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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

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Chapitre 47 – Épreuves

Link était assit et réfléchissait. Dans quel étrange endroit l’ange déchu l’avait envoyé ? Le noir absolu régnait tout autour de lui, pourtant son corps luisait comme s’il était éclaircit de toute part. Aucun ombre n’y figurait. Link pouvait sauter, frapper au « sol » mais aucun bruit ne retentit et son corps fut retenu par quelque chose sans que cela n’existe réellement. Il n’avait pas l’impression de toucher réellement quelque chose cependant son corps fut clairement retenu par une.

Le héros du temps avait cessé toute tentative de retrouver son chemin en palpant. Il se trouvait dans un endroit très étrange dont il ne pouvait pas s’en sortir en marchant simplement.

C’était pour cela qu’il réfléchissait. Comment pouvait-il s’en sortir d’un endroit pareil ? Aucun objet n’en pouvait faire l’affaire. Il lui restait uniquement sa magie. Mais comment utiliser sa magie ? Il ne voyait qu’une solution : essayer de geler tout autour de lui en espérant que le noir se brisera sous la tension de la glace.

Il reposa sa main sur le « sol ». Ensuite il ferma les yeux et concentra tout son énergie dans sa main. Il n’était pas encore très habitué à ce genre d’exercice, malgré l’entraînement avec Vnet. D’ailleurs, il se rappela alors d’une remarque que ce dernier lui avait faite :

Si jamais il forçait trop sa magie, il risquerait de tomber dans un coma éternel.

Mais avait-il réellement le choix ? Il devait sortir de ce noir ! Et si jamais il doit dépasser ses limites, alors il les dépasserait. Que pouvait-il faire d’autre ?

Lentement la glace commençait à jaillir de sa main, couvrant le noir. Link garda les yeux fermés. Il sentit comme son corps se vida trop rapidement à son goût d’énergie. Cependant il n’arrêta pas, même quand la sueur perlait sur ton corps, même quand respirer devenait un vrai martyre. Au contraire, il s’efforçait alors encore plus pour pomper l’énergie restant dans sa main ou elle se transformait en glace. Son corps tremblait par manque de force et par le froid qui s’était installé.

— Allez Link, un petit effort, tu es si proche du but…

Avec cette pensée en tête, Link libera ses quantités d’énergie final. Link ouvrit les yeux me vit plus rien. Il bougeait mais ne sentait plus le moindre de ses membres. De très loin il pouvait encore entendre le craquement de la glace, mais il s’en rendait plus compte…

* * *

Seriel se leva da son trône.

Vnet et Ryaon, assis sur une immense table à la droite du siège de l’ange, levèrent leur regard vers lui. On avait installé de quoi à manger à leur égard, mais aucun des deux n’y touchait beaucoup.

L’ange faisait un court geste avec sa main, et pour la surprise des deux êtres, Link apparaissait devant l’ange, flottant horizontalement dans l’air, les yeux ouverts mais étrangement vides. Des perles de glaces étaient accrochées à ses vêtements

— Link ! s’écria le tailleur et voulait rejoindre son frère mental. Mais avec un geste de la main Seriel lui faisait signe de ne pas s’approcher. Vnet s’arrêta.

— Link…, murmura Vnet, a-t-il déjà réussit ?

Le regard de Seriel restait fixé sur le héros du temps.

— À ton avis ? dit-il à Vnet.

Ce dernier ne lui répondit pas.

— L’avait-on bien mis en garde des conséquences d’un excès de magie ? demanda l’ange.

— Oui…, fut la réponse du tailleur.

— Bien.

Seriel laissait glisser sa main droite sur le corps de Link. Quelques instants après, le héros du temps disparut de nouveau.

— Que… ? bégaya Vnet.

— Votre ami était tombé dans un coma éternel, expliquait Seriel, mais je n’estime pas cela comme une courte morte non souffrante.

