Zelda-Echo

Zzeux
Legend of Zelda
Adventure of Link
A Link to the Past
Link's Awakening
Ocarina of Time
Master Quest
Majora's Mask
Oracle of Ages
Oracle of Seasons
The Wind Waker
Four Swords
Four Swords Adventures

Autres Zelda

Zelda CD-I
Zelda G&W
BS Zelda

Downloads MP3/Midis
Partitions
GIFs
Serie TV
Parodies Zelda

Articles
Personnages Biographies
Chronologie

Fans Fans-arts
Fans-fics
Nous écrire

Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

NiouzesForumNous contacter

La Lumière et l'Ombre
Le Commencement de l'Apocalypse

Prologue

Le monde se noie peu à peu dans la déchéance et le chaos, déchiré par les guerres, la famine le froid et de terribles maladies qui frappent les populations.

Ces causes sont des faits que l’on raccroche souvent au climat capricieux ou à la colère des divinités. Mais à chaque cause, un homme ou une femme dont la haine a remplacé le sang, dont le cœur est aussi dur et froid que de la glace : font naître ces horreurs afin d’imposer un règne sans partage basé sur la terreur le meurtre et des incantations diaboliques. Ce sont des êtres dont les capacités en font des personnes hors du commun. Ils sont nés dans les ténèbres parmi les ombres. La nature en a fait des monstres sanguinaires, ils savent manier les armes avec une grâce et une agilité effrayante, leurs connaissances en magie noire et en sciences occultes surpasse le paroxysme. Toutes ces personnes ne sont qu’une parcelle du mal, leurs dieux sont quant à eux bien plus cruels et dangereux. Mais chaque chose a un opposé, ils sont bien moins nombreux que ceux qui peuplent les abysses mais leur pouvoir et leur courage surpassent certains démons. Ils en existent très peu en ce monde, certains ont même sacrifié leur vie pour sauver ceux qu’ils aiment. Ces hommes courageux sont devenus des héros pour leur pays, d’autres se sont vu attribuer le statut de légende mais souvent derrière une si grande popularité se cache un mal secret qui fut refoulé ou que son porteur ignore, quel lourd fardeau pèse sur ces épaules.

Chapitre premier

Que sont dix années dans la vie d’un sorcier ? Guère plus qu’un battement de cils… Certains prolongent leur existence pendant plus de deux siècles, grâce à de puissants sortilèges et de non moins puissants élixirs. D’autres, non contents de narguer le temps, vont encore plus loin dans leurs sombres recherches. Ils s’entourent d’obscurs maléfices qui, lorsqu’on vient à les tuer ou à les enfermer grâce à un sortilège quelconque, leur permet de revenir d’entre les morts ou de briser les barrières qui l’empêche de revenir dans ce monde bien après le départ de leur agresseur. Ces Nécromants, adeptes à la Magie Noire, sont toujours inféodés aux forces du mal ; seul les êtres sans âme refusent de se soumettre à l’ordre naturel du monde. Ganondorf était l’un d’eux. Il était le sorcier d’Hyrule et sa puissance démoniaque semait la terreur dans tout le pays. Il fallut qu’un valeureux guerrier se lève et plonge dans les entrailles de son château après avoir traversé maintes épreuves, affrontant les hordes serviles de Ganondorf et réussi à l’enfermer dans le vide infernal sceller par un puissant sortilège, libérant Hyrule des ténèbres qui le menaçaient… Mais enfermer Ganondorf est une chose, faire en sorte qu’il ne puisse jamais en sortir en est une autre. Savait-il, cet aventurier héroïque, que Ganondorf avait accroît son pouvoir durant son emprisonnement… Dix années s’étaient écoulées depuis ces sinistres événements et l’existence des paysans avait retrouvé un cours paisible à Hyrule. Le nom de Ganondorf n’effrayait plus que les bambins récalcitrants lors des nuits d’orage. Mais depuis six mois, le cauchemar recommence.

Ce furent d’abord les plantes sauvages qui poussèrent un peu partout au Château d’Hyrule et dans les plaines environnantes : elles devinrent de plus en plus agressives. Puis un mal étrange décima les troupeaux qui paissaient près des remparts du fort. Plus récemment, des hommes disparurent à la tombée de la nuit, happés (dit-on) au cœur de la plaine par de terrifiantes créatures. Les braves gens de la contrée d’Hyrule vivent désormais dans la crainte. Partout, l’on murmure que Ganondorf est de retour et qu’il fait de terribles expériences, avec les cadavres des malheureux disparus !

Link est un aventurier et un guerrier aguerri qui a su marquer les esprits il y a de cela dix ans. Après avoir lui-même quitté le pays à la recherche des ses origines, il sillonne de nouveau Hyrule, Excalibur à ses côtés : c’est le seul lien qui le gardait avec une personne qu’il chérit énormément, la Princesse Zelda. Elle lui offrit l’Épée de Légende, lui disant qu’elle serait plus utile entre ses mains.

Il arrive au bourg d’Hyrule au terme d’une longue semaine de marche dans les plaines de l’ouest. Mais en traversant la rue principale, il sentit comme un léger malaise : les paysans se détournent sur son passage, les femmes récupèrent leurs marmots en toute hâte et certains volets se ferment. Il était couvert de poussière mais il fut surpris de paraître aussi repoussant ! Pour en avoir le cœur net, il se dirige vers une taverne qui remplace le Bowling Teigneux, qui se nomme « Au Repos du Guerrier », l’unique estaminet de ce riant bourg. Toutes les conversations s’arrêtent dès qu’il pousse la porte de l’établissement. Il traverse la salle sous le regard sourcilleux des habitués et va s’installer au comptoir. Le tavernier s’avance en bombant le torse mais, tout courageux qu’il soit, Link sent bien qu’il cache sa peur.

— Oui, grogne-t-il tout en essuyant une chope.

Il se présenta sous le nom de « l’Éclaireur » et lui raconte qu’il est en quête suite à des bruits qui courent sur Hyrule. L’homme le regarde sous le nez – il n’a guère confiance –, le sérieux de Link et son regard froid le tint en respect.

— Ganondorf… cela te dit quelque chose ? demande-t-il épiant sa réaction.
— Bien entendu, répond-il avec assurance. Ganondorf était un sorcier fou qui s’était proclamé Seigneur du Malin. Voilà bien dix ans qu’il n’a pas refait surface.
— Ganondorf est le Seigneur du Malin ! réplique-t-il avec des trémolos dans la voix. Il est revenu d’entre les morts. Il doit sûrement préparer sa vengeance ! Il nous envoie ses suppôts diaboliques pour qu’ils lui rapportent de la chair fraîche !

Le tavernier dresse alors la liste de tous les déboires qui accablent son pauvre pays depuis que Ganondorf est reparu.

— Nous avons besoin d’aide, étranger ! Plaida-t-il. Personne ici n’a le pouvoir de vaincre Ganondorf. On n’est que de pauvres paysans, mêmes les soldats du Roi qui ont entrepris une escapade en partant de la Caverne Dodongo mais ils ne sont jamais revenus. Connaissez-vous quelqu’un qui pourrait nous aider.
— Moi, répondit calmement Link.
— Vous ! s’exclama un des hommes dans la salle. Vous n’êtes qu’un fébrile voyageur que la fatigue a rongé, je vous ferais mordre la poussière avant que vous vous en rendiez compte.
— Tu as l’air bien sur de toi, soldat, dit-il d’un ton glacial.

Sans attendre il attrape son épée courte et se rue sur Link qui ne bougeait pas, il lui lance une attaque de front. Link l’évite avec facilité et désarme le fantassin d’un revers de la main et le fit tomber en le déséquilibrant. Il se saisit de l’épée et la cassa en deux sous l’œil ébahit de l’assistance, puis il retourna s’asseoir au comptoir.

Le tavernier susurre à l’oreille de Link que le Roi recherche des mercenaires pour traquer le sorcier, et qu’après sa brève démonstration il a foi en ces capacités ; il lui demande si il accepte de rencontrer le Roi.

— Soit, dit-il souriant. Mais à une condition…
— Laquelle ?demande-t-il, inquiet.
— Que l’on me prépare un bain chaud et une chambre pour la nuit !
— C’est d’accord ! s’exclame le tavernier.

Link scelle son accord d’une solide poignée de main.

Le lendemain matin, il descendit dans la salle commune, le tavernier lui a préparé un solide petit déjeuner, pendant qu’il collationnait on révéla à Link que hier deux hommes à l’allure suspecte sont partis subitement après son altercation avec le soldat.

— Se sont sûrement des éclaireurs, dit-il à voix haute, ils étaient à ma recherche.

Soudain un sifflement coupa le silence qui planait dans l’air, Link cria au tavernier de se baisser avant de prendre le réflexe de se protéger de son bouclier.

Malheureusement le pauvre homme n’eut pas le temps de se baisser, la flèche lui a transpercé la gorge ; son corps inerte tomba lourdement sur le sol. Link se redressa, essuyant une nouvelle rafale plus insistante que la première, il sauta par-dessus le comptoir su bar et se cacha. Le silence pris la place du verre brisé, du bois qui craque ; l’odeur des épices et de la viande remplacer celle de la mort. Deux minutes passèrent sans un bruit, puis la porte de l’entrée s’ouvrit, deux hommes se tenaient dans l’entrebâillement l’arc à la main. L’un d’eux inspecta le corps de l’aubergiste, il prit son pouls et poussa un long soupir.

— Celui-ci est mort, déclara-t-il.
— Laisse-le ou il est, rétorqua sèchement son complice. Regarde s’il a une bourse et cherche s’il n’y a pas de trace de nôtre cible. Moi je vais jeter un œil dans l’arrière-cour.

Il fouilla le corps du malheureux mais ne trouva rien ; profitant de l’occasion, Link se glissa derrière lui sans un bruit et sans comprendre ce qui ce passé le mercenaire se retrouva avec la nuque briser.

L’autre homme fouilla la petite étable dans la cour du sol au plafond, donnant des coups d’épée dans les bottes de foin, regardant dans la hutte des vaches mais aucun signe.

— Serait-ce moi que tu cherche ? interrompit une voix.

L’homme se retourna d’un bond l’arme au poing, jetant un regard affolé au alentour mais personne. La voix se répéta une seconde fois faisant paniquer le mercenaire.

— Je suis derrière toi !

L’homme sentit la froideur d’une lame épousant sa gorge, et une main qui lui bloquer son bras gauche, l’empêchant ainsi de fuir ou d’essayer une initiative imprudente.

— Qu’est-ce que tu as fais de Garig, vociféra l’homme en essayant de se débattre.
— Il est parti dans un monde de souffrance éternel ou son pardon ne sera jamais entendu et si tu ne veux pas le rejoindre, tu as intérêt à me révéler qui t’a payé pour me tuer. Surtout n’essaye pas de feindre la vérité, si la personne qui ta engagé t’a bien renseigné sur moi, tu dois savoir que tu auras beaucoup de mal à me duper.

Le mercenaire déglutit nerveusement.

— Si je te le dis, je suis un homme mort.
— Même si tu reste muet ton esprit lui peut parler, et je peux lire en toi comme dans un manuscrit.

Il le relâcha et tendit sa main vers sa tête, celui-ci ne pouvait plus bouger, il avait beau essayé rien y fait. Link se concentra, fermant les yeux, puis il récita une formule à voix basse. L’homme entendit une voix profonde rentrer dans sa tête.

« Je vois que tu t’appelle Arkhan, tu travaille comme assassin ou escortes des qu’on y met le prix. Je vois… je vois un homme d’une grande richesse qui a les dents longues. C’est ce cher Kost : maire de Takya qui n’hésite pas à éliminer tous ceux qui pourrait nuire à ces affaires. Merci pour ces détails ».

Le mercenaire cligna des paupières comme si il venait de sortir d’un mauvais rêve, il toisa

Link le regarder froidement, et sans perdre un instant il prit ces jambes à son coup. C’est ça part, part dire à ton maître que je serais bientôt à sa porte pour l’envoyer dans les ténèbres. Il rengaina Excalibur le sourire en coin. Il rentra dans l’auberge, le corps du pauvre homme innocent gisait sur le sol jonché par les débris de l’altercation. Encore une victime, se dit-il. Il ramassa le corps de l’aubergiste et alla l’enterrer dans le petit jardin en lui faisant les honneurs qui lui sont dus. Voilà trois ans qu’il n’est sans cesse traquer par des mercenaires ou des bandits de grands chemins, le sang à beaucoup coulé, trop d’innocent se sont retrouvés dans ces batailles alors n’y étaient pour rien. Essayant d’oublier ses mauvais souvenirs, il saisit les rennes d’Epona qui ne le quitter plus depuis toutes ces années et se remit en selle prenant la direction de Takya. Alors qu’il s’éloigne du hameau, une voix l’interpella.

— Attendez ! Attendez monsieur, s’il vous plaît !
— Que veux-tu jeune fille ? Demande-t-il sans se retourner.
— Dites-moi ce qui s’est passé dans la taverne de Ténaress ?
— Es-tu parenté à cet homme ?
— Non, répondit nerveusement la fillette. C’était un homme qui venait souvent nous aidées ma mère et moi,… Il était presque comme un père pour moi. Elle commença à sangloter. Il est mort n’est-ce pas ? Je vous en prie dites-le moi.
— Ce n’était pas son heure, répondit-il amèrement. Je suis vraiment navré pour lui, et je sais que mes paroles ne pourront pas racheter sa mort mais je peux te promettre une chose… Ceux qui ont tués Ténaress la paieront chers.

Il donna un coup de talon dans les flancs d’Epona, partant tenir sa promesse envers la jeune fille. Link ne pouvait supporter les individus comme Kost qui supprime des innocents pour faire marcher son commerce de truand. Trois ans, trois longues années de traque sans aucun répit, le maire de Takya n’était pas le seul à vouloir sa tête, d’autres personnalités veulent aussi le tuer. Son regard s’assombrissait à chacune de ses pensées, il sait que tous ces hommes ne sont que des subalternes, il ne cesse de se demander pourquoi on veut l’éloigner d’Hyrule. Il y a quelque chose qu’on ne veut pas qu’il découvre. Pourquoi depuis ce jour où je suis revenu au pays on ne cesse de m’épier, de me suivre ou de vouloir me tuer. Cela ne pourrait être lui sinon j’aurais senti sa présence. Et il n’aurait pu s’échapper de ce piège mais alors qui ? Qui peut bien vouloir m’empêcher de sillonner mon pays d’adoption, n’arrête-t-il pas de ce demander.

Durant tous ce temps il ressasse toujours les mêmes phrases. Il espéré que Kost pourrait lui en dire plus même si pour cela il doit utiliser la voie de la souffrance. N’étant plus qu’à trois heures de cheval du village Takya, il décida de faire une halte. Il dressa son campement et alluma un bon feu en cette nuit fraîche. Son dîner fut copieux grâce aux mets que l’aubergiste lui avait gracieusement offerts. Le parfum de la viande cuisant sous la douce chaleur des flammes emplissait ses narines. Collationnant avec entrain, il essuya sa bouche d’un revers de manche et s’allongea dans l’herbe afin de digérer. Il voulait dormir mais depuis un certain temps il apprend à ne dormir que d’un œil. Ne voyant pas ces éclaireurs revenir, Kost à du envoyé ces mercenaires à sa suite.

