Zelda-Echo

Zzeux
Legend of Zelda
Adventure of Link
A Link to the Past
Link's Awakening
Ocarina of Time
Master Quest
Majora's Mask
Oracle of Ages
Oracle of Seasons
The Wind Waker
Four Swords
Four Swords Adventures

Autres Zelda

Zelda CD-I
Zelda G&W
BS Zelda

Downloads MP3/Midis
Partitions
GIFs
Serie TV
Parodies Zelda

Articles
Personnages Biographies
Chronologie

Fans Fans-arts
Fans-fics
Nous écrire

Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

NiouzesForumNous contacter

<< Précédent   -   Sommaire   -   Suivant >>

Chapitre 35 – Un jeu mortel (1)

Comparé aux autres fois qu’ils changeaient de mondes, Link se trouvait assez rapidement debout. Pourtant, même si son appareil digestif était près à faire une révolte, il ne touchait pas au repas. Pour cause. Son esprit d’héros l’alarmait ! N’est-ce pas quand même étrange que la table soit mise pour exactement trois personnes, en plus d’un sac de provisions, sans parler des nouveaux vêtements propres ? Non, ceci n’était pas normal du tout ! Comme si tout était prévu pour leur arrivé !

— ça sent le piège…, murmura Link.

Ryaon hochait la tête.

— En effet.

Plus aucun d’eux n’avait envie de toucher au repas. Au contraire, ils décidèrent de quitter la maison le plus vite possible. D’ailleurs… la maison… elle était étrange ! Du moins pour Link. Tout était bâti dans un style complètement inconnu au héros. Il en fait part à ses compagnons.

— C’est du baroque, expliqua le guerrier, un style au 17ième siècle, mais qui a été étouffé à cause du classicisme.

Il ne fallait pas remarquer que le héros du temps ne comprenait pas grand-chose aux explications de Ryaon. Alors Vnet lui venait en aide :

— Il s’agit ici d’un style d’un autre monde. Tu ne peux pas comprendre logiquement. Mais ce n’est pas trop important non plus.

— À vrai dire je ne pas réellement envie de me retrouver en France à cette époque là ! remarquait Ryaon.

— Et si on regardait tout d’abord ? proposait Link qui ne comprenait toujours rien.

Les deux autres avouèrent que c’était la meilleure idée. Ils ne pouvaient tout de même plus rien y changer. Ils voulurent quitter donc la maison, presque entièrement pains en blanc fallait remarquer. Or, la porte d’entrée était fermée à clé !

Ryaon lâche un juron. Alors il entendit soudainement un rire. Le trio se retournait pour faire face à un ange déchu qui pendillait avec la clé devant leur nez.

— Est-ce ce que vous cherchez à tout hasard ? demanda-t-il.

Ryaon faisait un pas en avant pour la lui arracher. L’ange déchu reculait, déployant ses ails.

— Oh ! Mais je vous n’ai pas dit que je vous la donne ! Au contraire… J’aimerai… faire un petit jeu ! Écoutez bien, car je n’explique qu’une seule fois ! La porte d’entrée sera ouverte dans trois jours. Pendant ses trois jours vous êtres libres de faire ce que vous voulez en restant dans la maison. D’ailleurs vous n’avez aucun moyen d’en sortir, je m’en chargerais. Ces jours passés, vous pouvez sortir. Vous possédez de nouveau trois jours. Mais, cette fois-ci pour me retrouver ! Et si jamais vous ne réussissez pas votre tâche, je me chargerais bien à ce que vous ne puissiez plus quitter ce monde, plus précisément cette ville où vous vous trouvez !

Il lâcha un petit rire.

— On s’est compris ? Trois jours de repos dans cette maison. Et tâchez bien à le faire ! Je ne voudrais pas avoir comme adversaires des faibles minables ! Ensuite trois jours pour vous mettre à ma recherche dans la ville. Je vous souhaite bonne chance ! Même si votre perte est sûre !