— Vous l’avez guéris et renvoyé ? demanda Ryaon, les mains croisées devant sa poitrine dévisageant l’ange déchu d’un air méprisant, intrigué.

Seriel l’observait quelques instants, ensuite il se rassit sur le trône.

— À quoi tu joues ? demanda Ryaon méfiant, nous pourrons te tuer ici sur place, tu t’en rends compte ?

— Parfaitement, répliqua l’ange, affichant un léger sourire, mais si vous me tuez, votre ami n’aurait plus la possibilité de revenir…

Vnet vit du coin de son œil comment Ryaon fermait ses mains en poings. Ce qu’il détestait de plus était être libre, sans vraiment l’être.

* * *

Lentement Link reprit ses esprits. Il sentit comment son corps reposait sur du sol ferme, mais il ne s’agissait pas de pierres. Il poussa un gémissement, ferma sa main en poing et remarqua comment quelque chose restait coincée entre ses doigts. De l’herbe !

Rapidement le héros du temps se mit debout, le regard perplexe. Les alentours était désolants : L’herbe donnait l’air d’être à moitié mort, de même pour les végétations restantes, tels des arbres, hais. Ils semblaient avoir abandonné chaque tentative de ce réjouir de leur vie. Le ciel était couvert de nuages noirs qui ne laissaient aucun rayon de soleil les traverser. Pour finir, une étrange lueur d’un jaunâtre sale était présente.

Link frissonnait. Cet endroit lui donnait la chair de poule. Soudainement il entendit la voix de l’ange déchu dans son esprit:

Le temps presse. Je ne peux pas vous soumettre aux épreuves que j’ai voulu. Ainsi donc, passons à la plus importante. Êtes-vous vraiment digne de votre nom ? Revenez dans le château.

Link soupira. Revenir dans le château ? De loin, il voyait une silhouette qui pourrait être celle d’un château, mais il avait comme un pressentiment que ce n’était pas le bon.

Au fait, je vous ai donné votre habillement Kokiri, il me semble que ce serait meilleur que les vêtements du XXIième siècle…

Link regarda à ses pieds. En effet, l’ange avait dit la vérité. Ses vêtements verts étaient là, soigneusement pliés, le fourreau avec l’épée nocturne ornait le tas. Link cherchait une bonne cachette afin de se changer sans être dérangé.

De nouveau dans ses bons vieux vêtements, Link commençait sa marche vers la silhouette qui semblait être un château. L’atmosphère de l’endroit pesait lourd sur ses épaules. Les alentours ne changeait pas : Une vaste plaine où le nombre d’arbres croissait et décroissait irrégulièrement. C’était vraiment désolant. Link se demandait bien où il était atterrit.

Mais le vrai choc arrivait quand Link était en vue de la ville. Déjà de loin ses murs d’enceintes donnait une impression pessimiste. Imposants et d’une couleur sombre indéfinie ils entouraient la ville. Le héros du temps avala sa salive. L’intérieur devait ressembler à une prison, ou du moins en donner l’impression.

Il passa l’énorme portail et se retrouva dans une ville entièrement déserte. Rien que les maisons, aussi sombres que le reste du monde montraient que la ville ne devait pas être abandonnée. Leur état était bon. Mais pas la moindre signe d’un être vivant. Link avait un mauvais pressentiment. Un très mauvais pressentiment. Il traversa la sombre ville jusqu’à venir au château. Là au moins, il s’était attendu à un garde. Mais tel n’était pas le cas. Le héros du temps resta donc indécis devant le château aussi obscur. Comme si rien de clair ne se trouvât dans ce monde. Il examina l’entrée du bâtiment et constata avec horreur que le signe de la Triforce saluait tout ceux qui pénétraient à l’intérieur. Se trouverait-il à Hyrule ? Impossible ! Carrément impossible ! Hyrule ne ressemblait pas à ce monde sombre et obscur. Loin de là ! D’un coup sûr, le héros du temps entra dans le palais. S’il voulait savoir où il se trouvait, c’était dans la bibliothèque du château, dans les chroniques. Et vu qu’il n’y avait personne… L’intérieur du château était encore plus obscur étant donné que les petites fenêtres empêchent la lueur jaunâtre à pénétrer à l’intérieur. Personne non plus dans le hall d’entrée. Link continua alors au hasard, escaladait, descendait les escaliers au hasard, choisissait les couloirs par pour instinct. Il se retrouvait dans la cuisine, un dépôt d’utiles ménagers, la salle du trône et la salle à manger.

