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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

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Chapitre 46 – La cité des Elfes

Zelda remarquait rapidement quand ils avaient changé de monde. En effet, le sol devenait soudainement moue. Calire l’avait guidé à travers la salle, sa main devant ses yeux. Simple raison parce que lieu était saint, parce qu’elle ne devait pas le voir, mais que la situation avait forcé le médecin à emprunter ce chemin.

Le médecin enleva sa main. Une splendide vue s’offrait à Zelda : ils étaient proches de la lisière d’une forêt centenaire. Le soleil couchant laissait ses rayons se livrer à de magnifiques jeux de lumière entre les feuilles des arbres. A travers le feuillage, la reine remarqua un bâtiment d’un beige très clair qui semblait avoir de grandes proportions. Très grandes, même. Le bruit d’une cascade venait s’ajouter à la féerie du lieu…

En quittant la forêt, Zelda remarquait que le bâtiment semblait faire partir de la nature. Comme un caméléon. D’ailleurs rien que quelques ornements qu’elle vit de loin, ainsi que la matière de la demeure prouvait que cette habitation avait bon est bien été construite par des êtres vivants. Un lieu parfaitement en harmonie avec la nature dont Zelda était incapable de s’imaginer les dimensions. C’était grand, vaste, cela se voyait, mais à quel point…

— Le frère d’Àràndun n’habite pas seul je suppose ? demanda la reine. Calire la dévisagea avec un regard étrange.

— Bah… si, dit-il.

Zelda écarquillait les yeux :

— Tout ce grand bâtiment lui appartient donc ?!

Le regard de Calire devenait de plus en plus étrange.

— Il s’agit d’une ville reine, remarqua-t-il, une ville construite et habitée par des elfes.

— Par…pardon ? murmura Zelad surprise.

— Venez, vous comprenez mieux si nous sommes plus près, répliqua Calire, il est difficile de voir les détails si éloigné.

En effet, dès qu’ils s’étaient approchés un peu, la reine remarquait que ce n’était pas un bâtiment, mais un rassemblement de plusieurs bâtiments, qui, cependant, ne faisait qu’un. Et toujours, on avait l’impression que ce lieu faisait parti de la nature ornée avec cette petite touche qu’il avait été construit par des mains.

— Cette ville fait un avec la nature, expliqua Calire, le peuple des elfes fait un avec la nature. Imaginez-vous un grand bâtiment, un château peut-être, dans lequel se trouvent plusieurs maisons, des tavernes, des magasins. Cela devait vous aider à imaginer le lieu. Bien que la cité des elfes est encore bien différent de cela, parce qu’il ne fait qu’un avec la nature. Il s’ouvre la nature. Vous verrez mieux si nous sommes entré.

— Mais, remarqua la reine, si ceci est une cité des elfes, alors, Yueh aussi est-il un elfe ?

— Oui bien sûr, répondit Calire, et Àràndun est un humain. La nature avait trouvé plus captivant de laisser naître deux jumeaux dont l’un était un elfe et l’autre un humain plutôt qu’un demi-elfe.

Zelda ne répondit pas. Ils suivaient maintenant un chemin qui mena vers la ville.

— Pourquoi Àrandun préfère-t-il vivre dans un village détruit qu’avec son frère ? continua Zelda.

— Parce que dans ce lieu habitent des elfes. Àràndun se sentirait encore plus perdu que dans le village détruit. Là au moins il vit en harmonie avec ce qu’il entoure. Ici, il vivrait toujours dans le sentiment d’être différents des elfes, etc. De même qu’Àràndun et Yueh sont frères, mais ils sont comme la lune et le soleil. Très différent. Ils ne se supporteraient jamais tous les jours l’un à côté de l’autre…

Zelda ne rétorquait rien. Son regard glissait sur l’homme qui venait à leur rencontre. Un elfe plutôt. Cette race n’existait certes pas à Hyrule, cependant la reine avait entendu en parler dans les légendes. Voir même que les Hyliens descendait apparemment des elfes mais qu’ils étaient plus semblables aux humains. Rien que les oreilles pointues restaient, ainsi que pour quelques uns le pouvoir de manipuler la magie.