Et il disparaissait.

Les aventuriers restaient encore sur place, un peu perplexe par cette soudaine apparition. Mais ils décidèrent, surtout poussés par leur faim, de s’attaquer au repas qui les attendait dans la salle à manger. Ceci dit, ceci fait. Il ne restait rien du dîner qui fut délicieux. L’ange devait vraiment tenir à avoir des adversaires dignes. Espérons, qu’il se surprenait.

Par la suite, ils examinaient les nouveaux vêtements donnés par l’ange : Ryaon possédait des habiles presque semblables aux actuels : La veste avait changé au mauve et ne possédait plus de motifs, le sous-pull sans manches au rose pastel, son pantalon restait noir de même que ses bottes qui avaient par contre un léger motif noir gravé dans le cuire et qui luisait magnifiquement sous la lumière. Le guerrier les revêtait instantanément pour se débarrasser de son costume sale. Ce fut là, que les deux frères mentaux remarquaient les cicatrices sur son torse et son dos. Sûrement dues, pendant sa période de général de Venon. Et Link ne se put empêcher de remarquer qu’il était beau. Pas que cela l’intéressait particulièrement ! Au contraire ! Mais il était sûr qu’il aurait toutes les filles à sa trousse… Et il se demandait depuis la première fois de sa vie comment cet homme dépourvu de sentiments ou plus précisément maintenant, profitant que de quelques sentiments tel la haine et la colère, avait pu être avant. Quel genre d’homme était-il ? Un séducteur, quelqu’un de sérieux, un blagueur ? Un homme calme et réfléchi ? Ou encore quelqu’un excité et d’impatient ? Le héros du temps remarquait également qu’il commençait à apprécier la compagnie de cet homme. Il faisait parti intégral de l’aventure, sans lui, elle ne serait plus la même. De même que, s’il y avait réellement une possibilité qu’il regagnera ses sentiments, autant essayer d’y parvenir ! Il ne pouvait pas juger sur le guerrier tant qu’il n’avait pas ses entiers sentiments ! Link affichait un petit sourire, observant Ryaon qui examinait un peu intrigué ses nouveaux vêtement. Ryaon ne pouvait pas pour ce qu’il était, et ce n’est pas pour cela que le héros du temps devait le mépriser comme avant. Il devait lui laisser une chance… il devait essayer de collaborer plus avec lui, même si son manque d’une quiconque émotion le mettait mal à l’aise.

Quant à Vnet, il scrutait ses nouveaux vêtements. Enfin, il eut droit à deux ensembles même ! Le premier ressemblait goutte que goutte aux vêtements actuels à l’exception qu’ils n’étaient pas fourrés. Une bonne initiative fallait remarquer. Le second ensemble était très étrange aux yeux de Link. Le pantalon bleu qui était fait d’un tissu tout à faire inconnu au héros, sans parler de l’étrange chemise avec des traits bleus formant des carrés. Les chaussures aussi ne trouvaient pas leur place dans la tête de Link ! Vnet les scrutait intrigué lui aussi.

— Cela ne me plaît pas, murmura-t-il alors.

— Pas du tout je dirais même, remarquait Ryaon, tourna brusquement les talons et alla avec des pas brusques vers la fenêtre.

Link les observait d’un regard perplexe. De nouveau, il ne comprenait rien. Vnet l’expliquait :

— Ce sont des vêtements du 20ième siècle ! Enfin, tu ne comprendras sûrement pas. Mais la ville où nous nous trouver sans doute, devrait donc être une ville de cette époque également. Et si toi et moi, nous sortons avec nos vêtements actuels, les gens vont nous mettre à l’asile parce qu’ils nous croiront pour fous !

Link observait Vnet perplexe. À ce qu’il ait compris, ces vêtements actuels n’étaient pas fait pour ce monde, et les gens vont les croire pour fous, et cela devrait sans doute pas être bon. Mais qu’est-ce qui était un asile… ?