Finalement, Link ne savait pas comment il a fait, il se retrouva en haut d’une tour devant une porte. Il douta qu’il s’agissait de la bibliothèque, mais quelque chose le poussa à pénétrer tout de même dans la pièce.

C’était une chambre à coucher. Un baldaquin se trouvait au milieu de la pièce. Et Link vit la silhouette d’une personne couché. Il avala sa salive. Mieux voudrait quand même partir… Mais trop tard. La personne dans le lit se redressa. La lumière jaunâtre passant par l’unique fenêtre éclaircit son visage : C’était une jeune femme, aux long cheveux noirs, le visage pâle, les lèvres délicats. Ses yeux étaient marrons est dégageait aucune surprise, voir même de l’indifférent vis-à-vis de son visiteur. Ils se regardaient dans les yeux quelques minutes, puis soudainement elle ouvrit la bouche pour laisser échapper un crie dont Link compris que trop bien les conséquences :

— GARDES !

Rapidement il tourna les talents, mais des soldats se trouvaient déjà dans l’encadrement de la porte. Les déesses savent comment ils sont apparut si vite ! Le héros du temps calculait ses chances ce qui n’était pas particulièrement difficile : La fenêtre était trop petite pour qu’il pourrait passer, le seul issu, la porte, bloquée par deux gardes. Link leva les deux mains en signe de capitulation. Il n’avait pas particulièrement envie d’engager le combat dans une pièce si petite. Il allait laisser faire le destin… les déesses lui aideront sans doute.

— Apportez-le dans la salle du trône, ordonna la jeune femme.

Les gardes s’inclinaient.

— Tel est votre désire, tel sont nos actes Majesté.

Ils emmenèrent Link qui ne riposta pas. D’ailleurs, il remarqua que riposter n’aurait servit à rien. À présent le couloir était rempli de soldats et de serviteurs. Le héros du temps remarqua sur toutes les visages cette indifférence, ce manque de sentiment qui provoque des frissons dans son dos.

Après l’avoir amené dans la salle du trône, les deux gardes attachaient ses mains et ses pieds, et le forçait d’aller aux genoux en direction du trône. Dans les minutes qui suivaient, la salle se remplissait de gens. À droite du siège, des hommes portant tous des longues capes noirs, à gauche les soldats. Derrière Link s’installaient les serviteurs. La dernière à apparaître sur les lieux était la femme d’avant, la reine. Le héros du temps était un peu intrigué par les événements. Il croyait qu’on allait s’occuper de lui plus tard, le jeter en prison. Mais on dirait qu’ils vont faire tout un jugement ici sur place. Et il ne se trompait pas.

— Nous nous sommes rassemblés ici au temps du repos, déclara la reine, pour juger sur le premier individu qui s’est infiltré au château depuis la création de la terre.

Link fronçait les sourcils. Au temps du repos ? Mais s’il était le premier à pénétrer dans le château, alors cela expliquerait le manque des gardes….

Un des hommes à droite prenait alors paroles :

— Majesté, pourquoi lui faire le procès ? Il s’est infiltré dans votre chambre, il vous regarder sans cesse et sans gêne droit dans le visage. C’est suffisant pour l’exécuter ici sur place.

Link écarquillait surpris les yeux. L’exécuter ici sur place ?! Il avala sa salive.