Les oiseaux nocturnes brisait le silence de la nuit agissant comme une berceuse, soudain un bruit de pas indiscret vint faussée cette mélopée. Cela se rapprochait de plus en plus vite, c’était une embuscade ! Link se releva d’un bon, épée à la main. Se servant de son infra vision il scruta les ténèbres : sept silhouettes se dessinaient dans l’obscurité, des soldats de la garde spéciale de Kost, ainsi il sait. Il voulait vraiment se débarrasser de lui, celui-ci ne put s’empêcher à la vue de cette pensée de sourire.

— Toi là-bas, le mendiant, cria un des soldats. Notre seigneur te demande !
— Dites-lui que son invitation ne m’intéresse pas et que si le courage ne lui manque pas, qu’il vienne me le demander en personne.
— Tu vas ravaler ces paroles, avorton ! C’est n’est pas une invitation mais un ordre !

Quatre d’entre eux se jetèrent sur lui en même temps, son habileté au maniement de l’épée fit la différence, aucun d’eux n’avaient résistés plus de dix secondes. Sa rapidité de combat laissa une trace d’hésitation dans l’esprit des trois derniers. Le premier essaya de le transpercer avec sa lance que Link bloqua sous son bras et faisant un demi-tour, il lui trancha la tête d’un revers d’épée. Les deux hommes restant furent pris par la panique et ne sachant que faire ils décidèrent de se soumettre en se mettant à genoux. Link n’était quelqu’un leurre facilement, une ruse si vieille qu’elle en démodée : consistant à faire semblant d’abdiquer et une fois l’adversaire de dos on le tue. Un sourire glacial se dessina sur son visage, il se saisit de son arc et y encocha deux flèches. Voyant que leur ruse n’a pas fonctionné, ils prirent le large mais deux sagaies en pleine nuque les en empêchèrent. Ayant perdu le sommeil, il décida d’avancer vers Takya afin d’en finir rapidement. Normalement il devrait atteindre le village à l’aube. La fatigue finit par le gagner, ce n’est pas bon pour lui ; voilà plus d’un mois qu’il n’a pas vraiment fermé l’œil plus d’une heure. Vu la situation, il prit une décision, fouillant dans son sac à dos il en sortit un flacon sur lequel on pouvait lire « Potion d’Anti-Sommeil » : cela lui permettrai d’estomper la fatigue et de recouvrer toutes ces forces. L’entrée du village n’était qu’à quelques mètres, la route rocailleuse laissa place à la boue, On pourrait presque y laisser ses bottes, mais comment une personne aussi riche que Kost pouvait laisser une telle misère s’installer dans son village. Le porche situé à l’entrée laissé voir qu’il devait y avoir des ruines dans le coin, pas étonnant que Kost soit venu ici, il a dû trouver un trésor et se l’est approprié. Link interpella un homme qui attelés ces bœufs, celui-ci le toisa d’un air mauvais.

— Écoutez-moi jeune homme, dit-il d’un ton acide. Les gens d’ici n’aiment pas trop les rôdeurs comme vous. Alors passez votre chemin, c’est un conseil.
— Je ne compte pas rester, répondit Link très calme. Je veux juste une information.
— Que voulez-vous savoir ?
— Ma question est simple. Je voudrais comprendre comment autant de misère a pu se développer dans votre village alors qu’un homme riche le dirige.

Le paysan eu l’air embarrassé.

— Avant notre village était un lieu touristique, nous possédons un des Temples des Anciens cela attirer les gens du monde entier mais un jour un homme à débarquer ici avec ses mercenaires il s’es emparer de notre village, il a fait fuir les visiteurs, depuis il nous fait payer de lourd impôts. Alors vous voyez que la situation dans laquelle nous sommes restera toujours la même.
— Vos malheurs seront bientôt terminés.

Link partit sans se retourner, laissant le paysan la dans ces questions hasardeuses. La maison de Kost sentait luxe, on voit bien ou passe son argent. Il arriva devant l’entrée gardée par deux sentinelles, bien qu’opposés à ce qu’il entre, Link se fraya un chemin sans difficulté. Ouvrant la porte d’un grand coup pied, il dérangea Kost en plein repas : un homme dont la masse pondérale en aurait fait pâlir plus d’un. Le maire de Takya n’en fut pas plus déranger et continua de manger tout en regardant Link d’un air enjoué.

— Je peux voir que tu a fait un grand et long voyage, mon garçon, dit-il courtoisement. Ne veut pas tu pas dîner avec moi, il y a bien assez de place.
— Arrêtez de jouer à ce petit jeu, cela vous va mal. Je vous somme de rendre ce que vous avez volé aux villageois et de partir sans jamais vous retourner sinon la dernière chose que vous verrez sera la mort.

Kost éclata de rire à s’en étouffer, puis son visage se raidit et prit un air coléreux qui soutenait son regard d’acier. Il claqua des doigts et dans l’instant deux hommes en armures noires apparurent devant Link comme par enchantement.

— Je te présente Rah et Carragan, deux tueurs professionnels qui sont sous mes ordres. Un mot de moi et tu ne verras plus jamais le soleil se levé.
— Si vous faites cela,… Votre sang rouillera ma lame et avant je vous ferai connaître la souffrance en dette de ce que vous avez fait.
— Tu commences vraiment à être agaçant, puisque mes soldats ont étés incapables de t’arrêtez, mes deux serviteurs vont s’occuper de toi avec tous les égards. Tuez-le !

Link sentait que ces mercenaires avaient quelque chose de différents, ils ne sont pas humains ! Sans doutes des hybrides issus d’un sortilège. Ces monstres se déplacé avec une si, grande rapidité, que des hommes normales ne peuvent bien les distingués. Link leva la tête vers Kost avec un sourire diabolique qui donna des sueurs froides à celui-ci. Rah et Carragan se jetèrent en même temps sur lui, il dégaina Excalibur et attrapant l’épée de Rah, il transperça sont semblable qui fut pris de convulsions et finit par trépasser. Rah y assista impuissant, Link le désarma et le saisit par à la gorge obligeant celui-ci à se débattre pour pouvoir respirer.

— Mis qui est tu ? Demande-t-il.

Link ne dit rien et enleva sa capuche qui cacher son visage, l’hybride eut une regard effrayé.

— Toi ! Mais c’est impossible, je… je t’en prie épargne moi, je ne savais pas qui tu étais. Sinon j’aurai…

Il n’eut le temps de finir sa phrase que sa tête roula sur le sol pour sa course finir aux pieds de Kost. Sa garde rapproché jeta les armes et s’agenouilla en signe d’abdication. Link lâcha le corps de Rah et se ruant vers le maire, il le saisit par le cou, le soulevant du sol. Il le transperça à divers endroits du corps avec des coups rapides en ayant pris soin d’éviter les points vitaux. La souffrance est en plus accentuée.

— Dis-moi pourquoi tu as voulu me tuer, dis-le ! Si tu ne veux pas que la douleur soit longue et pénible.
— Ce… ce n’est… pas moi, c’est un homme de l’est, dans la ville de Elythis qui m’a dit de venir ici. Il m’a donné une grosse somme d’argent et m’a dit que je devrais entreprendre des fouilles dans les ruines de ce village ainsi que de ramener ta dépouille, parce que il croyait que tu étais mort. Mais cet homme n’est qu’un pantin tout comme moi. Il y a quelqu’un de plus puissant que nous qui, dicte les ordres.

Link eut un regard mélangeant stupéfaction et amusement.

— Qui est-ce ? Et pourquoi me croyait-on mort ? Demande-t-il insistant.
— C’est Alcoga le marchand d’armes, il a beaucoup d’hommes important à sa solde, c’est un personnage important et dangereux. Quant à l’autre homme je ne sais rien sur lui.
— Je vois que tu a su être coopératif quant il le faut, maintenant tu vas payer ta dette.
— Que vas-tu faire de moi ?
— Ce sont les paysans qui vont décider de ton sort, moi cela ne me regarde plus.

Link l’entraîna dehors et le jeta dans la boue, attirant la majorité des villageois. Link s’approcha de l’homme à qui il avait parlé en arrivant ici.

— Cet homme ne vous causera plus jamais d’ennuis, à vous de décidez de son sort. Quant à moi je repars sur les routes. Bonne chance à vous et je vous souhaite de mener une vie paisible.

L’homme voulut lui dire quelque chose mais Link étais déjà sur Epona partant au loin, en guise de remerciement le paysan versa une larme symbolique pour un homme qu’il méprisait. Était-ce un ange ? Se disait-il.

Chapitre II

L’endroit était sombre, une ombre faisait les cent pas, elle dégageait une aura malsaine et froide. L'homme qui en est à l’origine se dirigea vers un immense miroir, il tendit sa main vers celui-ci et commença à réciter une incantation qui fit écho avec les parois de la caverne. Ces paroles devinrent de plus en plus forte.

Unema tei kehh. Unema tei kehh.

Un nuage noir mêler de lumière apparut, grossissant peu à peu, l’image d’un jeune homme se dessina. C’était Link ! L’homme à l’âme noire serra les dents, ses yeux devinrent rouges sang.

— Encore ce sale gamin, vociféra-t-il. Je le croyais disparu, aurait-il sentit ma présence. Non ! C’est impossible. Je suis encore trop faible pour l’instant, mais des que forces me reviendront, je vais lui faire payer ce qu’il m’a fait endurer pendant neuf ans. Neuf ans à errer dans le vide infernal avec ma haine et ma vengeance pour seule compagnie, mais aujourd’hui c’est diffèrent. Je maîtrise enfin la Triforce de la Force et je vais bientôt m’emparer de ce quatrième fragment. Ainsi le monde devra reconnaître ma suprématie.

D’un geste de la main il fit disparaître la vision et parti dans les profondeurs des cavernes d’Hyrule. Après quelques minutes de marches il déboucha sur une immense galerie ou une forteresse se construisait. Un homme aux physiques impressionnant se rapprocher de lui.

— Maître Ganondorf ! Je viens vous faire mon rapport.
— Je t’écoute.
— Le chantier devrait être terminé dans deux jours mais il nous faut plus d’hommes.
— je ne veux pas savoir, captures en d’autre si il le faut, tu as deux jours pour terminer. Sinon tu c’est ce qui t’attend.
— Bien maître, je ferais selon vos ordres.

Le soldat reparti. Ganondorf continua sa route vers le bas de la forteresse : à son passage les esclaves ressentaient panique et terreur. Tuez un homme, une femme ou même un enfant ne lui donne aucun remords, juste du plaisir. Nombreux sont ceux qui sont morts sous le coup de sa colère souvent injustifiée. Personne n’osait le regardait. Il s’approcha de ce qui semblait être une entrée, un des esclaves tomba à ses pieds le visage en sueur, son âge plutôt avancé le rendait vite faible. Une jeune fille se rua vers lui.

— Grand-père ! Grand-père, cria-t-elle. Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es encore malade ?

Son regard se tourna vers leur bourreau.

— Ayez pitié, je vous en prie. Il est vieux et faible. Il ne peut plus travailler dans de tel condition.

Le regard de Ganondorf n’exprimai aucune émotion, il tendit la main vers eux et se contenta de dire ces quelques mots.

— Je n’ais aucune pitié pour les faibles.

Une boule noirâtre apparut dans sa main, et éclatant de rire, il lança sur les deux esclaves la boule d’énergie, à son contact ils brûlèrent dans une souffrance atroce avant de finir en poussière de cendres. Il continua de s’esclaffer avec ardeur.

— Tout ceux qui ne tiendront pas les délais seront exécutés, déclara-t-il amèrement.

Il reparti en direction de la salle du miroir quant un homme vêtu d’une longue cape noire apparut. Son visage était dissimulé par une capuche et un étrange masque en diamant noir. Il se prosterna devant Ganondorf qui le salua et lui ordonna de se relever.

— Qu’as-tu à me dire de si important pour me retarder. Fais vite ! Je dois faire ma séance de méditation.
— J’ai enfin fini mes recherches sur les hybrides ainsi que sur le quatrième fragment. Comme vous me l’avez demandé.

Ganondorf croisa les bras, son regard perçant appuyer dans la direction de son interlocuteur.

— Pour ce qui est de mes expériences, j’ai réussi à utiliser la même matière que mon masque afin de la combiner avec les créatures de mon laboratoire, les soldats que je viens de créer son absolument parfaits. Je dois vous avouez que je suis content de mon travail.
— Je suis fier de toi mon cher Nakuren. Tes travaux seront idéals pour ma quête de vengeance. Mais parle moi plutôt du quatrième morceau.
— D’après les manuscrits, ainsi que les parchemins trouvés dans la pièce du grand miroir, je peux vous dire que ce morceau de Triforce se trouve dans un autre monde. Un monde ou la lumière n’existe plus, ou seul mal existe. Mais le problème est que la formule sera dure à traduire : c’est de l’hyrulien ancien, vieux de sept cents ans
— À quoi servirait cette formule ? demande Ganondorf intrigué.
— D’après ce que j’ai pu analyser…, elle permettrait d’ouvrir une porte vers ce monde.
— J’ai confiance en toi, je sais que tu ne me décevras pas.

Nakuren reparti dans son laboratoire.

* * *

Les coups de fouet résonner comme dans la caverne comme son glauque qui finit par se perdre dans les profondeurs. Les journées y sont longues et pénibles, nombreux sont ceux qui furent mort à causes des maladies, de la fatigue et même de la famine. Kanhh, un jeune rebelle n’était ici que depuis trois jours. S’en était déjà trop pour lui. Sa force et sa combativité lui évitèrent de se faire fustiger, beaucoup de gardes ont subit sa colère passagère. Il jeta un regard aux alentour. Personne ! Il saisit sa chance et attrapa une hache non loin de lui et d’un coup sec brisa ses chaînes. Il libéra une douzaine d’autres esclaves espérant ainsi profiter de la confusion de soldats pour s’enfuir. Son plan réussi ! L’un des gardes du chantier donna l’alerte. Saisissant l’occasion il s’enfonça dans une galerie, en chemin il se débarrassa de deux gardes en chemin. Il atteignit la sortie sans autre encombre, mais un doute lui parcourut l’esprit. Pourquoi n’ai-je pas eu d’autres gardes à ma poursuite ? se disait-il. Sans perdre un instant il se rendit au village Cocorico, la ou il est né. Alors qu’il franchit l’entrée, il sentit une étrange aura malfaisante qui entourait le village.

* * *

— Seigneur Ganondorf ! Le jeune rebelle Kanhh vient de s’enfuir !
— Je sais, sa fuite était prévue. Nous allons tester une nouvelle race de soldats. Ce gamin sera parfait pour cela. Alors maintenant file ! Et dis bien que je ne veux plus qu’on me dérange durant ma séance de méditation.
— Bien seigneur.

Un énorme pan de mur se referma sur la pièce, Ganondorf s’assit sur le sol ou une sorte de d’écriture en rond était incrusté ; quant il ferma les yeux les inscriptions virèrent au rouge avant de l’entourer d’un halo de lumière intense.

* * *

Naruken contemplait son chef d’œuvre avec plaisance et machiavélisme, l’aboutissement de ses recherches n’en n’est que plus glorieux et jouissif. Le soldat parfait ! Voilà ce à quoi il aspirait durant tant d’années, il baptisa sa création « Les Chevaliers Noirs » au nombre de treize. L’un d’eux fut immédiatement envoyé aux trousses de Kanhh le jeune rebelle. Les corps de ses créatures entièrement fait de diamant noir – le plus dur au monde – que seule l’épée de Ganondorf peut casser et cela non sans difficulté. Leurs capacités en déplacement, au combat et en magie étaient incroyablement développées, cela en faisait des armes redoutables aux mains d’un dément. Lancé à la poursuite de l’insurgé, le Cavalier Noir a eu pour ordre de le tuer et de ramener sa dépouille. Sa rapidité lui permit d’arriver avant Kanhh à Cocorico, accompagné par six soldats. Situés à quelques mètres de l’entrée, il attendait.