Enfin, Link eut droit lui aussi, à une nouvelle tenue Kokiri, à part que le petit jupon était remplacé par un pantalon court. Ce qui était beaucoup plus pratique pour bouger, et ainsi de combattre. Pour finir, il eut lui aussi un pantalon bleu que Vnet nommait « Jeans » et d’un pull vert sombre, ainsi que ces étranges chaussure que le jeune tailleur appelait : « Basket ».

Ressaisis, les aventuriers remarquaient qu’alors l’immense fatigue qui planait sur eux. Pas étonnant après tout ce qu’ils avaient dû vivre. Ils décidèrent alors de se mettre à la recherche des chambres à dormir. Il y en avait deux : Une à deux lits, et l’autre avec un seul. La répartition fut vite faite : Les deux frères dans une, et le guerrier dans l’autre. Les lits étaient grands et mœlleux, couvert d’un linge chaud et agréablement doux. En court ils invitaient à dormir !

Dans sa chambre, Ryaon regardait de nouveau par la fenêtre. Or, il vit comme avant qu’un brume grisâtre. Il poussa un soupir.

— Espérons qu’il a choisi une petite ville…, murmura-t-il, sinon cela deviendra dur !

Les soi-disant frères, quant à eux, s’installaient chacun sur leur lit. Vnet testait la flexibilité de son matelas. Link, lui, se laissait s’effondre au lit, épuisé. Il poussa un soupir, et son regard fixait le plafond blanc.

— À quoi penses-tu ? demanda Vnet on observant le héros du temps.

— Je me demande…, répondit Link, comment il était avant…

— Qui ?

— Ryaon…

Ils gardèrent le silence ensuite, pour un bon moment. Finalement, Link se roula sur le ventre, le regard posé sur le jeune tailleur.

— Et toi ? À ton avis ? Il était comment ?

Vnet plongeait son regard dans celui de Link, réfléchissant.

— Quelqu’un de patient, répondit-il, pour voir tissé un lien d’amitié si fort entre lui et Calire. Calire fait normalement confiance qu’à lui-même.

— Je peux plus entendre ce nom ! grommela Link, il prend de plus en plus de place ! Comme un ballon qui gonfle dans une petite pièce.

Vnet l’observait un moment.

— Calire est important, dit-il.

— Il n’est qu’un médecin ! s’exclama Link, mais il savait que c’était faux. Mais comme il aimerait croire à ses paroles !

— Calire est un homme du pouvoir, remarqua Vnet, le regard glissant sur ses bottes, dans notre peuple. Il est un Astaldram…

— Si tu m’expliquerais ce que s’est ? demanda Link.

— Les Astaldram ? Il y en a douze en tout. Ce sont des sortent de consuls. Des gens qui regardent l’évoluation du peuple qui font attention à ce qui lui arrive ou arrivera. Et de les avertir en cas de danger. Ce sont… comment dire ? Un peu comme un roi et une reine, chez vous. Ils ont le pouvoir, s’ils décident quelque chose, tout le monde doit l’effectuer. Mais leur décision sont toujours pour le bien du peuple, des Kurukas. Et Calire fait parti d’eux. Il est même l’Astaldram secondaire !

Link lui jeta un regard interrogatif.

— L’Astaldram secondaire, expliquait le tailleur, est le deuxième Astaldram le plus important. À la tête vient le premier Astaldram, l’Astaldram primaire, qui est actuellemen Malavar. Ensuite Calire en tant que Astaldram secondaire. En gros, il n’a qu’un supérieur, Malavar. C’est une hierachie. Si Malavar prend une décision, tout le monde doit s’y plier. Il est celui qui à souvent le dernier mots dans un consulat, etc. Mais être Astaldram secondaire, on en profite d’un certain pouvoir également.

— En gros, Calire est quelqu’un d’assoiffé de pouvoir ! remarquait Link.

Vnet secouait la tête.

