centre du cercle.

— Sheik, qu’est-ce qu’il se passe ici ? demanda Komeri, déboussolée.
— Hyrule est en guerre. Les habitants se sont réfugiées dans la foret Kokiri. Tu ne dois pas rester ici.
— Et toi ?
— Ne t’inquiètes pas pour moi.

Komeri repensa à la chute monumentale qu’il avait faite.

Le Sheikah sortit l’ocarina de sa poche. Il commença à en jouer.

— Sheik ! murmura Komeri avant de disparaître.

* * *

Sur le tableau des professeurs absents, au collège, M. Ferrin était marqué. Toute la semaine. Komeri ne crut pas à une coïncidence.

Elle alla en étude.

Elle passa toute l’heure à s’imaginer les actes héroïques et les chutes catastrophiques de Sheik.

— Je crois en toi ! pensa-t elle. Quand Ganondorf s’empara de toi…Les Kokiri seront grands.

Elle sourit : « Au moins, on est sûr d’une chose :les Kokiri ne s’ront jamais grands ! »

Prochainement : Les Kokiri ont grandi.

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vraiment excellent !
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archi nul.
dur de l'attendre aussi longtemps.
dans ma GC dès sa sortie.
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temps que je sache ce que c'est.
mais pour l'instant il n'est pas.
Lol u jelly retrofag?

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