L’elfe qui s’avançait vers eux était plutôt grand, dans les environs d’un mètre quatre-vingt dix. Il avait un visage fin, un peu pâle, des yeux dorés et des cheveux argentés. Le frère d’Àràndun qui lui, avait les cheveux dorés et les yeux argentés. Yueh portait une langue tunique bleue nocturne avec des bords dorés.

— Calire ! salua-t-il le médecin d’une voix plutôt froide, te voilà enfin. Nous étions inquiets pour toi. Ce n’est pas dans tes habitudes d’être en retard. Qu’est-ce qui s’est passé ?

Rien dans sa voix ne montrait qu’il avait été inquiet au sujet du médecin, encore moins qu’il était soulagé à présent de le voir.

— Je m’excuse Yueh, répondit Calire, mais un allié de notre ennemi a eu cette superbe idée de détruire le miroir menant vers ton monde. J’ai dû faire un détour ce qui a causé le retard suite à la différence temporelle.

— Je vois, dit Yueh, il faudrait en créer un nouveau.

— Je m’en occuperai, proposa Calire, je suis de toute façon le seul à pouvoir réparer la liaison d’un monde perdu.

Yueh inclina la tête.

— Quoi qu’il en soit, vous devez être fatigué, vous feriez mieux de vous reposez avant tout.

Calire affirma. Mais l’attention de la reine était attirée par autre chose. Par un arbre. Ou plutôt, l’élément étrange de cet arbre. Une sorte de queue aussi fine qu’une corde qui se finissait en touffe qui, elle, empêchait une petite bague à tomber. Elle pointa vers cette « corde ».

— Qu’est-ce que c’est ? demanda-elle intriguée.

Le regard des deux êtres glissa sur la chose indiquée.

— Culdiliel ! s’écria Yueh et tira une fois fortement à la queue.

Par la suite, une jeune fille ailée tomba en poussant un cri de surprise de l’arbre.

— En fait de l’espionnage maintenant ? s’irrita l’elfe.

La fille ne répondit rien.

— Tu peux au moins dire bonjour à Calire, continuait Yueh, ou bien tu as peur que cela t’étrangle ?!

Elle ne répondit toujours, mais jeta un court regard significatif à Calire. Ensuite, elle s’envola dans les airs et disparut quelque part à l’intérieur de la ville.

Yueh poussa un soupire.

— Cette fille est impossible ! siffla-t-il, n’obéit à personne à part à toi Calire ! Comment tu le fais ?!

Calire semblait ignorer les dires du l’elfe. Il semblait réfléchir.

— Cela fait combien de temps au juste que je suis parti ? demanda-t-il.

— Oh, assez, j’ai arrêté de compter tellement longtemps ça fait, répondit Yueh.

Calire écarquillait surpris et choqué les yeux.

— Oh mon dieu ! s’écria-t-il, tellement longtemps ?! Le séjour chez ton frère à bien basculé mon plan du temps ! Je lui avais dit que je serais de retour dans deux années maximum ! Je suis un mort !

Sans dire un mot de plus, le médecin se précipita vers la ville, laissant Zelda et Yueh seuls. L’elfe fronçait les sourcils.

— Alors, ça arrive même à Calire de se tromper… ? murmura-t-il pour soi.

— Qui est cette fille ? demanda la reine qui n’avait pas entendu le murmure de Yueh.

— Culdiliel, répondit l’elfe, une Kuruka.

— On m’a dit que ce lieu est peuplé d’elfes, remarqua Zelda.

— C’est le cas. Les elfes y vivent, ainsi que les Kurukas. Mais les Kurukas préfèrent cacher leur identité et ils se prétendent alors d’être des elfes.

— Cette fille n’avait pourtant pas l’air très elfique, s’intrigua Zelda.

— Les Kurukas possèdent deux apparences. Une « vraie » et une « fausse ». Cette sacrée têtue de Culdilien garde toujours sa véritable apparence.