— Non. Car les Astaldram sont définis. Il y a des conditions pour pouvoir devenir un. Celui qui les possède se voit attribuer le titre d’Astaldram, s’il veut ou pas. Don Calire est devenu Astaldram secondaire sans qu’on lui demande son avis. C’est une tâche lourde, surtout premier, secondaire et tertiaire Astaldram. Car ces trois le font le plus souvent les décisions ensemble, même si le premier pourrait le faire seul. Et cela doit être lourd… de porter le sort de tout un peuple, de toute une race sur ses épaules…

Vnet se taisait. Le regard toujours posé sur ses bottes. Link fixait de nouveau le plafond. Était-ce possible ? De pouvoir contrôler, un peuple entier ? Au moins, que cela soit organisé d’une manière parfaite ! Rien qu’à y penser si un jour on devait le faire avec les humains, Link aura le vertige. Et ce Calire… il était avec Zelda ! Où l’amenait-il ? Chez ses Astaldram ? Chez ce Malavar ? Link soupira. Zelda… où était-elle à présent ?

— Elle me manque… murmura le héros du temps.

— Qui ?

— Zelda…

— Tu l’aimes ? demanda Vnet en enlevant ses bottes.

— Je l’aime, oui, répondit Link, mais d’une manière différente à ce que tu crois. Je ne suis pas amoureux d’elle. On n’est pas fait l’un pour l’autre pour cela. C’est juste… ce que nous avions vécu tout les deux ensembles, nous rallie avec un fil d’amitié spécial est très robuste… Je n’ai pas encore trouvé cette personne rien que pour moi…

Link se taisait, Vnet aussi. Le tailleur se déshabillait pour se coucher.

— Et toi ? demanda Link soudainement, est-ce que tu as quelqu’un qui réserve une place dans ton cœur ?

Vnet le fixait.

— Non, répondit-il, pas réellement… enfin…peut-être que si… j’en sais rien.

Link l’observait. Inutile d’insister, il ne recevrait aucune réponse de toute façon… En soupirant, Link se leva du lit et se déshabilla également. Ensuite tous les deux se couchèrent, et sombrèrent rapidement dans un profond sommeil….

Il s’avançait vers lui. D’abord rien qu’une silhouette, ensuite il remarquait ses ails noirs, sa tunique de satin d’un mauve très sombre, son cap du même mauve satin ralliée aux épaules avec un fin fil en argent. Sur sa tête reposait une couronne du même précieux metal. Et dans sa main droite, il tenait un sceptre ayant comme tête, une tête de mort qui observait Link. Du moins il donnait cette impression. Les yeux de l’ange déchu fixaient l’héros du temps d’un air décidé, et un sourire triomphant et sadique flottait sur ses lèvres.

— Chymes…, murmura le héros du temps. Cela ne pouvait être que lui. Celui qui était à la tête des anges déchus. Le frère suprême. L’ange déchu de la mort.

— Donne-le moi ! dit Chymes en tenant le creux de sa main gauche vers le héros, donne moi ton fragment ! Ton fragment du courage ! Ton fragment de la Triforce !

Link reculait de quelques pas.

— Jamais ! dit-il, plutôt mourir !

L’ange déchu affichait une mine faussement surprise.

— Oh ! Alors tu vas être ravi de savoir que justement cela je veux faire si jamais tu refuse !

Il leva son sceptre vers Link, et lançait une attaque. Link reculait encore, ne sachant pas comment éviter le sort magique. Mais l’attaque n’atteignait pas l’héros du temps, car pour sa surprise le manteau de Vnet venait à son secours ! Aucun doute. Link portait le manteau de son frère mental !

Chymes se montrait un peu surpris. Mais relançait aussitôt une magie noire, plus forte qu’avant. Or, pour le malheur de Link, le manteau de Vnet ne le protégeait plus ! Et il reçut l’attaque en plein fouet….