* * *

Un cri ! Celui d’une jeune fille déchira le silence de la nuit comme une hache s’enfonçant dans la tête d’un monstre.

Link se leva d’un bond et saisit son arme. D’un coup de pied, il projeta du sable sur les cendres de son feu de camp. Il pivota, sa vision développée lui permit de fouiller les ténèbres, sept silhouettes se dessinèrent dont une qu’il perçoit mal. La brise agitait à peine les feuilles d’érables qui l’entouraient. Mais le vent charriait une odeur de sang. Au loin on entendait le gargouillis d’une rivière. Le cri retentit de nouveaux. Il venait du nord. Partant vers l’entrée du village, il croisa plusieurs cadavres de paysans en chemin. Ce genre de chose accentuer son envie de tuer. Arrivant sur les lieux du combat, il vit une jeune fille pleurant à chaude larme, elle tenait un homme d’âge mûr en sang dans ses bras. Un jeune garçon s’interposer entre eux et les soldats, les six aux physiques chétifs se jetèrent sur lui en même temps. Pendant ce temps Link porta secours au deux villageois.

— Ne vous inquiétez pas, dit-il d’une voix douce. Tout va bien ce passer à partir de maintenant. Je suis là.
— Mais… mais qui êtes-vous ? demande le vieil homme.

Il releva sa capuche laissant apparaître les traits de son visage à la lumière des torches. Des larmes montèrent aux yeux du vieillard.

— Ainsi tu es revenu, dit-il sanglotant. Je savais que tu reviendrais, c'est le ciel qui t’envoie.
— Dis-moi Nester, ou est Impa ?
— Elle a du partir subitement. Elle m’a dit qu’un grand danger sa diriger vers nous. Je crois qu’elle s’est rendu au conseil des sages dans le

Temple du Temps.

— Je vois. Je allez les rejoindre histoire d’en savoir un peu plus sur ce qui se passe ici. Mais avant je vais vous débarrassez de ces mécréants.

Le jeune garçon se démener comme un beau diable, il réussi à venir a bout des six soldat en quelques instants. Mais ce qui attira plus l'attention de Link c'est que le septième homme avait une aura différente, plus malsaine. Kanhh se jeta à pleine vitesse sur le soldat, une onde de choc vint le freiner et l’envoya tel un fétu de paille à plusieurs mètres.

— Mais comment ? Comment est-ce qu’il a fait ça ? dit-il le souffle cour. Je ne l’ai pas vu bouger.

Moi je l’ai vu !, se dit Link. Sa vitesse de frappe est remarquablement rapide et précise. Ça ne m’étonne pas qu’il ne l’ait pas vu. Il ignore que ce n’est pas un homme qui se tient en face de lui.

Kanhh subit de nouvelles attaques plus fulgurantes les une que le autres, ses os craquèrent et du sang sortit de sa bouche, la douleur lancinante l’empêcha de bouger. Il était perdu. Alors que soldats se rapprocher de lui pour l’abattre, une voix vint l’interrompre.

— Eh toi ! L’hybride ! Laisse ce gamin tranquille. Viens plutôt te mesurer à moi si tu en as le courage.
— Je te trouve bien arrogant pour un humain. Ce qui ce sont opposé à moi sont mort. Alors laisse-moi te donner un conseil…
— … Je n’est que faire de tes conseils, coupa sèchement Link. Tu es ici sur ma terre natal, et je ne te laisserai pas souiller cette terre avec le sang pure des innocents.
— Si tu tiens tant que ça à mourir. Je serais bref. Prépare-toi à subir la colère du Chevalier

Noir !

Il lui porta les premiers coup, Link les esquiva avec facilité, il parer chaque attaque sans répondre.

— Je constate que tu peux percevoir mes mouvements contrairement à l’avorton, mais ne me sous-estime pas, je suis plus fort que tu ne le crois.

Il saisit fermement son épée, exécutant plusieurs figures pour impressionner son antagoniste, mais il n’eut pas le résultat escompter. Il chargea Link à grande vitesse, les épées s’entrechoquèrent : la violence du choc le fit reculer mais il tint bon. Ils forcèrent l’un l’autre jusqu’à ce que le premier lâche prise. Link réussi à prendre le dessus, il le repoussa et exécuta un salto arrière tout en lui décochant un violent coup dans la mâchoire. Le Chevalier

Noir eut le réflexe de porter sa main au menton, il sentit une fissure et éclata de rire.

— Félicitations humain ! dit-il tout souriant. Tu es le premier qui arrive à m’égratigner. Mais tes efforts sont vains. Je suis un être parfait en tout point. Nul ne peut me détruire.
— Tu parles trop, sa te perdra tôt ou tard.

L’hybride sourit, il plaça sa main sous son menton, une lumière blanche en sortit et la fissure disparue. Il dirigea maintenant sa main vers Link.

— Protection ! Hurla-t-il.

Une boule luminescente l’entoura.

— Je viens de créer un champ de force qui me protège de toute attaques qu’elles quelles soit. Chaque attaque que tu me porteras te sera rendu mais à un détail près, les dégâts que tu subiras seront dix fois plus importants.

Il éclata d’un rire long et agaçant. Link sourit à son tour et s’avança vers le Chevalier Noir, la confiance et le courage se sentait à chacun de ses pas. L’hybride cessa de rire, il fut pris soudainement par le doute. Pourquoi n’est-il pas effrayé ou surpris, je ne comprends plus, je sens la confiance en lui, plus il avance, plus son aura devient imposante. C’est bizarre j’ai l’impression qu’elle m’étouffe. Mais qu’est-ce qui se passe enfin ? Link s’arrêta à un mètre de son ennemi. Quand il releva la tête celui-ci un sentiment de panique. Il n’a plus de pupille, c’est yeux son devenu tout blanc. Il leva Excalibur en l’air et se concentra. Un halo de lumière blanche l’entoura, il poussa un hurlement court et distinct faisant une explosion luminescente. Le Chevalier Noir se protégea les yeux par réflexe. La clarté revenue, il constata que l’épée de Link briller avec une telle intensité, qu’elle en ferait pâlir les ombres. Il fit une rotation avec son bras, puis il fit une dizaine de geste en long en large et en travers, cela formait des arcs de lumières allant dans la direction du chevalier.

— Tu crois sérieusement que ton tour de magie m’impressionne, ricana-t-il.
— Tu est tellement naïf, Chevalier Noir, lui répondit Link d’un ton égal. Je te conseil d’attendre la suite. Ça va devenir intéressant.

Kanhh observait la scène avec curiosité, une telle confiance en soi durant un combat est très rare, il y a toujours une part de doute quelques soit le camp. Mais cet homme est différent des autres, son expériences des combats est impressionnante, je crois que même si son adversaire est fort, ils est beaucoup plus intelligent, sa force aussi est remarquable : elle est supérieure à la normale, remarque-t-il. Soudain un craquement brisa le silence puis une autre et encore un. Le corps du chevalier craqua des toute part, sa protection disparut de la lumière filtrait à travers ses blessures. Il panique et ne savait plus que faire.

— Mais… mais…Comment ! Comment tu as fait ça, ma défense était pourtant parfaite.
— Je ne te dirais rien, durant ton passage dans les abysses tu te ressasseras tous le temps cette question à laquelle tu n’auras jamais de réponse.

Link s’élança vers le chevalier et d’un revers d’épée, coupa son corps en deux. Une explosion s’en suivit tuant le Chevalier Noir pour de bon, chaque parcelle de son corps brûla. Sauf u morceau qui se mit à léviter et disparut. Link rengaina son arme et d’un ton mélancolique il s’adressa au doyen du village.

— Nester, écoute-moi bien. Tu vas prévenir tous les villageois qu’un très grand danger va bientôt faire surface, je ne c’est pas encore de quelle intensité mais emmener tous les gens dans les grottes secrète et prévenait les autres villages.

Il partit d’un pas sur et n’entendit pas les remerciements du villageois, car il été déjà trop loin.

J’avais un doute mais maintenant j’en suis certain. Ganondorf est de retour.

Chapitre III

Le Temple du Temps, le monument le plus sacré d’Hyrule : le lieu ou se trouve le passage qui mène au Saint Royaume. Pour éviter qu’une catastrophe comme celle avec Ganondorf il y a dix ans se reproduise, la Princesse Zelda en a fermé l’accès en scellant les portes et en donnant sa clé à Link : Excalibur l’Épée de Légende. Pendant toutes ces années la sainte relique disparut avec son porteur, aujourd’hui le danger est de nouveau là, présent. La princesse convoqua tous les sages au château pour une réunion très urgente.

Elle s’installa à une grande table en marbre gris, elle attendit la venue des ces hôtes. Darunia, Saria et Ruto furent les premiers arriver.

— Princesse, pouvait-vous nous dire pourquoi sommes-nous convoqués de manière si urgente ? déclara le chef des Gorons.
— Je vous direz tout une fois que nous seront au complet. Dit-elle anxieuse.

Nabooru suivit de Impa arrivèrent à la réunion, il ne manquait plus que Rauru du Temple de la Lumière.

— Quelqu’un sait ou se trouve Rauru ?
— Je peux juste vous dire qu’il est parti il y a une semaine, répondit la chef du village Cocorico. Mais j’ai une nouvelle plus intéressante à vous apprendre.

Tout le monde toisa Impa avec curiosité et impatience.

— Quelle est-elle ? demande Zelda.
— Mon village s’est fait attaqué par d’étranges soldat il y a de cela une heure environ. Mon oncle ma déclarer qu’un homme très étrange est venu leur porter secours.
— Comment ça « étrange », renchérit Nabooru.
— D’après lui, cet homme posséderait une puissance incroyable.
— C’est sûrement Link ! cria Zelda.
— Je ne crois pas ça fait longtemps que ne l’a pas revu.
— Oui, tu as sans doute raison, dit-elle la voix triste.
— Mais que fait Rauru bon sang, s’impatienta Darunia.
— Il ne viendra pas ! dit soudain une voix.

Tous le monde fut surpris et regarder partout autour d’eux, mais il n’y avait personne.

— Mais qui êtes vous ? Qu’est-ce que voulez ? demande la princesse.

Un homme apparut devant le petit groupe, ils eurent immédiatement le réflexe de protéger Zelda.

— Mais qui est tu à la fin ? s’énerva le Goron.

Sans un mot l’homme se releva, une capuche dissimulé son visage. On pouvait juste voir le bas de son faciès. Il fit sourire narquois.

— Mais que voulez-vous à la fin ? demande Zelda exaspérer.
— Allons princesse, pourquoi tant de hâte.
— Je vous conseille de nous dire ce vous nous voulez ? Sinon je vous ferai avaler votre langue. Vociféra Impa.
— Impa, je vois que tu es toujours de bonne humeur, quelques soit les circonstances. Sa me rappelle le temps ou tu m’entraîner.
— Quoi ! Mais tu veux dire que… ?

Il enleva sa capuche et laissa son visage se dessiner à la lueur des torches. Un long moment de silence suivit. Les six sages furent surpris devoir Link devant eux.

— Link ! Toi ici. Mais comment ? Demande Zelda abasourdi.
— Le temps n’est pas aux questions et aux retrouvailles. Il y a plus important que ça, répondit-il sèchement.
— Mais avoue que nous pouvions être surpris de te voir, intervint Saria. Ça fait plus de dix ans que tu es parti… et voilà que tout à coup tu réapparais.
— Me venu n’a rien providentielle, j’étais situé sur une route à plus cent lieues d’Hyrule. J’ai senti pendant une nuit – soudainement – comme un froid et une mauvaise impression et plus je me rapprocher d’ici plus ses sensations se faisaient grande.
— Tu ne vas quand même pas nous dire, que c’est le fruit du hasard qui t’a amenait jusque là, s’énerva Darunia. Tu dois avoir une autre raison ? Non ?
— Désolé de te décevoir.
— Sa suffit maintenant ! hurla Zelda. Nous avons plus important à faire que nous querellaient. Link dit nous ce que tu sais, s’il te plaît.

Il poussa un long soupir.

— Soit ! Si vous y tenez tant que ça.

Il alla s’asseoir à la table, son regard changea et devint plus dure.

Son expression se remplissait de haine et de colère.

— Voilà. Lorsque je suis sortit du village Cocorico tout à l’heure. Un homme m’épiait, il a voulu s’enfuir mais je l’ai quand même rattrapé. Il m’a révélé de nombreuses choses très intéressantes et certaines vont fortement vous déplaire comme moi quand je l’ai su.

Il laissa sa phrase en suspens, attendant la réaction de l’un d’entre eux.

— Mais vas y dis le ! Bon sang !
— Du calme Darunia, se précipiter n’est jamais une bonne chose. C’est toi qui me l’a appris. En fait Rauru nous a trahi, il est passé dans le camp de l’ennemi.

La nouvelle jeta immense froid parmi les sages.

— Non, c’est impossible, tu mens. Cracha Impa. Rauru était un homme gentil et attentionné, il ne serait jamais passait dans les ténèbres.
— J’ai anticipé le fait que vous ne me croiriez pas. Mais si j’ai bien calculé, un de vos éclaireurs que vous avez envoyé à Elythis va revenir dans peu de temps et il vous dira exactement ce que je viens de vous révéler. Mais ce n’est pas tout j’ai appris aussi qu’un certain Alcoga fournit une grande quantité d’arme à un groupuscule de la ville qui les exporte autre part.
— Il dit sûrement la vérité, dit Nabooru. Certains faits qu’il a relatés concordes avec nos soupçons.
— Bien dit très chère. Je vais vous laissez. Je partirais dés demain pour Elythis et je ferai échouer leur plan… Et il n’est pas la peine de me suivre, j’agirais seul.

Il reparti n’adressant aucun regard a ces anciens amis. Zelda voulut le rattraper mais la main d’Impa l’arrêta, elle fit un signe de négation de la tête lui incitant à le laissez partir.

— Mais pourquoi, dit elle en tombant à genoux. Pourquoi est-il devenu comme ça ? Son cœur n’est plus emplit d’amour comme avant mais d’une grande tristesse.
— Je sais bien princesse, lui dit Impa qui se veut réconfortante. Tout ce que je peux te dire c’est qu’il s’est passé quelque chose durant ces dix années. Une chose qui à du être terrible et très éprouvant pour lui.

Impa leva son regard plein de compassion vers Link dont la silhouette disparut une fois la porte du temple franchit.

— Mais pour qui il se prend, vociféra Darunia. Il disparaît durant dix ans et il reviens comme ça d'un coup et se permet de donner des ordres, Tssss...
— Je t'en prie, ne soit pas si négatif, tu ne pas savoir ce qu'il a pu endurer pendants toutes ces années. Alors ne le juge pas trop vite, s'il te plait.
— D'accord, d'accord,

Soudain un bruit de pas pressé vint vers eux, un homme que la fatigue avait rongé accourut sans perdre un instant.

