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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

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Chapitre 36 – Le garçon de la forêt

Zelda fixait le visage paisible de Calire. Cela faisait maintenant presque deux semaines qu’il était plongé dans le sommeil par ses blessures. Comme il avait l’air calme ! Pendant ces derniers jours Zelda avait beaucoup appris. Et elle savait qu’elle avait eu tort, de juger Calire si rapidement. Mais comment aussi aurait-elle pu savoir que le médecin souffrait d’un si sombre passé ? Àràndun lui-même ne voulait pas s’avancer d’avantage dans ce domaine. Par respect pour le médecin. Il dirait tout quand le temps est venu, avait dit l’homme à la reine.

Mais pendant tout ce temps, Zelda ne cessait pas de réfléchir. Car Calire restait tout de même un grand mystère, même Àràndun l’avouait. Et là, elle veillait sur l’homme encore plus blanc que d’habitude grâce à ses pansements.

Mais les pensées de la reine déviaient également sur le rêve qu’elle avait fait cette nuit. La suite du rêve précédent, avec Calire… Là, il n’avait plus une aile blanche et une autre noir, mais deux entièrement dans son blanc parfait… Et très proche de lui, rien qu’une silhouette qui semblait toucher le médecin, se tenait une autre personne, qui, elle, avait deux ails noirs. Elle était complètement noire. Rien que deux yeux d’un bleu glacial se distinguaient du noir. Elle avait déjà vu ce bleu… Longtemps, très longtemps, quand Ganondorf les avaient attaqués, quand elle fuyait… Son rêve avait-il une relation avec cela ? Elle savait qu’il lui montrait des informations précieuses, cependant, elle n’arrivait pas à les saisir. Le bleu sinistre, n’était-ce pas la couleur du mal qui les tracassait ? De ce Venon ? Est-ce que Calire, lui, aurait-donc un lien direct avec cet ennemi à en conclure le rêve ? Pas simplement qu’il était un esclave de Venon, mais un lien bien plus fort, bien plus concret ? La reine ne le savait pas, et cela la rendait d’autant plus perplexe. Ce dernier temps, Calire ne se réveillait pas d’être quelqu’un de mauvais, et là, son rêve lui disait qu’il avait un lien direct avec leur ennemi ? Elle secouait la tête. Comme s’était étrange !

Soudainement, elle remarquait comme un sourcil du jeune homme bougeait. Ensuite les yeux commençaient à remuer et un petit gémissement s’échappait de sa bouche. Lentement, Calire ouvrit les yeux.

— Où suis-je ? demanda-t-il d’une voix faible, puis ajouta : Ah oui…

Il bougeait un peu ses membres, cependant ne tentait pas de se lever.

— Cela fait combien de jour que je dors ? questionna-t-il la reine.

— Presque deux semaines, répondit-elle.

— Deux semaines ! gémissait Calire, il le payera !

Zelda ne répondit rien un peu étonnée par ses derniers mots, mais se contenta de suivre les gestes que faisait le médecin. Or, il ne regardait que le plafond de la pièce avec une faible lueur dans les yeux. Il était loin d’être rétabli. Après des longues minutes, il demanda de nouveau :

— Qu’est-ce qu’il vous a dit ?

— Qui ?

— Àràndun, qui d’autre ? rétorquait le médecin, toussota légèrement et un peu de sang s’échappait de sa bouche.

— Ryaon…, murmura l’homme en blanc très faiblement que Zelda ne l’entendit pas qui répondait à la question de Calire :

— Il m’a dit autant qu’il croyait pour nécessaire. Le reste, vous me le diriez un jour, m’a-t-il remarqué.

— Il a vu juste, confirmait Calire, où est-il à présent ?

— Chercher de la nourriture, répondit la reine, il vit principalement de la chasse dans la forêt…

— Quel idiot aussi de rester vivre là où il y a plus rien ! remarquait le médecin en se poussant la mains de ses cheveux. Il haleta un peu, et quelques gouttes de sueur perlaient sur son visage.

— Cela vous a sauvé la vie, remarquait Zelda.

Calire l’observait.

— Peut-être.

— Sûrement.

Calire détourna le regard de la jeune femme et observait de nouveau le plafond. Fallait dire qu’il était d’une beauté incroyable : Entièrement gris clair….

Soudainement, son regard glissait sur la commode à côté de lui. Une montre y était posée. Exactement le même model que Zelda avait cassé. Intrigué, le médecin la prit.

— Je me demande combien il en a, de ces monstres, murmura-t-il.

Zelda ne répondit rien

Le silence s’installait alors pour un long moment. Jusqu’à ce que Àràndun revenait, tenant deux lapins en mains.

— Oh, notre patient s’est réveillé ? demanda-t-il d’un ton joyeux.

Calire le fixait.

— Ferme-là vilain sorcier, dit-il sèchement.

D’un ton indigné, Àràndun rétorquait :

— Combien de faut que je te dise que je suis médecin. M-É-D-E-C-I-N ! Et non un vilain sorcier.

— Quel étrange médecin qui donne de la drogue à ses patients pour qu’ils dorment pendant des entières deux semaines ! remarquait Calire.

— Parce que M’sieur Je-Sais-Tout ne se tient jamais à ce que je lui dis ! remarquait Àràndun en croisant des bras.

— Pheu… après tout je suis assez vieux pour prendre des décisions moi-même ! dit Calire indifférent.

— Cela tu me le disais déjà quand t’étais môme ! rétorquait l’homme.

— Après tout, c’est vrai quoi, murmura Calire ennuyé.