— Est-ce mauvais d’être dans sa véritable apparence ? continua la reine.

— Pas nécessairement, mais si jamais elle tombe sur un allié de Venon, elle sera dans le pétrin.

Yueh haussa les épaules.

— On a beau lui le dire cent fois, elle n’abandonne sa véritable apparence que quand Calire l’ordonne. Si vous vouliez bien me suivre à présent.

L’elfe se mit en route vers la ville. Zelda le suivit. Ainsi les Kurukas possèdent deux apparences ? Donc Vnet et Calire aussi devaient en avoir une ? À quoi elle ressemblait ? Avaient-ils aussi une queue et des ails comme cette Culdiliel ? Zelda s’imaginait toutes les apparences possibles surtout pour Calire. Mais rien ne semble réellement aller à ce personnage.

Mais les pensées de la reine furent brusquement changées quand ils pénétraient dans la ville. Elle était indescriptible… ! On ne pouvait pas réellement parler d’un bâtiment non plus. Comme déjà dit si souvent, il faisait parti de la nature et il était ainsi. Le bâtiment était de partout ouvert, laissant filtrer ainsi la lumière du jour et le vent dans l’intérieur et on avait l’impression de se trouver dans une ville et non un bâtiment. Des fois, la construction diminuait doucement mais sûrement pour laisser place à la nature. Naturellement cela avait l’air tout naturel. Il fallait réellement se rendre dans ce lieu, pour comprendre sa beauté surprenante.

L’elfe guida la reine à travers le bâtiment, des milliers d’escaliers. Les passants observaient la nouvelle venue curieusement, remarquant d’une part sa ressemblance avec eux, et d’une autre part le côté humain des hyliens. Zelda s’était déjà complètement perdue dans le labyrinthe de la cité quand Yueh avait enfin atteint son but : un appartement, si on pouvait appeler les demeures de cette ville ainsi. Il la guida dans une pièce.

— Attendez ici la venue de Calire, lui dit-il simplement puis était parti.

Zelda se retrouvait donc seule dans une quiconque demeure d’un quiconque elfe ou Kuruka. Yueh l’avait guidé dans une chambre à coucher. Un double lit se trouvait contre le mur avec, à chaque côté, une commode. La pièce se terminait en balcon, séparé avec des simples piliers du reste et qui offrait un terrible panorama sur les lieux peuplés d’elfes. Des oiseaux s’amusaient sur la balustrade à chanter et sauter partout. Ils aperçurent Zelda, l’examinait d’un regard curieux, mais ne semblait pas avoir peur d’elle. Une grande table ronde avec deux chaises se trouvait encore au milieu de la place.

Lentement Zelda s’assit sur le lit. Son regard tomba sur un bloque de papier posé sur une des commodes. Prise par curiosité, la reine le pris et le feuilleta. Il s’agissait de dessins de personnage. Le premier représentait Calire sur le balcon, le bras posé sur la balustrade et la tête posée dans main, le regard rêveur. Zelda remarquait que le médecin avait les cheveux plus long qu’actuellement.

La deuxième image présentait Hokuto, or, pour la surprise de la reine, il devait avoir le même âge que, lorsqu’elle est Calire l’ont rencontré moitié machine. La reine fronçait les sourcils suite à ce mystère.

Encore une autre image représentait une jolie jeune femme avec des longs cheveux bouclés d’un brun sombre et un visage fin et délicat. Elle avait une aile, pour la surprise de Zelda.

Encore d’autre représentait Culdiliel, la fille de toute alors quand elle était bébé et enfante avec ses peluches et jouets. Le cœur de Zelda fondait réellement en voyant à quel point elle était mignonne quand elle était petite ! Mignon tout plein ! Ah, comme Zelda aimerait bien avoir un petit enfant comme ça. Devenir mère fonder une famille, cela était depuis toujours son rêve, elle allait même abandonner Hyrule pour cela ! Enfin, façon de parler, elle savait également que le peuple comptait sur elle, et ainsi elle ne le laisserait pas non plus !

