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Autres Zelda Zelda CD-I
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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57) << Précédent - Sommaire - Suivant >> Chapitre 7 – Le livre des légendesZelda regardait par la fenêtre. Elle n’avait toujours pas le droit de se lever, mais au moins de s’asseoir dans le lit. La musique monotone était son compagnon depuis qu’elle était là. Depuis combien de temps ? Deux semaines, plus au moins. Oui le coup que Ganondorf lui avait porté était terrifiant. Quelle chance qu’elle était encore en vie ! Et qu’elle chance d’avoir été sécuré par un médecin si habil que Calire ! Elle s’en était sûr qu’aucun autre médecin l’aurait pu sauvée de la mort. Calire consacrait corps et âme à son métier comme elle ne l’avait jamais vu. Rien qu’en jetant un regard sur elle, il savait déjà si son était s’était amélioré ou non. Et tout les jours la musique était là, tôt du matin jusqu’au tard le soir. Toujours la même monotonie. Zelda avait tenté de discuter sur l’ami du médecin qui jouait tellement souvent, sans cependant sembler s’en fatiguer. Mais à chaque fois, il réussit à éviter le sujet, et à chaque fois une grande tristesse se gravait sur son visage, pour ne pas le quitter aussitôt. Rien qu’une fois, Calire lui en parlait de son ami. Une phrase très courte : — Il s’appelle Ryaon. Rien de plus. Calire évita également toute sorte de questions. Où elle se trouvait exactement par exemple. Il y avait que les bois perdus comme forêt, et tout le monde savait bien que seul les Kokiris peuvent s’y aventurer sans être transformé en fleur après quelques heures. Mais Calire évitait ces sujets. À chaque fois il réussit à attirer l’attention de la reine sur autre chose, ou à simplement lui faire oublier ses questions. Et avant qu’elle se souvenait de sa question, le médecin avait quitté la pièce, parfois même dans une fraction de seconde, bien qu’un tel acte était tout à fait impossible. Cet homme était mystérieux aux yeux de Zelda, mais le fait qu’elle pouvait lui fait entièrement confiance ne la quittait pas. Ainsi elle ne se soucia peu sur le sujet du médecin. Mais tout comme Link, la question d’où et comment Ganondorf était revenu, avait acquis une telle force ne la quittait pas. Calire… il avait insinué quelque chose au sujet du vil sorcier… Elle le demanderait à la prochaine occasion même s’il évitait le sujet sans aucun doute. Comme par miracle, la porte s’ouvrit, silenscieusement bien sûr, et le médecin entra, toujours en blanc, toujours entouré par son aura confiant. Il tenait entre ses mains un livre relié en cuir béige. Il examina Zelda, comme il le faisait toujours quand il entra. Il hochait la tête. — Parfait, bientôt vous pouvez vous lever. Zelda s’en réjouissait. Enfin ! Deux semaines cloué au lit étaient bien ennuieuses. Elle regardait le livre d’un air curieux. Elle connaissait cela. Calire était parfois un peu étourdie, et oubliait de déposer des objets qu’il avait en main. Une fois il était entré avec une poêlle en main, et Zelda lui avait demandé si c’était un geste pour qu’elle fasse les tâches ménagère. Par la suite de médecin était horriblement gêné et s’excusa mille fois. La reine avait éclaté de rire. Maintenant Calire suivit le regard de la reine. — Oh…j’ai encore oublié que j’avais un objet en main, murmura-til honteux. La reine rigola. — On s’y habitue, répondit-elle. Calire souria puis s’approchait du lit, et mit le livre sur la commode. Zelda en profita alors pour poser la question. — Quand je me suis reveillée, vous avez dit quelque chose sur Ganondorf, « alors lui aussi… » vous avez dit. Qu’avez-vous voulu dire au juste ? Calire la regardait d’un air ahuri. — Je ne vois pas de quoi vous parlez, répondit-il puis secoua la tête, j’ai jamais dit une chose pareille. Vous étiez sans doute trop fatigué encore, vous avez dû rêver. Zelda hésitait. Les mots du médecin était convainquants…si