— Princesse ! Princesse ! Il se passe quelque chose d'horrible au nord. J'ai pu apprendre que Rauru nous a trahit et... et j'ai appris qu'un important stock important d'armes sortait de la ville d'Athylis.
— Mais sais-tu ou elles sont emmenées.
— Elles sont exportés ici mêmes à Hyrule, j'ai suivit une des cargaisons jusqu'au portes de la ville mais après je les aient perdus de vue,
— Comment ça perdus de vue ? Redemande Nabooru excédé.
— Je sais bien sa peut paraître bizarre, mais c'est pourtant la vérité. Tous les chariots qui transportaient les marchandise ont disparut et je ne sais vraiment pas comment, j'ai beau chercher je ne vois pas.
— Très bien, nous allons faire ce qu'il faut pour cela, décida Zelda. Chacun de vous allez va aller dans son village et entreprendre des recherches pour retrouver la trace de cette marchandise.

Tous saluèrent la princesse et s'en retournèrent chez eux pour exécuter les ordres de Zelda. Elle se tourne vers l'éclaireur et lui ordonne de faire parvenir une lettre à Link.

— Il doit l'avoir absolument en main propre et au plus vite, mais avant va faire le plein de vivre car la route sera sans doute longue et pénible. Le soldat ne dit rien, la lassitude se lisait sur son visage. Alors qu'il s'apprêtait à partir une voix vint fendre le silence.
— Attendez ! Cria la voix,

Un jeune homme apparut devant Zelda. Il était armé comme si la guerre était à sa porte.

— Que veut-tu ? Demande-t-elle.
— Je vous en prie laissez moi apportez ce message au seigneur Link. Il m'a sauver la vie au village Cocorico et je voudrez le remercier en lui apportant ce message (il se mit à genoux) Je vous le demande comme une faveur.

Elle ne savez pas comment mais elle pouvait avoir confiance en ce jeune garçon, malgré son air de dur un aura bienfaisante émanait de lui.

— Très bien, si c'est là ton souhait, je te donnerai une entière satisfaction en acceptant ta requête.
— Mais en fin princesse... vous n'allez quand même pas donner une mission de ce genre à un gamin de village.
— Cela suffit ! Depuis quand conteste-tu mes ordres soldats, dit-elle d'un ton répriment.
— Excusez-moi, je ne recommencerai plus.

L'espion aurait voulut se cacher profondément sous terre, c'est la première fois qu'il tient tête à la princesse. Mais contre toute attente celle-ci lui adressa un sourire de pardon.

— Écoute moi, il y a beaucoup de tension en ce moment. Tout le monde sait que quelque chose se trame, mais c’est de notre devoir de garder la tête froide et de montrer le bon exemple. Tu comprends ?
— Oui je comprends, je m'excuse de ma conduite. Je vais me retirer et prendre un peu de repos. Mes hommagers princesse.

Il la salua et s'en alla d'un pas plein de lassitude, Zelda se tourna vers le jeune garçon en lui adressant un sourire mélancolique.

— Pourquoi tiens tu temps à le rejoindre, redemande Zelda; je sais que tes raisons sont fausses, dis moi ce que tu désire réellement si tu veux que je t'accorde ma confiance.
— Eh bien... cet homme... Link m'intrigue énormément. Après le combat au village Cocorico j'ai cru rêver quand je l'ai vu se battre contre ces étranges soldats.
— Que veux-tu dire par « J'ai cru rêver ? » demande Zelda intriguer.
— Ce qui m'a paru étrange ces la facilité avec laquelle il s'est débarrasser de ces hommes, je suis sûre que ce n'est pas un homme ordinaire, il doit posseder une force immense. J'en mettrais ma main au feu;

Kahnn expliqua avec plus détail l'histoire de ce combat.

— Je vois, dit Zelda. Tiens voici une lettre à lui remettre en main propre, je te fais confiance et te souhaite bonne chance.
— Je m'en montrerai digne princesse Zelda.

Kahnn partit sur les traces de Link laissant Zelda se perdre dans le doute.

« Si ce que Kahnn vient de me dire est vrai alors c'est une nouvelle excellente mais pourtant un étrange pressentiment me hante, je dois en avoir le coeur net. »

Depuis ces longues années le lieu sacré du Temple de la Lumière était scellé mais Zelda pris la décision de s'y rendre malgré le danger. Elle leva les bras vers les lourdes portes de pierre qui mène vers Excalibur. Celle-ci s'ouvrirent dans un grondement sourd... et à sa grande surprise elle ne ressentit aucune aura négative, preuve irréfutable que Ganondorf s'en est échappé.

« Mes doutes se révèlent justes, il a bel et bien réussi à s'en sortir. Je dois me dépêcher il faut absolument que je trouve « le Livre de Destiny » je dois agir au plus vite. »

Zelda se souvient de cette histoire que Impa lui raconter sur cette étrange manuscrit, il paraît que le destin du monde y ai écrit, que tous y ai prédit mais ceci n'ait soi-disant qu'une légende, Zelda quant à elle est persuadé de son existence, ces présages ne lui ont jamais fait défaut. Elle sentit une tension presque palpable en foulant le sol sacré du temple, une étrange sensation s'empara d'elle, quelque chose qui l'a mit mal à l'aise.

— Je me, demande bien ce qui se passe ici, s demande-t-elle à voix haute. J'espère que l'équilibre de cet univers n'a pas été perturbé, sinon le pire est à venir.

S'approchent d'un pas hésitant vers la porte principale du temple, elle sentit son coeur ses serrer, elle avait la bouche sèche; La porte s'ouvrit facilement... Zelda eut l'impression d'être plongée dans un horrible cauchemar, un ciel noir recouvrait la terre sacré, il n'y avait plus que misère et désolation.

« C'est ce que je redouté, depuis que Rauru est passer dans le camps de l'ennemi, l'équilibre du Temple de la Lumière y ait fragilisé, les forces du mal sont en emparées, quel désastre. »

Ne voulant pas perdre plus de ce temps qui est précieux, elle se lança sur un sentier menant à la,grande bibliothèque des livres sacrés, des mauvais esprits rôdés dans le coin à l'affût d'une âme fraîche mais le pouvoir divin de Zelda le tint en respect. Comment une chose pareille à pu arriver ? Que s'est-il passé à, la fin ? Tant de questions que la princesse se posait sans y trouver de réponses, plongée dans ses songes, elle ne se rendit pas compte qu'elle était arrivée.

C'était le monument le plus imposant du royaume après le temple, la richesse de ses ouvrages faisait la convoitise du monde entier, beaucoup de ragots disent que certains des écrits ont étaient faits par les dieux eux-mêmes. Les portes s'ouvrirent toutes seules sans qu'elles ne les touchent, un air froid venant de la pièce principale vint lui mordre la peau, la température était anormalement basse ; soudain elle ressentit une présence, J'en étais sûre, il y a bien quelqu'un derrière tout ça et il est ici, se dit Zelda.

— Tiens tiens ! Une nouvelle proie est venue, une femelle, tant mieux leur chair est plus tendre, dit soudain une voix sournoise qu coupa le silence mortel des lieux.
— Qui est là ? Demande Zelda surprise.
— Ho suis-je distrait, j'ai oublié de me présenter. Je suis Galacia, général des eaux et des glaces, serviteur de Ganondorf.
— Ainsi donc, j'avais vu juste.
— Eh oui, il est revenue d'entre les morts préparant sa vengeance, il m'a ordonné de venir ici et de tuer tous ceux qui essayeraient de freiner son ascension au pouvoir.
— Ça voudrait dire qu'il s'est emparé du livre ? Mais alors c'est bien pire que ce que je croyais.
— Je ne sais pas trop de quoi tu parles jeune fille, ricana Galacia. Mais il est maintenant temps pour toi de mourir.

Il fit apparaître dan sa main droite une grande épée faites de glace noire.

— Sais tu en quoi cette lame est faites, ce n'est pas de la glace ordinaire, elle à était fabriqué avec du diamant noir le plus dure au monde, autant te dire qu'elle est indestructible.
— Je me fiche pas mal de tes cours d'alchimie je vais juste en finir vite fait avec toi, mon temps est précieux.

Elle fit une croix avec ses bras, un triangle d'or apparut sur sa main droite, une explosion de lumière suivit. Zelda recouvrit sa tenue de Sheikah. Galacia rit nerveusement.

— Tu crois que le fait de t'être changé va modifier quelque chose à l'issue de ce combat.

Il se rua sur elle avec agilité et force, ses coups rapides faisait vaciller Zelda plus d'une fois, la chance ne fit pas de son côté, chaque attaque de Galacia était trop rapide pour qu'elle puisse riposte, sa façon de combattre était parfaite, il n'y avait aucune faille. Bien qu'elle essayais d'attaquer de que le moment fut opportun, elle récolta une blessure pour seule récompense à chaque fois.

— Je dois avouer que tu résisté bien, mieux que tes prédécesseurs. Mais je vais en finir rapidement avec toi.

Ils e lécha les babines comme si un fastueux repas l'attendais. Zelda déglutit nerveusement.

Leur combat faisait rage dans le hall de la bibliothèque, les entrechoquements des lames résonnaient comme des éclairs qui déchirent le ciel. Galacia commencer à prendre le dessus, il était mieux adapter au combat qu'elle, chaque nouvelle attaque qu'il lui portaient l'affaiblir de plus en plus. Bon sang il faut que je réagisse, sinon je vais y laisser ma vie et celle de gens que j'aimes. Elle s'écarta de son adversaire d'un bond gracieux, et jette son épée par terre. Elle adopta une position qui intrigua Galacia. Elle mit sa main gauche dans son dos et l'autre était positionné de telle façon qu'on aurait dit qu'elle tendait la main comme pour qu'on lui donne quelque chose.

— Je ne sais pas ce que tu cherches à faire, railla-t-il. Mais si c'est pour m'impressionner, laisse moi te dire que tu te trompes.
— Cesse de parler et approche, si le courage ne te fait pas défaut.

Cette remarque lui fit montrer les dents, la colère prit la place de l'amusement. Il abattit avec rage son épée sur Zelda mais contrairement à ce qu'il aurait cru, elle stoppa son attaque avec sa main droite et d'un geste agile elle place la lame sous son bras et la brisa avec la tranche de sa main gauche, Galacia en fut stupéfait.

— Je vois que tu es pleine de ressource, princesse, jubila-t-il.
— Ainsi tu me connais, pourquoi cette mascarade répond ?
— J'ai reçu l'ordre de te tester, Ganondorf m'a dit qu'il avait des soupçons sur toi et il ne c'était pas trompé, on peut dire que tu caches bien ton jeu mais bien que ta technique soit au point, tu ne me résistera pas longtemps, ce petit jeu à assez duré, c'est la fin pour toi.

Zelda se jeta sur lui, et elle avait beau le frappé sa ne lui faisait rien, il réussissais à parer tous ces coups qu'elles q'en soit la force. Il l'attrapa à la gorge l'empêchant de bouger et pour s'assurer qu'elle ne se débattre il lui cassa le bras gauche, elle laissa échapper un hurlement de douleur.

— Tu es finie princesse, je vais pouvoir ramener ta dépouille au seigneur Ganondorf, je vais te préparer un cercueil de glace où tu reposeras pour l'éternité. Dis adieu à ce monde que tu chérissais tant.

Un immense éclair le coupa dans on élan, il lâcha le corps de Zelda prenant le réflexe de se protéger les yeux. Une silhouette apparut au bout du sentier, Galacia s'avança pour voir de quoi il s'agit. Il aperçu un homme entouré par un halo rouge vif, il eut un regard d'inquiétude.

D'où sort-il celui-là ? Quelle est cette force que je ressens ? On dirait qu'elle émane de lui mais c'est impossible elle presque aussi intense que celle du seigneur Ganondorf.

Chapitre IV

Son regard changea d'aspect, le doute le submergea d'un seul coup, il fixer le miroir avec attention, la scène qui se dérouler devenait intrigante. Je me demande bien qui est cet homme, d'où il peut venir, et qu'elle est cette force. Elle m'est inconnue. Ganondorf ne cesser de se poser des questions, depuis qu'i sait que Link est revenu il ne peut s'empêcher de penser à sa vengeance néanmoins il est pris de puis peu d'un doute horrible. Je la connais cette énergie elle m'est familière, n'arrêté-t-il pas de ce dire. Le nuage de fumée formée par l'explosion dissimiler l'inconnu, le nuage de poussière finit par se dissiper, l'homme portait une longue cape noire, impossible de voir son visage seul ses yeux rouges se voyaient. Ganondorf ria aux éclats et fit disparaître la vision. À quoi bon me faire du mauvais sang, cette homme étrange à beau posséder une grande forme, il ne viendra pas facilement à bout de Galacia, j'ai toute confiance en lui. Il partit vers sa nouvelle forteresse d'un pas sur et serein. Bien qu'il regagne confiance le doute s'empara à nouveaux de lui, il montra les dents et disparut.

Il réapparut dans le temple du feu et trouva Darunia dans la salle principale, il vit Darunia en train de méditer. Celui-ci ne bougeait pas. Ganondorf était sûre qu'il avait sentit sa présence.

— Ce que Link nous a révélé est vrai, dit-il calme. Tu es bien revenu du vide infernal. Qu'est-ce qui t'amène ici?
— Allons, je suis certain que tu le sais, c'est ta tête que je veux !
— Et tu crois que tu vas me battre aussi facilement, je ne suis plus aussi faible qu'avant, je vais te montrer la vraie force d'un Goron.

Ganondorf éclata de rire.

— Ton peuple n'est qu'un ramassis de feignant bon à en faire des esclaves, c'est d'ailleurs ce qui m'amène ici.
— De quoi parles-tu ?
— Je vais te donner le choix, accepte de devenir mon serviteur dévoué et j'épargnerai ton peuple sinon je détruirai toute trace de vie dans cette montagne;
— Tes menaces ne m'impressionne aucunement, tu crois que je vais te laisser faire, tu a beau être fort je te terrasserai quelqu'en soit les moyens.
— Tu as choisi la voie de la souffrance, tant mieux j'avais une folle envie de tuer pour le plaisir. Merci de faire cet honneur.

Darunia sentit la colère monter en lui, il concentra de l'énergie dans ces poings et ses jambes, Ganondorf quant à lui ne bougeait pas le sourire aux lèvres. Le combat s'engagea avec beaucoup d'intensité, Darunia lancé des pluies de coups de poings et de coups de pieds mais cela ne faisait pas vaciller son adversaire, celui-ci contrer chaque coup avec agilité, le sourire toujours présent.

— Alors, tu as déjà donné le maximum de toi. Tu ferais bien de faire un effort sinon je vais vite t'achever et j'aimerais bien faire durer un peu le plaisir.
— Cesse de jacasser, démon. Tu vas payer pour tes actes et tes paroles. Et cette fois-ci c'est en enfer que je vais t'envoyer.

Il hurla de colère, son énergie s'intensifia au fil des secondes, Ganondorf effaça son sourire laissant place à une expression plus grave. Darunia s'élança à grande vitesse sur lui, il ne bougea pas d'un centimètre, le coup porter par Darunia fut esquiver et une douleur horrible à la nuque le frappa subitement, il eut juste le temps d'apercevoir Ganondorf rire glacialement, un de ses doigts était posé sur sa nuque, Darunia comprit mais trop tard que son ennemi l'a paralysé avec une attaque magique vraiment très rapide. Ne tenant plus sur ses jambes il s'écroula sur le sol et perdit connaissance.

Cet imbécile croyait pouvoir me battre, quel idiot. Mais maintenant je vais pouvoir mettre un de mes plans à l'œuvre et il va m'y aider, quand tout sera terminé il voudra lui même se donner la mort.

* * *

Une journée de plus qui se termine au village des Gorons, leur journée ne sont particulièrement pas chargé, ses habitants passe leur temps à dormir et faire des courses de vitesse, ce sont ces deux choses qui font d'eux un peuple heureux vivant en harmonie avec les autres races. Mais pourtant parmi ces fiers personnages, l'un d'eux ne put s'empêcher de montrer de la tristesse.