Il hurla, de toutes ses forces. Ce n’était qu’un rêve, et pourtant la douleur était si réelle ! Il s’assit d’un coup sur son lit, mais surprise par une violente douleur, il retombait dans le lit. Automatiquement il mettait sa main sur son épaule gauche. Quand il la retira, elle était couverte d’un liquide noir…

— Link ! Link !

La voix de Vnet lui paraissait si loin…à des kilomètres. Pourtant, il vit sa silhouette tout près de lui. Lentement tout devenait flou devant ses yeux. Il vit les lèvres du jeune tailleur bouger, mais n’entendait plus les mots. La douleur était trop puissante, trop prèsente.

Il poussa un nouveau gémissement. Il ne remarquait même pas que Ryaon avait rejoint la pièce. Il sentait que cette douleur, et cette chaleur que dégageait son corps, la sueur qui perlait sur son visage, avant de sombrer dans l’inconscience, dans un sommeil sans rêve.

— C’est mauvais…, murmura Ryaon penché sur la blessure de l’héros du temps, son sang est noir…

Vnet affichait une mine très inquiète.

— Un sort de magie noir… je ne préfère pas essayer à le soigner. Cela pourrait bien avoir l’effet contraire. Surtout, quand l’invoquer est plus puissant que moi, ce que je ne doute pas.

— Il vaudrait mieux en effet, affirmait Ryaon, même Calire y va très prudemment avec ce genre de blessure. Ce qui m’inquiète particulièrement et le fait comment il l’a eue….

Vnet inclina la tête.

— Oui… nous devons faire très attention à présent… Il a prit vent de Triforce. Mais, il n’utilise pas ce genre de magie pourtant ? remarqua le tailleur.

Ryaon se grattait le mouton.

— Il a dû laisser apparaître une dans le rêve… ou avoir appris la technique à quelqu’un d’autre… quelqu’un comme… Chymes.

Vnet se mordit les lèvres.

— L’ange déchu de la mort… non… je suis complètement impuissant….

— Nous n’avons qu’à espérer que le sort n’a pas des effets dramatiques, remarquait Ryaon, mais il croyait tout aussi peu à cela que Vnet. Si l’ange déchu attaquait si tôt, cela ne présentait rien de bon… sans oublier le statut qu’il possédait…

Les deux compagnons nettoyaient tout de même la plaie et la pansait. Après quoi, ne pouvant rien faire d’autre pour le héros du temps, ils essayèrent de se distraire un peu, en pensant comment le ville où ils se trouvaient pourrait avoir l’air, et comment procéder pour avoir les meilleures chances de trouver l’ange déchu en question. Mais l’état du héros du temps ne les quittait pas. Et il restait plongé dans un sommeil agité mais sans rêve pendant les deux jours suivants, sans aucune amélioration. Au contraire ! Sa peau devenait de plus en plus pâle, on pouvait compter chaque artère et veine qui se distinguait d’une couleur noire de la peau blême.

En gros : L’état du héros du temps était inquiétant, même alarmant. Aucun des deux compagnons osaient exprimer leur pensée en mot, bien qu’ils savaient que c’était juste : Link était mourrant. Et sans l’aide de quiconque, il rejoignait bientôt les déesses au ciel. Et comment empêcher cela, enfermé dans une maison dans une sûrement grande ville, tout seul, impuissant ? Il leur fallait espérer et prier…

<< Précédent   -   Sommaire   -   Suivant >>

Sondage
Zelda TP, il va être...

vraiment excellent !
sans plus...
moins bien qu'OoT.
bien mieux qu'OoT !
archi nul.
dur de l'attendre aussi longtemps.
dans ma GC dès sa sortie.
offert à ZE par les membres du forum.
temps que je sache ce que c'est.
mais pour l'instant il n'est pas.

Voir les résultats

Newsletter

Liens
thePoussin
Princesse des Ânes
Palais de Zelda
Zora Farceur
Reven Niaga
Zelda-Systeme
KillorkZone

Zzotres L'équipe
Trucages
Humour
Concours
Forum