seulement il n’aurais pas secoué la tête pour lui dit de se taire quand il avait parlé de Ganondorf. Elle ne savait pas quoi croire, les paroles du médecin, ou sa conviction de l’avoir entendu parler ses paroles ? Elle jeta alors un regard sur le livre, et elle oubliait aussitôt ses pensées. Sur la première de couverture était marqué un symbole lui étant bien connu : Trois triangle, la Triforce ! — Qu’est-ce que c’est comme livre ? demanda-t-elle. — Ce livre enferme des récits sur des légendes, répondit Calire, si vous voulez je vous le laisse, même si vous êtes incapable de lire la langue. Par contre il y en a de très belle illustrations qui en valent la peine d’être admirées. Il sourait. Zelda hochait lentement la tête. — Demain…sans doute, demain vous pouvez vous lever et aller faire un tour autour de la maison. Mais pas trop longtemps et pas seule, dit-il, puis il tourna les talents et s’en alla aussi silencieusement qu’il était venu. Aussitôt la reine prit le livre. Doucement ses doigts glissaient sur les trois triangles enfoncé dans le cuire. Était-ce un hasard ? Avait le symbole rien à faire avec la triforce ? Elle ouvrit le livre. D’étranges signes remplissait la page, des signes qu’elle en avait jamais vu. Ce livre ne provenait pas d’Hyrule. Donc, pa consquénce, les triangles ne symbolisait pas la Triforce. Mais elle se trompait. En tournant les pages, elle tombait sur des illustrations lui étant bien connu : la création du monde par les trois déesse Din, Farore et Nayru et d’autres ayant un rapport à la légende de la Triforce. Mais elle tombait également sur des images lui étant inconnues. L’un d’entre elle, représentait des armures. Trois en tout : Une blance, une d’orée et une rouge. À chaque côté d’une armure se trouvait une sorte de flèche : Pour la blanche des flèches de glace, la d’orée des flèche de lumière et pour la rouge des flèche de feu. L’illustration était entourée de notices, mais elle y comprenait rien. Sans doute une autre légende, se pensait la reine. Toutefois, la légende de la Triforce se trouvait sur bien plus que le trois quarts du livre entier. Donc, pour les quelques pages qui restent une légende pour soi… Mais jamais elle avait vu, ou entendu d’armure dans la légende. Ou bien… se pouvait-il qu’elle tenait entre ses mains, un livre où était écrite une partie de la lègende lui étant inconnu ? Pas seulement à elle mais à tout Hyrule ? L’écriture n’était pas une des royaume avec lesquels Hyrule faisait du commerse. Mais quel autre peuple était donc au courant de la légende de la Triforce ? Zelda se mordit les lèvres. De nouveau Calire avait réussit à détourner ses pensée du sujet actuel. Il avait répondu à une de ses questions, mais il lui en avait donné un bon tas de nouveaux aussi. Comment faire avouer le médecin ? Il lui cachait des choses, elle en était certaine. Mais…mais il avait l’air tellement confiant. Oui, il avait l’air tellement confiant, sans doute son arme la plus redoutable ! C’était tellement facile de se faire détourner les pensées de tout oubiler, les supçons, les questions, rien en voyant son sourire d’ange, qui rassurait qui laissait aucun doute d’être entre de bonnes mains. On ne pouvait pas capter une seule pensée clair en sa présence. Mais quand il était parti non. Et Zelda doutait. Était-ce rien que la comédie ? Ou non ? Mais une chose était sûre : Cette croyance de confiance hypnotisa. Une arme ou simple hasard ? La reine soupira. Non, cela était trop bizarre. Où donc avait-elle attérit au juste ? Et Link, que faisait-il ? La croyait-il morte ? Elle sentit une histoire s’approcher, une aventure, dont elle n’osait pas s’imaginer les dimensions. Elle serait spéciale et dangereuse, mieux vaudra de ne pas s’en inquiètez maintenant… Elle se laissait retomber dans le lit. Demain elle pourrait se lever… elle pourrait voir cet ami étrange, dont Calire ne parlait jamais… |
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