— Pourquoi papa est-il retourné là-bas, dit-il à voix haute. Je lui ai dit de ne pas y aller. Je sens qu'un danger nous guette mais je ne sais pas pourquoi je sens qu'il est tout prés.
— Que se passe-t-il Lunnia, dit une voix douce. Pourquoi reste-tu tout seul. Viens donc t'amuser, sa te changera les idées, tu verras.
— Tu as sans dote raison, oncle Nyx, pars devant je te rejoins.

Je dis ça, mais n'empêche je suis sur de ce que je ressens, il va se passer quelque chose. Une chose qui va transfigurer notre vie.

Il se leva et partit rejoindre ses camarades de jeu, en court de chemin plonger dans ses sombres songes il ne remarqua pas tout de suite le sang qui se trouvait à ses pieds, il baissa la tête et fut pris d'effroi, il vit un grand nombre de corps de gens de son village éparpiller sur le sol créant une mare de sang immense. Darunai se tenait non loin de là, son regard se perdait sur la montagne. Lunnia vit son père tenir le corps inerte de son oncle dan sa main, celui-ci avait le ventre percer vidé de ses tripes, nombres des victimes avaient la tête coupée. Alors qu'il s'approcher emplie de peur de son père, il hésita à l'appeler quand Darunai se tourna vers lui. Ses yeux étaient devenu rouge comme-ci la colère et la haine avait pris possession de lui.

— Mais enfin qu'est-ce qui t'arrive papa, pourquoi t'as fait ça, pleurnicha Lunnia.
— Stupide Gamin, je vais te tuer comme les autres. La mort sera désormais ta seule famille.

Bien qu'il soit souvent calme, Lunnia savait se défendre, il avait hérité de la force et de la témérité de son père. Il évita sans problème les attaques de son père, bien qu'il sache esquiver, passez à l'offensive était une autre chose, il répugnait à frapper quelqu'un.

Même si son père n'est plus comme avant, il ne trouvera jamais la force de le combattre, il préférerait encore se faire tuer plutôt que de porter la main sur lui. Des larmes coulaient avec abondances sur ses joues.

— Pourquoi, pourquoi fais-tu ça ! Hurla-t-il. Toi qui as toujours défendu ton peuple au péril de ta vie ! Dis moi pourquoi tu fais ça ?
— Cesse de te plaindre, tu me casses vraiment les oreilles, je vais vite te tuer, cela fera plaisir au seigneur Ganondorf. Quand je vais lui apprendre que tout le peuple Goron à trépassé, il sera fier de moi.

Cette révélation fit l'effet d'un choc terrible pour Lunnia, il avait l'impression que la foudre l'avait frappé, comme si une vive douleur lui pincer le coeur. Il tomba à genoux et ne bougea plus, Darunia éclata de rire et fonçant sur sa victime qui n'essaiera même pas de se défendre. Alors qu'il attendait la mort, un silence vint s'imposer remplaçant le sifflement du vent. Lunnia leva les yeux pour voir ce qui se passer. Le temps s'est arrêté. Il ne comprenait pas ce qui venait de ce passer, soudain, il aperçu une silhouette au loin qui s'avancer vers lui, pris de peur il voulut s'enfuir mais il ne pouvait plus bouger.

— Ne sois pas effrayé, je te ferai aucun mal. Je suis là pour t'aider.

Son interlocuteur se trouvait derrière lui maintenant. Sa main se posa sur l'épaule de Lunnia, celui-ci eut peur au début mais il sentit à présent une chaleur bienfaisante lui parcourir le corps comme si celle-ci voulait le rassurer.

— Qui êtes vous ? Demande avec douceur Lunnia
— Peu importe mon nom, écoute moi bien, tu vas aller voir Impa au village Cocorico.
— Mais que devrais-je lui dire ?
— Dis lui tout ce qui viens de se passer, elle pourra faire quelque chose pour ton peuple, quant à moi je vais m'occuper de Darunia.
— Pourrait-vous le faire revenir à la raison ?
— Je ne peux rien te promettre.

L'inconnu disparu avec Darunia. Le temps reprit son cours normal, et sans perdre un instant il courut à toute jambes vers le village trouver Impa

* * *

Dans une bourrasque de poussière, l'inconnu et Darunia apparurent sur une plate forme prés du sommet du volcan. Le Goron parut surpris, de se trouver là mais il n'en fit pas mine.

— Je ne sais pas ce que tu as fait, railla-t-il. Mais quoi que tu essayes de faire, je vais te tuer et après je vais faire la peau de cette larve qui est mon fils.
— Tu es pitoyable mon pauvre Darunia, lui déclara froidement son antagoniste. Comment as-tu pu te laisser avoir par un homme aussi lamentable que ce Ganondorf.
— Tu as du cran pour oser parler ainsi de mon maître, ton seul châtiment sera la mort, prépare à crever sale chien !

L'inconnu esquissa un sourire et ne répondit pas à cette remarque, Darunia pressé se jeta sur lui, tous le coups qu'ils portaient s'avérèrent inefficace, son antagoniste les éviter avec une grande facilité.

— Alors c'est ça ta méthode de combat, ricana l'inconnu. Laisse moi te dire que t ferais mieux d'arrêter à moins que tu n'aies pas peur du ridicule.
— Ferme la !

Darunia intensifia son énergie et fonça à vive allure sur son persécuteur, le coup qu'il lui porta fut si violent qu'il l'envoya s’encastrer dans le mur.

— Alors qu'est-ce que tu dis de ça ? Je vais te faire comprendre qu'on ne se moque pas impunément de moi.

L'inconnu rit aux éclats, comme si la situation devenait comique. Il s'extrait de la roche toujours souriant et s'avança d'un pas sur vers Darunia, ne comprenant à rien et ne sachant que faire il ne bouger plus stupéfait de voir que le coup qu'il avait porté à son adversaire n'eut aucun effet.

— Que se passe-t-il Darunia ? Demande l'inconnu d'un ton moqueur. Serait-tu en plein doute à présent.

Il ne réagit pas c'est bien ce que je penser, quelqu'un contrôle son esprit, si je trouve celui qui tire les ficelles je mieux gérer cette situation. Je dois me concentrer... Ça y est je le vois, c'est le moment !

Il concentra une boule d'énergie dans sa main droite, celle-ci prenait de plus en plus d'ampleur, le sol commença à trembler.

— Je sais où tu te caches ! Hurla l'inconnu

Il lança sa boule vers le ciel, et comme il le penser celle-ci se percuta à une sorte de barrière invisible, le choc déclancha une énorme explosion, balayant tous sur son passage. On ressentit la secousse jusqu'au Lac Hylia.

Conformément à ce qu'il avait prévu, la personne qui contrôler son esprit est hors d'état mais maintenant le plus dure pour lui est de trouver le point de contrôle qu'on a posé sur le corps de Darunia sinon il va vite devenir fou.

— Je dois vite agir ou sinon sa va devenir coriace.

Il disparut et revint derrière le Goron;

— C'est bien ce que je me disais, le point de contrôle et dans sa nuque, C'est le moment, je dois en profiter.

Il aller en finir quand la main de Darunia le retint, son regard était devenu horrible.

— Que crois-tu faire en voulant me frapper par derrière.

Il le balança au loin ; sa force était maintenant décuplée ainsi que sa haine, plus aucun sentiment de bonté n'existait en lui.

Bon sang je dois vite agir, sinon il va devenir incontrôlable et risque de tuer beaucoup de gens, je ne voulais pas en arriver là mais je ne plus le choix.

L'inconnu poussa un hurlement et une aura rougeâtre l'entoura.

— Ton petit numéro est au point mais il en faudra plus pour m'impressionner. Meurs !

A peine eu-t-il le temps de lever le bras que l'inconnu lui décocha un violent coup dan le cou, lui brisant la nuque.

Pardonne moi Darunia je ne voulais pas en arriver là mais soit tranquille je vengerais ton peuple et ton honneur, je te le promets.

Il prit le corps du Goron et se téléporta au village Cocorico, arrivant sur place il vit Impa déjà à l'oeuvre aider des autres sages pour sauver tous le Goron que Darunia avait massacré, Lunnia fut le premier surpris et courut à en perdre haleine.

— Monsieur ! Monsieur ! Vous avez pu sauver mon papa ? Hein dites-le moi !
— Je ne vais pas te mentir, j'ai du le tuer pour rompre le maléfice dont il était victime mais ne t'inquiète pas si vous faites vite vous pourrez le sauver et il sera guérit.

Lunnia se pencha sur son père et ne put s'empêcher de pleurer de joie.

— Monsieur je voulais v...

L'inconnu avait disparut, Lunnia sourit en sachant que cet homme avait sûrement entendu ses remerciements.

* * *

Le sol, les murs tremblèrent comme si tout un pays s'était écrasé sur la plaine, le point d'impact venait de la salle du grand miroir. Plusieurs généraux accoururent vers cette pièce ou Ganondorf médité; Quand la lourde porte s'ouvrit un immense nuage de poussière s'en échappa ; quelques minutes furent suffisantes pour qu'il s'estompe complètement.

— Seigneur Ganondorf ! Seigneur Ganondorf répondait s'il vous plait ! Hurla un des soldats.

La clarté revenue dans la pièce, on pouvait apercevoir un immense trou fait dans l'un des murs, le corps de leur maître gisait sur le sol. Ils se précipitèrent tous vers lui l'aidant à se relever.

— Laissez-moi ! Rugit-t-il. Je n'ai pas besoin de vous. Sortez !
— Mais maître nous avons cru que...

Il trancha la tête du soldat d'un revers de la main.

— Je viens de vous donnez un ordre il me semble, alors qu'attendez-vous, à moins que vous ne vouliez subir le même sort.

Tous s'en allèrent d'un pas pressé, La porte se referma laissant Ganondorf seul. Il constate que du sang coulait de sa bouche et que son bras droit était déboîté.

Ce n'est pas possible, comment cet homme a pu faire ça ! Sa force est pratiquement égale à la mienne peut être même plus puissante ! Je ne sais pas ce qui se passe mais j'ai négligé plusieurs choses : Link n'est plus mon seul ennemi maintenant, il va falloir que je trouve vite le quatrième morceau de la Triforce, sinon tous mes plans seront anéantis. Je vais faire pister ces deux hommes, il faut que je sache qui ils sont et pourquoi il s'oppose à moi.

Il se tourna vers le miroir levant les mains vers lui, sa voix devint profonde et glacial, il récita une formule maléfiques.

Kretnya deto leta jirnio mafestoari, Kretnya deto leta jirnio mafestoari.

Un nuage d'un bleu très foncé apparut ainsi qu'une dizaine de paires d'yeux aussi bleu et froid qu'un ciel d'hiver.

— Que désires-tu sorcier ! demanda l'un d'eux. Pourquoi as-tu fait appel à nous ?

Ganondorf se mit à rire.

— Je vous ai trouvé des ennemi à la hauteur des vos pouvoirs, je peux vous promettre que ceux là ne seront pas faciles à battrent.
— Je vois, si tu dis vrai alors nous exécuteront ta demande et nous te ramènerons la tête de ces hommes.
— Soyez sur vos gardes car ils n'en ont pas l'air mais ils sont aussi puissant que moi.
— Si ils sont de force égale avec toi, pourquoi ne pas les combattre toi-même.
— Ces hommes ne m'intéresse pas seul un en ce monde mérite de mourir de mes mains. Sinon voici les deux hommes en questions, alors mettez-vous tout de suite au travail.

Il fit apparaître une image des deux hommes que doivent tués les démons. Puis ils disparurent.

Ganondorf se pencha à nouveau vers le miroir et fit apparaître l'image du temple de la lumière, le combat entre Galacia et cet homme inconnu le rendait curieux, il voulait à tout prix voir si celui-là est aussi puissant que l'autre.

Chapitre V

L'air était devenu si froid que tout avaient gelés, aucune vie végétale ou animale ne pourrait survivre ici. La princesse tenter avec son pouvoir de dissiper la glace mais la force de Galacia est telle qu'elle risquée d'y laisser sa vie si elle veut sauver le Temple de la Lumière mais seule l'aide de cet homme mystérieux pourrait l'y aider. Le combat entre Galacia et l'inconnu faisait rage, les répercutions de leur affront était d'une telle violence que la terre en trembler.

— Je vois que tu sais te battre, se réjouis Galacia. Ça fait bien longtemps que je n'ai pas eu un tel adversaire.
— Je serai le dernier, répondit l'inconnu. Car je vais te tuer.
— Tu paraît bien sur de toi, fulmina-t-il. Tu vas savoir ce qu'il en coûte de me provoquer, c'est moi qui vais t'envoyer au pays de la mort.

Il lui lança des stalactites de glace aussi effilée qu'une épée mais son opposant n'était pas du genre à se laisser faire facilement, il éviter chaque attaque gracieusement.

— Au fait ! Quel est ton nom ? Demande Galacia.
— À quoi cela te servirait-il de le savoir puisque tu vas mourir, ricana l'inconnu.
— Ça suffit ! Tu es allé trop loin, je vais te faire regretter cette humiliation.
— Laisse-moi te dire une seule chose, si jamais tu rate cette offensive alors j'en finirais avec toi.
— Tais-toi !

Galacia concentra toute sa force afin de lancer une ultime attaque, une énorme boule d'énergie de forma au-dessus de lui : la terre commencer à vibrer.

— Alors q'est-ce que tu dis de ça, hurla-t-il fier de lui. Cette boule de glace peut geler la planète entière et tu ne pourras jamais l'arrêter même si tu y mets toute ta force. Tiens attrape !

L'énorme masse énergétique se diriger très vite sur sa cible laissant une traînée glacée sur son passage. L'inconnu ne fut aucunement impressionné, il se contenta de sortit son épée et à la surprise de Galacia il bloqua non seulement la boule mais son épée aspira l'énergie.

Mais c'est impossible, comment il a fait ça.

— Je t'avais prévenu mais tu ne m'as pas écouté, tu aurais pu survivre si tu t'étais contenté d'abandonner. Maintenant c'est finit.

Il alla tellement vite que Galacia eu l'impression qu'il avait disparut et il sentit une vive douleur à l'estomac, la lame de son adversaire l'avait transpercé de part en part au ventre, des gerbes de sang s'échappèrent de sa bouche, il s'écroula sur le sol luttant pour respirer, L'inconnu le regarda et s'apprêter à partir quand la main de Galacia le retint.

— Attend ! Dis moi pourquoi tu ne m'a pas tuer, alors que tu pouvais.
— Parce que tu n'ai pas celui que tu prêtant être, tu te caches derrière un masque.
— Comment ça ?
— Que tu ne l’acceptes ou pas, je sens de la bonté en toi, tu possèdes un coeur remplie de tristesse que tu dissimules dans la haine.

Des larmes coulèrent le long des joues de Galacia, l'inconnu eut un regard surpris.

— Vous! Vous êtes le premier qui a su me mettre à nu, vous avez vu ma souffrance et ne m'avez pas tué, je vous en remercie... Si je peux encore vivre je vous aurai fait la promesse de vous suivre et de combattre le tyran à vos côtés.

L'inconnu sourit et s'approcha de Galacia, il posa sa main sur sa blessure, une lueur bienfaisante et douce envahis son corps, la plaie se referma petit à petit. Ne comprenant le geste de celui qui fut son ennemi, il lui tendit la main mais il lui tourna le dos.