Les autres images représentait toujours les mêmes personnes : Calire, Hokuto, Àràndun, visiblement plus jeune et son frère, Culdiliel et la femme. Rien que Ryaon manquait. Elle en concluait que les dessins devaient être de lui. Bien que… ils étaient dessinés avec tant d’amour, tant de précision, tant d’adoration. C’était un travail sublime pour lequel on peut s’émerveiller des heures sans se lasser. Quelqu’un qui ne possédait pas de sentiments, était-il capable de dessiner de telles merveilles ?

— Ils sont bien les dessins, n’est-ce pas reine ? entendit Zelda soudainement la voix familière de Calire.

Elle leva la tête.

— Oui, répondit-elle, mais il y a des choses qui m’intriguent.

— Hokuto, remarqua Calire immédiatement. Zelda hochait uniquement la tête.

— ça tombe bien, je dois vous l’expliquer de toute façon, remarqua le médecin, alors écoutez bien, car ce n’est pas facile, même si, une fois qu’on a compris, ce n’est pas difficile au fond. Il existe des mondes cohérents et des mondes incohérents. Quels mondes sont cohérents et incohérents dépend du monde où vous vous trouvez actuellement. Il y a des mondes qui sont « cohérents » avec d’autres, c’est-à-dire où le temps s’écoule de la même manière. Donc, les mondes incohérents sont les mondes où le temps s’écoule différemment. Et cela change donc par rapport au monde où vous vous trouvez actuellement. Prenant justement l’exemple d’Hokuto. Àràndun a vite compris que je n’étais pas un garçon ordinaire et il m’a apporté chez son frère. Ryaon et Hokuto, amis inséparables qu’on était, nous ont suivit. Et le monde de Yueh est justement incohérent avec le monde d’Àràndun. Une semaine dans le monde du médecin représente ici à plusieurs années. Donc naturellement, Hokuto vieillissait bien plus vite ici que chez soi. Et vu qu’on passait énormément du temps chez Yueh, justement à cause du flux du temps différent, il était déjà adulte quand Ryaon le dessinait. Idem pour lui d’ailleurs. Et ils profitaient bien de cette expérience unique. Imaginez vous combien d’expérience ils pouvaient acquière, une vie « lente » ici, quand ils retournaient chez le médecin, ils étaient de nouveaux enfants et il pouvait profiter d’apprendre de nouvelle choses.

Donc, si vous allez dans un nouveau monde, vous gardez votre âge actuel. Donc la première visite de Ryaon et Hokuto, ils étaient gamins. Ensuite, si vous y revenez vous changez l’âge par rapport au temps qui s’est écoulé. Car vous ne pouvez pas vieillir de plus de temps qu’il ne s’est passé dans le monde. Donc si vous retournez à Hyrule vous n’avez vieillit que le temps qui s’est passé en votre absence, même si vous avez passée bien plus longtemps dans un monde incohérent.

Voilà, vous avez compris ?

Zelda hochait la tête. Elle avait compris le système, mais si jamais il lui demande de calculer la différence du temps d’un monde à un autre….

— Bien alors, vous allez comprendre pourquoi nous devons passer un certain temps qui peut s’élargir à plus qu’un an ici avant de pouvoir rejoindre Link et les autres ?

Zelda écarquillait surprises les yeux.

— Un an ?! Le temps s’écoulent-il si irrégulièrement ?!

— En effet, dit-il, et je ne m’en plains pas. Cela me permet de bien me préparer et prévoir à l’avance !

— Un an c’est un peu trop quand même non ? demanda la reine. Calire l’examina du regard.

— Pour Venon, un an c’est que trop peu de temps pour se préparer, remarqua-t-il, ce n’est pas n’importe qui. Même avoir retourner la pierre mille fois, cela ne peut pas être suffisant. Il est trop redoutable pour cela…

Le regard du médecin se posa sur les oiseaux. Il s’avança vers eux. Les petits animaux ailés l’observa curieux, mais sans peur. Ils lui sautèrent même dans sa main qu’il leur tenait. D’autres s’assirent sur sa tête et ses épaules. Orné ainsi, le médecin revenait vers Zelda et lui tenait un petit oiseaux.