— Et en plus, tu as de la fièvre ! remarqua Àràndun, cela se voit ! Donc tu restes très sagement au lit, on s’est compris ?

— Je resterai au lit, accepta Calire, parce que de toute façon tu m’empoissonneras avec des potions de sorcier !

— C’n’est pas ma faute si tu n’es pas responsable, et que je dois prendre recours à des tels moyens ! rétorquait Àràndun, et ce ne sont pas des potions de sorcier ! Mais des sirops !

— Un vilain sorcier doit faire des potions de sorcier. C’est logique, remarquait Calire.

— Toi…vraiment… ! s’irritait Àràndun.

Calire tira la couverture au dessus de sa tête grommelant. Àràndun tourna les talents et alla dans la cuisine pour préparer les lapins. Un peu perplexe, Zelda le suivit.

— Vous êtes toujours ainsi ? demanda-t-elle à Àràndun.

— Oh ça ! Ce n’était rien ! remarquait le médecin, on se dispute sans cesse.

— Ah bon ? demanda la reine perplexe.

Àràndun sourit.

— Oui, c’est sa façon de me dire qu’il m’aime bien ! En ne m’adressant même pas un simple merci pour la peine que je me fais pour lui.

Un petit rire s’échappait de sa bouche.

— Mais il est toujours le même, toujours ce petit môme qui se croit meilleur que te le monde ! dit-il puis ajoutait, mais après tout il est assez spécial également…

Il fouilla dans les outils de cuisine. Quand il avait tout rassemblé dans il avait besoin, il voulait s’occuper du feu, mais il s’écria :

— Oh non ! Que je suis distrait ! Je n’ai plus assez de bois ! Pourriez-vous en allez chercher ? Quelques branches solides dans la forêt suffiraient…

Zelda accepta. Elle aimait bien se rendre utile à l’homme qui les herberait depuis les deux semaines. Mais pour l’instant elle n’avait eu que point d’occasion pour montrer sa gratitude.

Les alentours étaient tristes avec les maisons en ruines qui servaient comme refuge à des insectes et animaux. Mais pourtant, il n’y avait aucun bruit, ni même le chant des oiseaux. Et même si le soleil brillait, l’ancien village semblait se trouver à l’ombre, dans l’obscurité. Comme cela était sinistre… Les souvenirs qu’Àràndun portait à ce lieu lui devaient vraiment être chers, pour qu’il refuse de bouger d’ici.

Mais dès qu’on pénétrait dans la forêt, le chant des oiseaux reprenait de plus belle. On entendait le léger bruit des feuilles des arbres et buissons. Les rayons de soleil qui pénétrait à l’intérieur de la forêt, à travers les branches des arbres, rendaient l’atmosphère encore plus agréable. Un air calme et doux était présent. La reine aimait bien s’aventurer dans ce lieu paisible… Àràndun lui avait dit que Calire, Ryaon et Hokuto jouaient souvent ici… Mais comme s’était étrange… de s’imaginer un Calire souriant jusqu’aux oreilles en courant dans la forêt, suivit par ses deux amis. Elle ramassait quelques branches qu’elle estimait assez solides.

Soudainement, elle entendit quelqu’un l’appeler :

— M’dame ! M’dame !

Étonnée, la reine se retournait vers la voix. Un petit garçon, aux cheveux bruns lui allant jusqu’à la nuque qui fixait la jeune femme avec des yeux d’un vert d’olive. Il devait avoir à peine quatre ans…

— M’dame ! M’dame ! appela-t-il de nouveau en souriant. Le cœur de Zelda était pris. Comme ce petit garçon était mignon ! Vraiment à craquer ! Elle s’approchait du garçon et s’accroupit devant lui, pour pouvoir lui regarder dans les yeux.

— Tu sais, dit-elle, je ne suis pas encore mariée alors pas la peine de m’appeler Madame.

L’enfant ria.

— Vous pouvez me rendre un service M’dame ? demanda-t-il toujours souriant.

— Avec plaisir, répondit Zelda tellement charmée par ce garçon tout à fait mignon, qu’elle ne se demandait même pas d’où il sortait.

L’enfant la devança.

— Suivez-moi ! dit-il en leva un main. Zelda le suivait. Le garçon l’amena à travers le bois, suivait la rivière qui y coulait, montaient une colline, où se trouvait une lisière. Y arrivé le garçon allait près d’un bout d’un tronc d’arbre.

— Ici, M’dame ! Ici ! Poussez-le ! Je suis trop faible !

Un peu perplexe, Zelda déposait les branches d’arbre au sol, et essayait de bouger le bout du tronc d’arbre, ce qui n’était pas facile. Voyant, que toute seule elle n’y arrivait pas, le garçon décidait de l’aider. Et ensemble, ils réussissent à le bouger. Ils mettaient alors à jour, un petit paquet qui donnait l’impression d’être enterré sous le tronc d’arbre depuis des siècles.

— Prenez-le ! Prenez-le ! dit le garçon avec sa voix mélodieuse, apportez-le à Calire ! C’est pour son anniversaire ! Apportez-le lui, je vous en supplie !

Zelda fixait le garçon, intrigué.

— D’accord, murmura-t-elle.

— Merci, merci ! s’écria le garçon joyeux et ria.

La reine détourna le regard du garçon, vers le cadeau et le pris entre ses mains. Lentement, elle enlevait un peu de terre de l’emballage. Quand elle retourna son regard vers le garçon, ce dernier avait disparut. Elle se trouvait, à présent, toute seule sur la lisière…

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