— Qu’il dise son nom ! déclara le reine en ignorant la remarque de l’homme.

— Link, répondit le héros du temps.

— Nous ne possédons pas un habitant de ce nom, remarqua un autre hommes qui examinait un parchemin.

— Je ne suis pas de ce pays, se défendit Link, je suis un étranger et je ne connais rien de vos coûtmes.

— Un étranger ?

La voix sévère et froide de la reine fouetta des murs.

— Un étranger qui porte ouvertement le symbole de la Triforce sacrée sur soi, ce qui n’est permis qu’à ceux du sang royal ? Et d’où viens-tu donc ? Au sud un immense mur barre la route, la montagne de la mort dévore tout ce qui y entre avec ses masses rocailleuses, et le désert froid te torturera dès les premiers pas que tu y fais. Tu ne peux pas venir d’autre part !

Link avala sa salive. Il avait le très mauvais pressentiment que cela tournait très mal.

— Majesté.

Un autre des hommes à la droite du trône prend la parole.

— Observez-le. Il porte des habits bien différents des nôtres. Déjà la couleur nous est inconnu. Et son expression est bien différente de la nôtre aussi. Il est, tout comme il est différent de nous. Pourquoi n’aurait-il pas réussit de franchir la montagne de la mort, ou bien le désert froid ?

— Quoiqu’il en soit, s’emmêla un autre, les actes qu’il a commis sont impardonnable. Pénétrer au temps du repos dans la chambre de sa Majesté, la regarder droit dans le visage pendant des minutes et maintenant encore il ne se gêne pas ! De même qu’il est armé !

Rapidement Link baissa les yeux. Mais la reine attirait son regard, comme les fleurs les abeilles. Elle était belle, tellement froide et placide en même temps. Et même cela ne la décrivit pas. Elle n’était pas froide pas placide. Quelque chose de tout différent que Link n’arrivait pas à définir. Quelque chose que tout les gens présent dans la pièce avaient, mais qui échapper au savoir et à la connaissance de Link.

— Chacun qui regarde la reine est puni par la mort, déclara un autre, pourquoi faire une exception ? Exécutons le sur place !

— L’exécution est certes nécessaire, reprit le même homme qui avait soutenu Link avant, mais pourquoi maintenant ? Nous sommes tous fatigués. Le temps du travail serait dur pour nous tous. Pourquoi ne pas l’exécuter pendant le temps du travail au publique ? Cela servirait de leçon au peuple, si jamais ils ont l’idée de faire pareil que lui.

— Il a raison. Enfermez-le aux cachots jusqu’à ce que l’heure soit venue. Reposons-nous pour le temps qui nous reste ! déclara la reine.

Les gens s’exécutaient sur place. Les hommes, soldats et serviteurs partirent. Rien que demi-douzaine de gardes restait afin de monter à Link sa chambre à coucher sous la terre, dépourvue de toute fenêtre, de toute lumière. Il y faisait tellement noir que Link ne voyait même plus sa main devant les yeux, ne distinguait las les murs qui emmagasinèrent la froideur pour torturer le héros du temps. Ce dernier se demandait ce qu’il pourrait bien faire. Dans ce noir il ne trouverai jamais la porte, et même si, comment sortir ? Dans quelques heures il sera exécuté en publique. Quel joyeux avenir ! Il se recroquevilla. La froideur pénétra à travers ses vêtements jusqu’à ces os, glaçait tout ses membres. Il ne pourrait jamais sortir d’ici. En plus ils ne vont pas commettre la faute et laisser sa prison sans surveillance. Le seul ici qui lui restait était une fuite pendant l’exécution ce qui était, il estimait, tout aussi impossible.

Donc il allait mourir avant d’avoir pu sauver Hyrule…quel héros lamentable il faisait quand même !

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temps que je sache ce que c'est.
mais pour l'instant il n'est pas.

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