— Vous devez bien aimer les animaux non ? demanda-t-il, ici ils n’ont pas peur. De même que cette chambre était autrefois habitée par Ryaon. Il y avait des fois des vraies réunions d’animaux !

Un rire s’échappa de la bouche du médecin.

— Il adorait les animaux, murmura-t-il et caressa un oiseau.

Prudemment, Zelda prenait un de ces animaux fragiles dans sa main. Il ne riposta pas, mais entama un petit chant. Doucement, la princesse lui caresse le plumage. Quel endroit idyllique !

— Mais…, s’intrigua la reine, donc les dessins datent d’un certain temps non ?

— Oui, confirma Calire.

— Mais alors, comment cela se fait que vous n’avez pratiquement pas changé ? Vous avez l’air d’avoir le même âge, à part que vos cheveux étaient plus longs…

Calire l’observa la reine.

— C’est, parce que après on s’était fait prisonnier par Venon. Et le temps dans son monde s’écoule encore plus lentement que celui-ci. En fin de compte, quand je suis retourné ici, je n’ai pas tellement vieillit pour qu’on le voit à mon apparence. Cela serait de même pour Ryaon et Hokuto.

— Je vois, murmura la reine, c’est étrange.

Calire haussa les épaules.

— Si on sait comment utiliser le flux du temps, remarqua-t-il, il est un allié précieux.

— Je vous croie sur paroles, confirma Zelda qui n’avait réellement pas de problème à s’imaginer les avantage de quelqu’un qui connaissait les temps des mondes.

— Dites, vous devez avoir faim, je suppose ? Après tout ce qui s’était passé ?

Ce n’était qu’à ces paroles que la reine remarqua sa faim de loup.

— Vous avez raison.

— Hé ben…, Calire avait l’air tout un coup terriblement gêné, il se fait que j’ai une petite cuisine dans ma demeure, mais malheureusement… je suis un piètre cuisiner…

Les derniers cinq mots n’étaient même plus un murmure. Suite à la honte du médecin, Zelda devait rire.

— Et si je vous cuisine quelque chose ? demanda-t-elle.

— Si vous voulez, répondit le médecin, mais vu que mes talents cuisiners sont réellement mauvais, je n’ai aucun aliment dans ma demeure. Il faudrait en aller acheter, ou bien aller manger dans une taverne. Personnellement, je me suis servit de la dernière option quand j’étais seul ici…

— Je propose d’aller ce soir en taverne, répondit Zelda, car faire des achats et cuisiner après ne me chante guère avec la faim que j’ai.

Calire hocha la tête.

— Comme vous voulez.

Il se leva, les s’envolèrent sur le balcon.

— Au fait, remarqua-t-il, je vous ai dit que ceci est la pièce de Ryaon. La plupart de ses affaires s’y trouvent encore. Je sais que vous posséder d’une terrible curiosité, cependant par respect pour mon ami, ne fouillez pas trop je vous en prie ?

Zelda rougissait, honteuse.

— Ou…oui, murmura-t-il.

Calire lui souriait.

— Venez, dit-t-il, vous verrez, les tavernes des elfes seront bien plus agréable que n’importe quels d’autres que vous trouvez dans les mondes.

Ils quittèrent la demeure du médecin et se relançait dans le labyrinthe du bâtiment. La construction entière devait être au moins dix fois plus grande qu’Hyrule. La nuit avait presque pris le dessus, et la pleine lune éclaircit les couloirs, ainsi que quelques étranges lumières accrochées au mur que Zelda devait inspecter une fois de plus près pour pouvoir trouver de quoi il s’agissait exactement.

Elle allait donc passer une année, voir même plus ici. Avec Calire. Elle sentait que pas mal de surprises devraient l’attendre…

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