— Je t'ai guérit parce que tes paroles était sincère, je viens de laisser ma marque dans ton corps : seul des adversaires ayant la même force que moi pourront te tuer, la seule chose que je te demande en échange c'est de protéger la princesse Zelda. Si jamais un jour tu nous trahi, je te tuerais.

Il se mit à genoux et remercia royalement l’inconnu.

— Votre geste restera à jamais gravé en moi, je vous promets de protéger la princesse au péril de ma vie, je vous en fais le serment sur mon sang.

Il s’ouvrit la main avec une dague faisant coulait son sang pour sceller son pacte, L’inconnu eut un rictus de satisfaction, la princesse qui épiait la scène arriva vers eux, elle s’approche dignement vers le deux guerriers et touché parce qu’à dit Galacia, elle lui saisit la main, l’homme des glaces sentit la chaleur bienfaisante de ces mains. Elle déchira un bout de ses vêtements et pensa la plaie de Galacia, celui-ci la remercia.

Link s’avança vers eux, leur tenant un discours important.

— Écoutez-moi ! Ce que je vais vous dire est d’une importance capitale, vous allez vous dirigez vers Elythis, vous devez trouver le marchand d’armes Alcoga : C’est lui qui à le Livre de Destiny.
— Mais comment savez-vous ça ?
— L’heure n’est plus aux questions, princesse, rendez-vous là-bas c’est tout ce qui compte. Sinon le livre pourrait être utilisé à mauvais escient.
— Quand est-il de Link dans tout ça ?
— Il est déjà en chemin pour Ethylis, ce que je sais c’est qu’il veut lever le voile sur la trahison de Rauru. Si vous voulez le rejoindre allez là-bas.

En cadeau de départ, l’inconnu guérit le bras de Zelda avant de disparaître dans un épais nuage de brume.

D’un signe de tête Zelda et Galacia se mirent en route pour rejoindre Elythis.

* * *

Link ravivait son feu, ce soir l’air était particulièrement froid, un vent fort venant du nord. Son met se composait de faisans et de lièvres accompagnés par des haricots secs et du pain. Il remuait les flageolets auxquels il ajouta des herbes pour relever le goût. Il sentit la présence d’une personne le guettant. À l’odeur il sut que cette personne n’était pas dangereuse.

— Plutôt que de te terrer derrière ce rocher viens donc partager ce repas avec moi.

Un jeune garçon sortit d’entre les rochers s’approchant d’un pas peu sûr vers Link.

— Suis-je à ce point effrayant ? Lui demande Link.
— N…no…non ! C’est juste que je suis surpris que vous m’invitiez à collationner.
— Ne t’en fais pas, tu n’as pas à avoir peur de moi. Je sais qui tu es, tu c’est que tu a été très courageux de défendre ton village, même si tu ignorer la force qu’avait ton adversaire.
— Ainsi vous vous souvenez de moi !
— Oui ! Tu te nommes Khann si je ne m’abuse.
— Exact, c’est bien ça.
— Mais dis-moi, pourquoi m’as-tu suivi jusqu’ici ?
— Vous êtes mon modèle, je veux vous suivre pour apprendre à mieux me battre et devenir plus fort pour venir en aide aux gens dans le besoin.
— Je suis touché par ce que tu me dis mais la réponse est non, je ne veux prendre le risque d’avoir ta mort sur les bras en plus les ennemis qui me recherchent sont trop puissants et trop dangereux pour toi.
— Je me fiche bien de ce que vous pensez, je vous suivrez quoi qu’il en est. Ma vie et mon destin ne regarde que moi, et j’irais la ou votre route vous mènera, j’en ai fais la promesse.
— Si tu veux à ce point voir la mort de près, je te laisse me suivre mais à une seule condition : tu seras sous mes ordres. Et tu auras à suivre un seul rythme : le mien !

Un sourire d’ange se dessina sur le visage de Khann.

Le feu continuer de grésiller sous la noirceur de la nuit, la fumée montée aux cieux, avec elle l’odeur du repas frugale de deux jeunes hommes, soudain un bruit étranger à celui du soir vint leur titiller l’instinct. Des bruits de pas venaient dans leur direction : des pas furtifs.

— C’est quoi d’après-toi, chuchote Kahnn. On dirait des bruits bizarres.
— Fais moi plaisir, Tais-toi !

Il s’abstenu de parler et resta sur ces gardes. Le son étrange se rapprocher de plus en plus avec une pointe d’accélération. Une douzaine d’homme arrivèrent au campement mais rien, il n’y avait personne, l’effet de surprise ne pouvait plus être envisageable, Un des hommes, sans doute le chef, leur donner des ordres précis.

— Chercher dans les alentour, ils ne doivent pas être bien loin, fouiller les buissons et allaient voir à l’orée de la forêt à quelques pas d’ici. C’est un ordre.
— Bien chef ! Répondirent-ils tous en même temps.

Alors que la moitié du groupe parti fouiller le bois, Link en profita pour sortir de sa cachette l’épée à la main.

— Serais-ce moi que vous cherchez, par hasard, demande-t-il d’un ton ironique.
— Ainsi voilà l’avorton qui pose beaucoup de problème au seigneur Ganondorf, ricana celui qui devait être le chef. Je ne vois pas en quoi tu es dangereux mais mon maître m’a dit qu’il fallait qu’on se méfie de toi.
— Il a entièrement raison, si j’étais vous je partirais tout de suite pour éviter de mourir.
— Que crois-tu que l’on pense de tes vaines paroles, tu es seul nous sommes douze hommes bien armés et entraînés.
— Qui vous a dit qu’il était seul, demande voix derrière eux.

Les soldats se retournèrent, ils virent un jeune homme venir dans leur direction.

— Ou son mes hommes ! Demande le soldat. Que s’est-il passer ?
— Ils sont plongés dans un sommeil éternel !
— Qu…quoi ! Ils ne sont pas…
— Si ! je les ai tous tués, Ils ne méritaient que la mort.
— Bien je vois que mon petit protégé s’est débarrassé de vos mécréants, maintenant c’est à vous de venir m’affronter, aller venez me montrer la force des hommes d’un tyran.
— Tuez-le !

Les cinq soldat se jetèrent sur lui ; le coups fusèrent de partout, Link les parés tous sans exception.

— Bon sang cet homme à une façon de se battre incroyable mais ce n’est pas ça qui nous empêcheras d’en finir avec toi !

Ils réitérèrent la même attaque mais cette fois-ci deux des cinq hommes furent décapités. Les soldats sentaient l’effroi leur prendre les tripes.

— Mais, mais, comment a-t-il fais ça je ne les pas vus porter de coup, bon sang comment ?
— Il est encore temps pour vous de renoncer, c’est votre dernière chance.

Les soldats prirent leurs jambes à leur coups, courants à toutes allures pour sauvaient leurs vies.

— Revenez bande de lâches ! Sinon je vous ferais torturer !
— Alors, on dirait que tu es tout seul, railla Link. Que vas-tu faire maintenant, seul contre moi !
— Je ne me défilerais pas, je t’affronterais même si je dois mourir.
— Je ne serais pas ingrat je vais te montrer en quoi consiste, ma force après tu changeras d’avis tu verras.
— C’est ce qu’on va voir, approche !

A peine eut-il levé son épée que Link se trouver déjà devant lui. Le soldat vis son adversaire le sourire aux lèvres.

— Tu as perdu ? Déclara-t-il calmement.

Il rengaina son épée et lui tourna le dos partant dans la direction de son campement provisoire.

— Attends, enfoiré ce n’est pas fi…

Un craquement bizarre vint lui couper la parole, stupéfait il vit sont épée ainsi que le haut de son armure tomber en miettes. Mais quand, quand a-t-il fait ça ? Je n’ais rien vu. Est-il vraiment aussi fort qu’on le dit. Je ferais bien de m’enfuir avant qu’il ne change d’avis.

Le soldat pris la fuite sans demander son reste. Kahnn et Link le regardèrent détaler comme un lapin, ils rirent en cœur.

— Je dois avouer que tu te débrouilles bien, pour quelqu’un d’inexpérimenté.
— Je ne suis pas aussi mauvais que je le laisse croire, mais vous dites ça sa veut dire que vous accepterez de me montrer des techniques de combats.
— Nous verrons cela par la suite des choses, tu c’est tu pourras devenir fort mais autant que moi.
— Pourquoi ça ?
— Vois-tu ce que je vais te dire dois rester entre toi et moi, si jamais tu dit quoi que se soit à quelqu’un je te tuerais.
— Ne vous méprenez pas sur moi, je vous respecte beaucoup trop pour faire cela.
— Bien ! Vois-tu j’ai découvert durant un long voyage que je possédé une puissance terrifiante qui sommeil en moi, j’ai appris à la maîtriser au fil des ans mais cela à été durs. C’est pourquoi tu ne pourras jamais être comme moi, chaque être est unique.
— Est-ce que moi aussi, il serait possible que j’ai une force cacher en moi.
— Je ne te mentirais pas en disant que oui tu à bel et bien un pouvoir unique en toi.
— Comment pouvez-vous en être sur ?
— J’ai remarqué cela à ta manière de te battre contre ces hommes tout à l’heure et au plaisir que tu prends à te battre.
— Je sais que cela peut paraître étrange mais à chaque fois que je me bats je sens l’excitation s’emparer de mon corps.
— Ta force se découvrira petit à petit, ce sera à toi d’apprendre à la maîtriser et à t’en servir avec parcimonie.

Kahnn fit un signe positif de la tête et rejoignit Link au bivouac.

La nuit fut courte mais ils se remirent en chemin de bonne humeur, les premières heures furent tranquilles pour le petit duo, cela fut de courte durée : de nombreux groupes de chasseurs de têtes cherchèrent à les capturaient ou à les tués. Au début c’était comme un amusement mais plus ils en rencontraient plus la lassitude les gagnée.

— Link je commence à avoir assez de tous ces hommes, se plaignit Kahnn. On n’a plus un seul instant à nous.
— Cesse de te plaindre et considère toutes ces attaques comme un entraînement, répond Link d’un ton sévère. Et je ne veux plus t’entendre compris, tu me casses les oreilles.
— Bon d’accord je ne dirais plus rien mais sa serais plus intéressant si il était plus fort. C’est ennuyeux des gars aussi faibles.

Link ne put s’empêcher de sourire, Kahnn était parfois stupide mais il avait un bon fond, sa li rappelle lui à son âge mais il était plus consciencieux que ça à cette époque surtout avec la lourde responsabilité qu’il avait eu. Enfin tous ces souvenirs sont bien loin désormais. Le seuls fait d’y repenser ne le mettez pas de bonne humeur moins il s’en rappeler mieux il se porter.

La ville d’Ethylis se tenait en fin devant eux.

Alors la voilà cette fameuse ville d’Ethylis dont tu me parler en chemin, s’émerveilla Kahnn. Qu’est-ce qu’elle grande, c’est impressionnant.

— Tu es dans une des plus grandes cités marchandes au monde, répondit Link. Le commerce est la source de ce pays, on y trouve de tout.
— C’est vraiment un endroit merveilleux mais est ce qu’on ne risque pas de tomber encore sur des mercenaires ?
— Non je pense que nous n’en croiserons plus, je crois plutôt que quelqu’un à chercher à nous mettre au défi, et apparemment il est satisfait.
— C’est vrai que ça fait un petit moment que nous n’avons eu personne à affronter. S’en est presque fastidieux.

Link lui adressa un regard et il se tut sur le champs, il savait que quand Link faisait ses yeux là il valait mieux pour lui de se taire.

L’entrée de la ville se composée d’un immense porte de bois très épaisse, également très bien gardés par de nombreux soldats, chaque personnes entrants et sortants étaient habilement fouiller pour éviter tout problèmes. Quatre hommes vinrent à la rencontre de Link et Kahnn.

— Halte, messieurs, veuillez dire les raisons de votre venue et le temps que vous contiez rester à Ethylis ?

Kahnn voulut répondre mais Link lui fit signe de se taire.

— Nous ne sommes que de simples guerriers de passage, répondit poliment Link. Nous cherchons un gîte ou nous pourrons nous reposer et nous aimerions acheter des armes.
— Bien, fouillez-les !

Les soldats entreprirent leur travaille et ne trouvant rien de suspect il les laissèrent entrés.

— Je ne pensais pas que c’était autant surveillé dans le coin, on peut dire qu’il ne lésine pas sur les moyens. Je me demande bien pourquoi ?
— Si tu à un temps soit peu de cervelle, tu poseras la question à l’un des habitants et il te donnera la réponse. Réfléchit un peu mon pauvre Kahnn !
— Oh ça va pas besoin d’être aussi mesquin, je vais demander à ce marchand de fruits en face.
— Si ce chante vas-y !
— Excusez-moi monsieur !
— Oui jeune homme que désirez-vous ! J’ai des pommes, de très bonnes pêches du sud je les vends deux kilos au prix d’un !
— Euh…non, non, ce que je veux savoir c’est pourquoi la ville est devenu aussi surveillé, je n’étais pas revenu depuis plus de six mois et je dois avouer que ça a bien changé.
— Oh ça, il faut pas vous en inquiéter, c’est depuis que notre cher maire à été victime d’une tentative d’assassinat. Mais vous savez, je comprends un peu les gens qui ont fait ça.

La conversation devenant intéressante, Link y prêta une oreille attentive.

— Depuis que cet homme est arrivé ici il y a deux mois avec ses sbires, ce Rauru qui prétendait être un sage venant apporter la bonne parole, mais c’était pour toute autre chose.

L’expression de Link s’éclaircie, il avait raison à propos de Rauru. Il manigance quelque chose.

— Il s’est mis le prince d’Ethylis dans la poche, tous les commerçants sont harcelés, nous sommes obligés de payer de lourds impôts pour des choses impensables, quant on à plus le moyens de payer il nous envoie en prison ou l’on croupie jusqu’à ce qu’on crève de faim ou que les moins forts mentalement se suicide.
— Un chose pareille est tout simplement impensable. Pourquoi personne ne réagit face à cette situation.
— Personne n’ose s’opposer à lui, surtout que Alcoga le marchand d’armes est avec lui, c’est le commerçant le plus puissants de la ville, ceux sont ces deux hommes qui nous pourrissent l’existence. Enfin d’ici là qu’une personne nous en débarrasse, ce n’est pas demain la veille.
— Je vous remercie pour ces informations, tiens donner moi un kilo de fruits exotiques.
— Voilà pour vous, ça fera Cinq rubis vert.

Kahnn le paya et rejoignit Link qui l’avez devancez de quelques rues.

— Pourquoi t’es partis sans m’attendre, demande Kahnn l’air boudeur.
— Cet homme nous en a dit assez pour qu’on passe à l’action.
— Que dois-je comprendre ?
— Que tu vas pouvoir enfin te mesurer à des adversaires robustes !
— Ah ! Enfin une nouvelle qui me fait chaud au cœur, quant est-ce qu’on attaque !
— Cette nuit.
— Tu préfères le soir ? Remarque c’est vrai qu’on passera plus inaperçu dans le noir.
— Qui t’as dit que je voulais être discret, j’aime agir le soir plutôt que le jour, alors en attendant allons nous reposés, cette soirée va être agitée.

Chapitre VI

La nuit tomba doucement sur Ethylis, la lueur des torches apporter un peu de lumière au façade des murs qui protégeaient la ville. Dan les rues, des ombres inquiétantes se dessinait sur les maisons, les regards des passants étaient sournois et méfiants. Certains même crachaient devant eux comme pour le dire de partir immédiatement.

— Je ne pensais pas que les gens du coin nous recevraient comme ça. Ça à bien changer depuis.
— Ne juger pas ainsi princesse, on ne c’est pas pourquoi ils agissent de la sorte, on ne peut que les comprendre.
— Tu as sans doute raison mon cher Galacia, enfin laissons-les et cherchons plutôt la maison de cet Alcoga.
— Que devrons-nous faire une fois arrivé ?
— L’inconnu m’a dit qu’il fallait qu’on se débarrasse par n’importe quel moyens du marchand d’armes, des preuves ont montrés qu’il exporter un important stock de matériels de guerre à Hyrule.
— Mais qu’en est-il de la sécurité du pays ? Demande Galacia étonné.
— D’habitude les frontières ont une sécurité draconienne depuis les événements avec Ganondorf mais y doit y avoir une ou plusieurs personnes qui nous on trahi et laissent la plupart des marchandises suspectes passées.
— Vous pensez à une corruption par l’argent ?
— C’est la chose la plus plausible qui me vient à l’esprit. Il faut agir au plus vite avant que sa ne se termine mal.

Ils pressèrent le pas sans se soucier des regards suspicieux et hargneux du monde environnant, il leurs fallut une bonne heure pour arrivés devant la bâtisse d’Alcoga. Sa demeure était somptueuse, la plus belle de la ville sans nul doute ; de nombreux soldats faisaient des rondes permanentes Le magasin d’armes se trouvé juste à côté de la maison, lui aussi était étroitement surveillé.

— Ça m’étonne qu’il n’y ait que des gardes, chuchota Zelda. Je suis persuadé qu’il y autre chose qui le protège.
— Attendais princesse, lui dit-il en l’empêchant de jeter un sort. Je vais créer une colombe de glace on verra bien ce qui va se passer qu’en elle atteindra la maison, sa sera plus discret comme approche.
— D’accord vas-y !

Une boule bleue se forma dans sa main, à la suite une colombe naquit telle l’œuvre d’un sculpteur. L’oiseau de glace s’envola gracieusement et s’approcha de la maison, alors qu’il s’apprêtait à se poser sur le rebord d’une fenêtre il explosa en une multitude de fragments. Les gardes alentours furent de suite en alerte.

— C’était quoi ce bruit, s’alarma l’un d’eux.
— Venez voir, cria un autre. J’ai trouvé d’où sa viens, regardez se sont des cristaux de glaces.
— Ce sont encore ces sales gamins !
— Qu’est-ce qu’on fait alors ?
— Rien ! Retournez tous à votre poste, nous mettrons ces gosses aux cahots la prochaine fois.

Leurs soupçons s’averraient justes, une barrière protectrice empêchés tous sorts de pulvérisée la maison. Le seul moyen pour eux d’évités de se faire prendre était de se faire passer pour des clients. Un claquement de doigt suffit pour qu’il se change, passant ainsi plus inaperçu dans des vêtements plus conformes que ceux qu’ils portaient pour s’infiltrer. Ils s’approchèrent du magasin, un garde le stoppa à l’entrée.

— Halte ! Veuillez déclinez votre identité et donner la raison de votre venue.

Zelda prit la parole

— Nous venons achetez des armes en grandes quantités, nous sommes une des familles les plus riche d’Hyrule. Alors soyez gentil d’aller me chercher votre patron, je suis assez pressée.
— Ne bougez, je vais faire part de votre demande à monsieur Alcoga.

Quelques minutes après, un homme à l’allure modeste vêtue d’une somptueuse armure sortit du magasin, son regard d’acier aurait fait baisser la tête des plus faibles mais Zelda le soutint sans fléchir.

— Alors c’est vous qui désirez m’acheter des armes ?
— Exactement, d’ailleurs je suis venue pour parler affaires.
— Avez-vous de quoi payer, car vous le savez sans doute mais je fais des armes d’une qualité supérieure qui sont très très chers.
— Bien sûr que oui ! Pour qui vous prenez, je suis une personne de renommer, voyez plutôt !

Elle ouvrit une grande bourse contenant des rubis jaune.

— Je constate avec plaisir que nous allons bien nous entendre, je vous en prie entrer, nous serons mieux pour parlementer.

Ils les firent entrés dans la bâtisse, ils passèrent derrière le comptoir entrant dans une sorte arrière salle, ils s’installèrent et commencèrent à discuter affaires.

— Alors que souhaiteriez –vous me commander. En ce moment je fais de bon prix sur les épées à doubles tranchants ainsi que les haches Guaurn.
— Quelle sorte d’armes est-ce ?
— Ce du matériel de guerres de nouvelles générations, très agréables à manier. Elles ont une particularité totalement à part entière, son utilisateur peut combiner son potentiel d’énergie à la hache et ainsi projeter des boules de feu et tout autres choses selon son propre potentiel mais je pense que cela vous intéresserait car nos prix sont très respectables.
— Je vois, cela me convient, alors prenait note, je vais vous prendre deux de ses haches que vous me donnerez immédiatement, elles sont pour mon garde du corps car son épée commence à se faire vieille ainsi qu’une trentaine d’épées de la meilleure qualité qui soit bien entendu… et aussi j’aimerais que vous me livrez tout ça discrètement car certains de mes voisins pourraient me causer du soucis. J’espère que vous allez me satisfaire sinon j’irai voir ailleurs.

Zelda laissa sa phrase en suspens pour voir si Alcoga aller mordre à l’hameçon qu’elle lui tendait, son petit numéro fonctionna à merveille, il conduisit Galacia et Zelda vers un escalier qui s’enfonçait dans le sol, l’humidité embaumée les parois, après quelques instants, ils débouchèrent sur immense salle ou des hommes se hâtés à la tâche de charger divers chariots.

— Ce que vous voyez est une sorte de commerce parallèle à celui que je fait, ce qui est sous vos yeux correspond à des commandes comme la vôtre, nous faisons parvenir nos articles discrètement dans diverses provinces pour des acheteurs, vous comprendrez aussi que cela ne doit pas être révéler sinon je serais obligés de prendre des mesures de prudences dont je n’aimerais pas faire usage.
— Ne vous inquiétez je ne veux pas moi non plus avoir de problème dans mes affaires mais je vous retourne d’ailleurs l’avertissement.
— Vous me plaisez bien mademoiselle, nous sommes faits pour nous entendre. Je vous propose de m’accompagner jusqu’à ma prochaine destination de livraison, vous pourrez ainsi constater que je satisfais toujours mes clients.
— C’est d’accord mais je veux avoir le meilleur convoi, j’y mettrais le prix si il le faut, bien sur.
— Vous n’en ferez rien je vous offre l’hospitalité dans mon chariot de voyage, avec ce que vous venez de m’acheter je peux bien faire ça.

Il leur présenta sa demeure « roulante », un véritable palace sur roues aussi somptueux que sa propre maison, sûrement bien protégée aussi. Un sifflement retentit dans la caverne tel un écho, plusieurs bruits similaires suivirent, toutes les carrioles furent solidement attelées avec leur chargement.

— C’est le moment ! Déclara Alcoga. Nous partons, tout le monde en route !

Zelda et Galacia montèrent à bord du chariot personnel du marchand d’armes promettant un voyage d’une grande aisance, ils agiront une fois à la frontière d’Hyrule.

* * *

Le crépitement des flammes était le seul son de compagnie des gardes qui faisaient leurs rondes sur les remparts du château, le cliquettement des armures s'harmonise parfaitement avec le bruit du feu des torches. Des ombres furtives inquiétantes furent repérées par un garde non loin de son poste, il se risque à aller voir si personne ne chercher à rentre illégalement dans l’enceinte du fort. Alors qu’il scrutait les alentours, il ne vit rien soudain dans un coin ou la lumière ne pénètre pas, une main en sortit attrapant le soldat et l’emmenant dans les ténèbres. Un craquement sinistre ressemblant à celui d’un os brisé résonna avec discrétion.

— Mais pourquoi t’as fait ça, demande une voix chuchotant. Cet homme n’y est pour rien dans ce qui se passe.
— Tu me fatigues Kahnn, répondit une autre voix. Je t'ai déjà dit et répété sans cesse que l’ennemi que l’on va rencontrer n’est pas comme ceux que tu as pu croiser. Regarde mieux le gardes est tu comprendras de quoi je parle.

Son regard se tourna vers le soldat auquel la nuque fut brisée mais son apparence avait totalement changée, c’était devenu une créature hideuse au visage non humain.

— Oh ! Bon sang ! Crie-t-il dégoûté. Mais c’est quoi cette horreur.
— Mais tu ne vas pas la fermer ! Tu vas nous faire repérer si sa continue… Tous ces soldats ne sont que des imposteurs, le roi aussi d’ailleurs, tous les serviteurs du château et les membres de la famille royale doivent êtres enfermés dans les prisons souterraines du fort.
— Alors que faisons-nous ?
— Tu va t’occuper des gardes de l’entrée en contrebas moi je vais tuer tous ceux qui arpentes les remparts et on se retrouve ici dans deux minutes.
— Attends tu plaisantes là ! Je peux pas me débarrasser de autant de soldats en si peux de temps.
— Fais-le, dit-il le regard noir.

Kahnn déglutit nerveusement, il fallait mieux pour lui qu’il exécute les ordres de Link si il ne voulait pas finir comme ce monstre qui gisait mort à ses pieds. Après tout il a raison, avec les progrès que j’ai fais je dois pouvoir nettoyer la zone assez facilement, se dit Kahnn.

Chacun partit de son côté, exécuter sa tâche, Link avancer à pas de loup tuant chaque gardes avec une discrétion et une aisance glaciale. Kahnn quant à lui n’eut pas le même succès, il réussi à en égorger deux mais les quatre autres il dut les affronter de face, il les envoya en enfer assez vite mais le tintamarre alerta deux gardes qui sortait de l’une des tours, Kahnn prit le réflexe d’endosser une des armures non moins maladroitement mais il eut le temps de la mettre correctement.

— Que se passe-t-il ? Demande un des deux. Nous avons entendus du raffut vers l’entrée.
— Oh ça ! Ne vous en faites pas, c’est moi le fautif, j’ai voulut m’asseoir sur ses plaques d’acier, indique-t-il derrière lui. Elles sont tombées et cela a fait un certain vacarme, je m’excuse.
— Tâche d’éviter ce genre de chose à l’avenir sinon je te fais décapité, est-ce que c’est clair ?
— Oui d’accord, à vos ordres chef.

Les deux soldats s’éloignèrent, Kahnn pousse un soupir de soulagement.

— T’es vraiment irrécupérable, dit une voix.
— Qu’est-ce que… Oh c’est toi ! Bon sang tu pourrez prévenir au lieu d’arriver en traître par derrière.
— Ben voyons, maintenant un rien te fais peur, t’es sur que t’es apte à défendre quoi que ce soit.
— Oh ça va, lâche moi avec tes remarques ! Réponds Kahnn l’air boudeur

Link eut un rictus moqueur, une chose rare que son compagnon de voyage n’omit pas de remarquer. Il se mit à rire lui aussi.

Link se charge de lui expliquer la suite du plan, la partie difficile commence alors, Kahnn ne put s’empêcher d’être exciter à l’idée d’une attaque comme celle-ci.

— Cette fois-ci voilà comment on va procéder: d’après ce que je sais les geôles du fort se trouvent au dixième sous-sol. Tu vas t’occuper de libérer les prisonniers.
— D’accord mais toi tu fais quoi ?
— Moi je vais m’occuper des imposteurs de la famille royale et avoir une petite discussion avec Rauru le sage qui nous à trahi. Voilà ! Alors cette fois-ci tâche d’agir sans te faire voir.

Leur chemin se sépare au milieu d’un couloir partant dans deux directions différentes, Link ne pouvait s’empêcher d’avoir un mauvais pressentiment, toute cette histoire est trop sombre pour être résolue clairement, Rauru : un homme dont la bonté mériterai des éloges digne d’un roi ; comment un tel revirement a pu être possible, pour lui une seul explication lui venez à l’esprit : Il est sûrement possédé. Le bout de se couloir se terminer sur un autre beaucoup plus grand, à quelques mètres une porte d’envergure imposante se trouver non loin de sa position, une dizaine de gardes bien armés et sans nul doute robuste en protéger l’entrée.

— Il doit être derrière cette porte.

Des bruit de pas résonner dans l’immense couloir, quelqu’un approchez, Link sentait une aura froide et malsaine, un homme d’allure normale apparut, il discuter avec un des soldats, après cela la grande porte s’ouvrit et se referme sur cet homme, Link n’avait plus le choix il devait agir maintenant. Il s’approche d’un pas sûr et serein ? un des soldat l’aperçu et l’interpelle aussitôt.

— Eh toi ! Qui est-tu ? Que viens-tu faire ici ? Répond où je te tranche la gorge !
— Je ne te dirais rien si ce n’est que si toi et tes camarades vous voulez rester en vie, je vous conseil de me laisser passer, lui envoi calmement Link.
— Je vois tu es encore un de ces fous qui veux tuer notre maître ! Ha ! Pauvre idiot Sheikah notre souverain est un homme d’une grande force, nul ne peut le battre.
— Si ! Une seule personne peut le battre et cette personne c’est moi.
— Je vois que ta langue est bien pendue, je vais te trancher ta sale tête et la donner en cadeau à mon maître ! Tuez-le !

Cinq hommes se ruent sur lui, les entrechoquements d’épées résonnaient dans le grand hall faisant un vacarme d’enfer, le chef du groupe grimaça en voyant que leur adversaire se contenter de parer leur attaque avec une seule main et le sourire aux lèvres. Deux ont finis par se faire tailler en pièce, les trois suivant n’ont pas attendus longtemps leur tour.

— Alors à qui le tour, ricana Link.
— Tu es fort mais ne me sous estime pas, je suis le chef des cette section et ma renommer est grande.
— Tes paroles n’ont d’égale que ta stupidité.
— Tu vas me le payer, enfoiré !

Poussant ces camarades, le chef du groupe se fraya un chemin vers Link, son visage était rouge de colère, il dégaine un immense sabre à la lame courbée, il essayé de frapper son ennemi a plusieurs reprises mais il était trop lent, Link se moque une fois de plus rendant fous de rage son adversaire.

— Tu commences à m’agacer, je ne pensais pas devoir en arriver là mais tu es allé trop loin !

Une aura bleuâtre entoure sa lame, celle-ci scintille de plus en plus au fil des secondes, il pousse un hurlement et jette sur Link un anneau de lumière d’une grande envergure.

— Écoute moi bien gamin, tu pourras tenter ce que tu veux mais sache une chose, ce cercle est aussi tranchant qu’une épée alors je serais toi j’exaucerais une prière pour mon salut.
— Tsss, c’est si pathétique comme discours ! Tu ne sais pas qui je suis ni ce dont je suis capable alors laisse moi de donner un avertissement : Regarde derrière-toi !

Le chef du groupe de garde se retourne le regard effrayé, Link se tenait derrière lui l’arme au point. Son regard se tourna vers son attaque qui alla se referme sur une des colonnes du grand couloir.

— Commet peux le voir tu n’es pas assez fort pour moi mais je suis quelqu’un qui a bon cœur, j’épargnerais ta vie à la condition que je ne te revoit plus.
— Je… je refuse, j’ai jurer fidélité à mon roi et… je donnerais ma vie sans hésiter.
— Que dis-tu ? Tu n’es pas un imposteur ?

Link l’observe avec attention et il eut beau chercher aucune parcelle de négation ne l’habite.

— Alors tu n’es pas au courant de ce qui se passe ici ?
— Que voulez-vous dire ?
— Regarde les hommes que j’ai tués et tu comprendras ce que je veux dire.

Celui-ci tourne son regard vers les cadavres, l’horreur lui sauta aux yeux.

— Mais qu’est-ce que c’est que ces trucs.
— Ces choses ont pris la place de tous les occupants du château, tu t’es fait leurrer toi aussi.
— Comment ? Mais comment une chose pareille a pu m’échapper, je ne comprends plus rien.
— Je ne veux en rien te vexer mais il semblerait que tu es quelqu’un d’un peu naïf et simplet. Ils se sont joués de toi en utilisant ta faiblesse d’esprit.
— Ce n’est pas vrai, je sais que je ne suis pas un être très brillant mais j’ai toujours était fidèle à mes convictions et à mon devoir.
— Écoute-moi, tu n’as plus le temps de te poser des questions, va dans les cellules du château, mon compagnon d’arme si trouve sûrement déjà.
— C’est d’accord je vais y aller… mais vous que compter vous faire ?
— Je vais m’occuper de l’imposteur qui a pris les rennes du fort, je veux lui faire avouer plusieurs détails important pour moi.

Le soldat acquiesça et s’en alla d’un pas rapide, les autres soldats prirent la fuite. Link qu’en à lui pénètre dans la salle du trône. La pièce était gigantesque, de nombreux tableaux et tapisseries arpentés la quasi-totalité des murs, il vit un homme assis au fond de la pièce, il fixer Link avec un regard étrange.

— Qui est-tu ? Et que fais-tu là ?
— Je suis venu quérir des informations sur ce qui se passe ici et… aussi tuer l’imposteur que vous êtes.

L’homme applaudit d’un air jouasse.

— Bravo quel discours éloquent, vous êtes vraiment un mélodrame de choc, vous seriez bien dans une pièce de théâtre. Mais voyez-vous j’aime les gens qui m’amusent, qui me donne du plaisir dans les combat, j’espère que vous êtes fort, les faibles sont tellement ennuyeux.
— Justement tu m’ennuies Sekhta ! Lui répond Link d’un ton glacial. Je vais vite en finir avec toi car mon temps est précieux et je n’aime pas le gâcher avec des insignifiant.
— Ho ! Ainsi tu me connais, mais me connais-tu assez pour savoir si tu resteras debout assez longtemps.
— Quel arrogance ! Je suis prêt. Vas-y viens !

Sekhta leva les bras, la salle parut devenir floue, le décor changea brusquement, l’on aurait dit que ce nouveau lieu était l’habitat de la mort. L’air était pesant, une odeur fétide s’empare des poumons de Link, il toussoter. Sekhta le regarde avec les yeux d’un prédateur près à foncer sur sa proie.

— Voici le lieu de ta mort, déclare-t-il avec un ton qui laisserait penser qu’il a perdue la raison. Celui ou je suis le prince, le juge et le bourreau, la mort que je vais t’offrir sera douce mais ta souffrance dans les ténèbres sera éternel. Je suis le dieu des abysses, je donne la mort aux âmes tourmenté, vénère moi ! Adule moi ! Prosterne toi et je rendrais ta sentence plus souple !

Sekhta était pris par la folie, son vrai visage se révéler : un homme ayant pris l’apparence du prince à l’aspect froid et à la folie débordante. Link laisse un sentiment d’inquiétude le traverser, cet adversaire est bien différent de ce qui l’a déjà affronter, ce combat ne sera pas aussi facile.

Chapitre VII

Voilà des heures qu’ils roulaient vers Hyrule dans la carriole personnelle d’Alcoga, Galacia n’avait rien dit durant le trajet, la princesse quant à elle commencer à s’ennuyer ferme.

— Dites-moi tous vos voyages sont toujours aussi ennuyeux, demande-t-elle d’un ton sarcastique.
— Je suis sincèrement désolé de ne pas avoir pu vous offrir un voyage plus jouissif mais c’est que je n’ai pas l’habitude d’avoir des clients avec moi durant mes déplacement.
— Ce n’est pas très grave de toute façon, intervint Galacia. Nous sommes arrivés à destination.

Alors que les carrioles commençaient à s’arrêtées, Zelda fit un signe de la main son acolyte pour lui dire de passer à l’attaque, il attrape Alcoga par derrière est d’un coup vif lui tranche la gorge, il posa délicatement le corps sur le sol mais soudain le corps se désintègre devenant de la poussière.

— Bon sang je m’en doutais, vociféra Zelda. Cet homme est vraiment très méfiant, il doit à se cacher sous l’apparence d’un de ses disciples.
— Que faisons nous dans ce cas, ils vont sans doute ce rendre compte de la supercherie si nous descendons sans son double.
— Je sais, ce n’est pas grave j’en prends le risque.

Ils descendent tous les deux la carriole, un des hommes d’Alcoga les accostent.

— Mon maître n’est pas avec vous ? Demande-t-il d’un air gêner.
— Si mais il vérifie certains documents et nous a dis de vous transmettre ses ordres en commençant les livraisons.
— D’accord, nous nous mettons tout de suite au travail.

Rien ne démontrait que Alcoga se méfie de quelque chose mais la princesse préférer rester prudente, ils peuvent se faire prendre à tous moments.

Ils avancent en tête des carrioles pour voir avec qui le marchand d’armes faisait ses plus importantes affaires, soudain la princesse eu un regard surpris en voyant l’acheteur : c’était un des généraux de la famille royale.

— Que se passe-t-il princesse ? Demande Galacia. Vous n’avez pas l’air dans votre assiette.
— Je ne comprendrais jamais pourquoi les gens trahissent les leurs pour de l’argent ou du pouvoir, ces tous bonnement inconcevable.
— Ne vous laissez emporter par la colère, celle-ci est mauvaise conseillère. Nous devons nous débarrassés de tous les traîtres sinon nous aurons des problèmes avec ces personnes plus tard.
— Que veux tu dire par là ?
— Nous devons nous débarrassés de ce général ainsi que tous ceux qu’ils dirigent. Mais avant nous devrons leur soutirer des informations.

Cela parait plus facile quant on le dit plutôt que de le faire, il y a beaucoup trop de monde pour agir maintenant, Zelda emmène Galacia avec elle dans un coin plus tranquille.

— Le seul moyen que nous ayons, c’est de nous déguiser en soldat et de nous infiltrer dans la garnison.
— Votre idée est bonne mais comment allons-nous faire ?

D’un claquement de doigt une lumière les enveloppe transformant leurs habits en armure de soldats de la famille royale d’Hyrule.

— Vu comme ça, C’est sur que c’est plus simple.

Zelda ne putt s’empêcher de rire face à cette remarque, c’est alors qu’un homme viens au même moment.

— Hé vous deux ! Hurla l’homme. Vous croyez que vous allez être dispensé de corvée. Allez emmener les caisses comme les autres si vous ne voulez pas que le chef vous fasse fouetter.
— A vos ordres ! Dire-t-il en chœur.

Chacun d’eux partis rejoindre le petit groupe de soldat qui déchargés et emmenés des caisses dans une pièce dissimulée dans le sol de la plaine. Alcoga se trouver avec ce qui sembler être un général d’après Zelda. Le marchand tient dans ses mains un papier sur lequel il écrit sans doute les prix des marchandises qu’il livre. Le chemin descendant sous terre aboutissait sur une salle immense dans laquelle plusieurs tunnels sont présents.

— C’est sans doute par la qu’ils emportent les armes amenées ici, chuchote Zelda.
— C’est mon avis aussi, réplique Galacia.
— Il faut absolument que l’on trouve un moyen de découvrir ou mène ces grottes.
— Pourquoi ne pas réitérer le sort que vous venez de faire il y a peu.
— Je ne peux malheureusement l’utiliser qu’une fois.
— Encore entrain de fainéanter vous deux ! Cria une voix. Puisque c’est comme ça je vous colle à l’acheminement des armes jusqu’au quartier général et bien sûr vous n’aurez ni ration, ni eau, rien du tout et que cela soit terminé demain matin à l’aube sinon je vous ferais pendre.
— A vos ordres !

Voila une chose qui ne peut mieux tomber. Un lourd socle se referme sur eux ne laissant que la lueur des torches qu’on leur à laisser.

— On dirait que la chance est avec nous. Déclare Galacia.
— J’espère qu’elle restera avec nous encore un petit peu. Dit Zelda sceptique. Bon trêve de bavardage mettons-nous en route.
— Attendez avant je vais poser quelque piège, histoire que d’éventuelle poursuivant ne nous dérange pas.
— Bonne idée.

Il lui a suffit de deux minutes pour s’exécuter. Ils se saisissent de leurs torches allant dans le premier tunnel, celui de droite ; après plusieurs minutes une autre lueur pouvait se mouvoir dans le noir accompagné de bruits souvent répétitifs. S’approchant prudemment de l’endroit, ils arrivent dans une salle immense rempli de monde s’attelant à des tâches ingrates.

— Mais… on dirait des esclaves ?
— C’est pas on dirait, ce sont des esclaves. Mais c’est étrange je ne vois aucun gardes.
— Si ! Regarder bien là haut.

Une trentaine de gardes étaient disposés tout atour de la pièce.

— Comment allons-nous faire pour éviter tous les gardes ? Demande Galacia.
— Je crois que nous n’ayons guère le choix, on va devoir tous les affronter mais d’abord il faut couvrir le bruit que nous allons faire.
Estyuist, fetrysdu, mytredssa, Te ioip Da !

Une onde s’échappe des ses mains se propageant dans toute la grotte.

— Qu’avez-vous fait ? Princesse !
— je utilisé le sort du Silence : ce sort forme une sorte de bulle qui ne laisse traverser aucun bruit nous pouvons donc nous battre l’esprit tranquille.
— Voilà une phrase qui me rassure, vous ne voyez pas d’inconvénient à ce que je commence.

Zelda n’eut de choix que de partir à sa suite, sur le passage menant à l’étage supérieur Galacia gela une dizaine de soldat. Arrivant en haut, ils firent face au reste du groupe.

— Halte ! Que faites-vous là ? Demande un des hommes. Vous devriez êtres entrain de surveillez la cargaison il me semble, retournez tout de suite à votre poste si vous ne voulez pas subir un châtiment pour votre désobéissance.
— Nous sommes pas la pour exécuter les ordres d’un enfoiré.
— Vous cherchez à me tenir tête hein ! Vous tous attrapez-les et jetés dans un cachot ses insolents.

Galacia et Zelda se sépares de leur déguisement montrant leur véritable visage.

— Mais… mais c’est la femme que recherche le seigneur Ganondorf, et lui c’est le traître Galacia ; vous autres ces deux là sont des ennemis ! Une forte récompense à ceux qui les capturent !

Quelques-uns se ruent sur eux, Zelda se débarrasse de deux soldats aisément.

Les quatre autres finirent par devenir des statues de glace.

— Galacia, mon ami nous n’avons pas le temps de nous attarder sur ce groupe, finis-en tous de suite.
— Vous ne savez vraiment pas prendre du plaisir… bon entendu.

Il se concentre pour préparer son attaque exécutant plusieurs figure avec ses mains une boule bleuté se forme peu à peu, le groupe de soldats commencé à ressentir une certaine panique, l’affolement remplacer le courage.

— Vite que quelqu’un sonne l’alerte ! Dépêchez-vous !

Le soldat n’eut le temps de faire tinter la cloche, il tombe à terre une dague planter dans la nuque.

— Pourquoi avoir fait ça Princesse ? Personne n’aurait entendu de toute façon.

Il faut savoir prendre du plaisir de temps en temps (elle lui fit un clin d’œil).

Galacia esquisse un petit sourire narquois avant de lancer son attaque de glace.

Gealraes Trastusa !

Il lance une immense vague de glace qui avale entièrement tous le groupe de garde, aucun d’eux n’y survécut.

— On peut dire que tu ne fais pas les choses à moitié toi au moins.
— Il est vrai que j’ai peut-être eu la main lourde cette fois.
— Allons à la rencontre de ces pauvres gens.
— D’accord.

Un petit garçon tombe devant eux renversant un seau d’eau qu’il transporté, son regard se tourne vers Zelda et Galacia on pouvait voir de la terreur, de la tristesse et de la crainte dan ses yeux.

— Je vous en prie ne me faites pas de mal, implore-t-il. Je ne pas fais exprès, je vous en supplie !
— N’aie crainte petit, dit Zelda d’une voix douce. Je ne suis pas ton ennemi, je suis venue vous libérez toi et les tient.
— Je regrette, mais nous ne pouvons faire cela, déclare une voix derrière elle.

Elle se retourne tombant nez à nez avec un homme âgé rongé par la fatigue et la vieillesse.

— Pourquoi ? Vous ne voulez pas retrouver la liberté ?
— Écoutez mon enfant, il y a peu un jeune garçon nommé Khann s’est enfui et depuis à cause de lui nous endureront la cruauté de ce monstre dont je ne citerais le nom.
— Quelque soit vos paroles je vous ferais sortir d’ici de gré ou de force, je vais vous ramener au village Cocorico.
— Même une fois là-bas nous ne pouvons être en sécurité, les hommes de ce monstre viendront nous reprendre comme pour la première fois et ils nous exécuteront pour donner l’exemple aux autres.
— Ne vous en faites pas pour ça, moi Zelda Princesse d’Hyrule je garantie votre sécurité et votre survie ! Si vous voulez échapper à cet enfer suivez-moi !

La foule se lance des avis partagé, certains veulent partir d’autres préfère rester de peur des représailles. Le vieil homme qui s’adresser à Zelda devait être en quelque sorte le chef de groupe, des hommes parlaient avec lui pour prendre une décision. Au bout d’un moment ils arrivent enfin à un accord.

— Nous sommes prêts à accepter mais à une condition : que vous changiez nos identités, si vous êtes la princesse cela devrait être facile.
— Je ferais tous ce qui est en mon pouvoir, je vous en fait la promesse sur mon sang (elle saisit sa dague et s’entaille le bras pour conclure le marché.)
— Vos paroles me semble honorable, nous allons vous suivre mais… comment allons-nous sortir d’ici, si nous passons par la ou vous êtes arrivés nous mettrons un certain temps à arrivés à Cocorico accroissant les chances de nous faire capturés.
— Dites-moi, intervint Galacia. Qu’est-ce qu’il y a au dessus de nous.
— Ça peu vous semblez bête mais au dessus est situé le pont qui mène à Cocorico, cela relate de l’ironie
— Demander à ces personnes de reculer je vais ouvrir une brèche ensuite princesse je vous laisse faire le reste.
— C’est bon vas-y !

Galacia concentre son énergie dans sa main et lance la boule vers le plafond de la salle qui gèle instantanément celui-ci se fragilise et finit par se casser comme du verre. Toute la foule avait l’air ébahit.

Sondage
Zelda TP, il va être...

vraiment excellent !
sans plus...
moins bien qu'OoT.
bien mieux qu'OoT !
archi nul.
dur de l'attendre aussi longtemps.
dans ma GC dès sa sortie.
offert à ZE par les membres du forum.
temps que je sache ce que c'est.
mais pour l'instant il n'est pas.
Lol u jelly retrofag?

Voir les résultats

Newsletter

Liens
thePoussin
Princesse des Ânes
Palais de Zelda
Zora Farceur
Reven Niaga
Zelda-Systeme
KillorkZone

Zzotres L'équipe
Trucages
Humour
Concours
Forum