![]() | ||
---|---|---|
Autres Zelda Zelda CD-I
|
Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57) << Précédent - Sommaire - Suivant >> Chapitre 33 – Le château magiqueLe trio de combattant se retrouvait dans la Porte des Mondes. Là, Link s’arrêtait. Mais les deux autrs ne le remarquait pas et continuait leur route. — Attendez ! cria Link. Ils se retournèrent, affichant une mine surprise. — Je ne sais pas comment vous vous sentenz…, reprit l’héros du temps, mais moi, j’ai faim ! Vnet et Ryaon se jetèrent un regard perplexe. — Faut dire…, remarquait Vnet, que le dernier repas était avant de partir pour l’ange déchu du futur. Ryaon inclinant la tête. — Je ne porte rien sur moi, par contre, dit-il. — J’ai encore quelques provisions…, murmura Vnet. Ils rejoignirent Link, et Vnet sortait quelques provisions. Ils portaient surtout des fruits avec soi que Link n’avait jamais vu avant. Finalement, ils se décidèrent chacun de manger une clémentine, et un bout de pain. Ce n’était certes pas beaucoup, mais qui savait quand ils avaient droit à un nouveau repas ? Mais Link avait encore eu une autre raison pour réclamer un petite pause. En effet, les derniers événements étaient bien étranges, et il s’est passé tellement de choses… et il n’avait jamais eu l’occasion d’y réfléchir. Mais il en avait besoin pour ne pas perdre la tête. Heureusement que son frère mentaux possédait de provisions, et étant donné que c’est la première fois de la vie qu’il tenait une clémentine entre ses mains, il pouvait être sûr d’avoir du temps à réfléchir. Et puis la clémentine c’était plutôt bonne….. Tout d’abord, l’événement le plus récent, et le plus intriguant : ce soudain flot de sentiments chez Ryaon. En effet, lui-même ne pouvait pas se l’expliquer. Mais du moins, ils n’étaient pas revenus tous. Car, l’idée de pouvoir ressentir à nouveau ne le réjouissait pas, au contraire, il inventa tout les hypothèse possibles aussi logique les uns que les autres, et aussi froids les unes que les autres. Ryaon était loin d’être devenu un humain sentimental. Au contraire ! Il dégageait de soi une froideur, et il semble être devenu coléreux. Link soupira. Non… c’était loin d’être gagner. Mais peut-être les autres sentiments apparaissaient aussi miraclieusement que ceux-là ? Ensuite, il y avait les anges déchus. À ce que Link avait compris par les paroles de Semsaveel, les dieux ou déesses exigeaient des anges d’être infaillable, de ne pas commettre une simple erreur. Mais le cas de Semsaveel montrait le contraire. Ils ne l’étaient pas. Semsaveel avait été atteint par la multpiple personnalité, était-ce cela qui avait causé se perte parmis les dieux ? Qu’il avait été chassé ? Parce qu’il était atteint par des faiblesse humains ? D’ailleurs à propos des anges déchus… — Oh non ! s’exclama Link, j’ai oublié de questionner Calire à leur sujet ! Ryaon et Vnet l’observait d’un air intrigué. — Bah, oui, s’expliquait l’héros du temps, sur les anges déchus, tu m’avais bien dit de le question sur ce sujet, Ryaon ! Vnet regardait toujours perplexe. Link lui expliquait alors le conversation entre lui et Ryaon à ce qui concernait les anges. (cf : chapitre 15) — Ah ça…, murmura Vnet, je vais essayer de t’expliquer… Il réfléchissait un moment. — Qui es-tu ? demanda-t-il. Link l’observait perplexe. — Bah…, Link, répondit-il, pourquoi ? — Tu verras, expliquait Vnet, mais pour la plus grande partie de la population d’Hyrule qui est-tu ? Link réfléchissait.. — L’héros du temps, non ? demanda-t-il. Vnet inclinait la tête. — Oui, celui qui a sauvé leur terre du méchant Ganondorf, l’héros du temps. Mais pour Navi qui es-tu ? — Qui ? demanda Link, qui est Navi ? Vnet se mordit les lèvres. — Rien oublie, dit-il, et pour la jeune femme…heu, Anju du nom je crois, dans le village Cacarico, qui es-tu pour elle ? Pendant que Link souffrait de sa blessure provoqué par le dragon Smet, la jeune femme lui avait apparement souvent rendu visite. Mais comme Link était évanoui durant deux semaines, il n’en était pas conscient. — Un ami qui adore rassembler ses poules, dit Link en mâchant un bout de pain. — Je crois que ça suffit, dit Vnet, tu vois où je veux en venir ? Tu es Link, personne ne changera cela. Mais pour les uns, tu es l’héros du temps, pour d’autres un ami, encore pour d’autre sûrement rien q’une légende. Les anges déchus c’est pareille. Chez le christianisme, ils sont tel et tel ange déchu qui a rélévé tel et tel secrets aux humains. Mais tu vois, les anges déchus sont aussi utilisé autres parts. Et là, ils y peuvent être l’ange déchu de quelque chose. De la sagesse, de la domination. Tu vois ? Ils font partis du christianisme mais en même temps aussi à d’autres croyances, régligions, avis, pensées etc. Car ce sont des êtres qui évoluent dans les mondes. D’ailleurs aussi avec les dieux et déesses et personnages saints… c’est assez compliqué. Chaque monde, chaque réligions à ces dieux, mais au fond, ils se connaissent tous, et des fois deux dieux peuvent être en réalite un unique dieux. C’est quelque chose que je n’ai jamais compris à vrai dire. Rien qu’en m’imaginant le dieu grec des enfers Hadès bavarder tranquillement avec Bouddha, cela me parraît un peu étrange… Mais ce n’est pas bien important, cette histoire des dieux. Mais tu as compris pour les anges déchus ? Pourquoi ils font partis du christianisme sont vraiment en faire parti ? — Oui un peu… murmura Link réfléchissant, c’est un peu confus, mais ça va. — J’ai jamais été bon à ce qui concerne les expliquations, s’excusa Vnet. — Non, non ! insistait Link, ça va, c’est juste un peu étrange. Vnet mangeait le dernier bout de sa clémentine. Le regard de Link glissait sur les « murs » de la salle. Cette histoire était tout simplement étrange ! Cet enfant blessé… Il semblait survivre à ses blessures, car Ryaon était encore parmi eux. Mais tout de même… comme il se débattait contre ses blessures mortels… — Qui était ce enfant blessé ? demanda-t-il à Ryaon. — Ce n’est pas tes oignons, répondit le guerrier sèchement, c’est Rôdeur, un enfant de la rue. Cette expliquation semblait suffisant à Ryaon. Rôdeur… Rôdeur… Link avait déjà entendu ce nom… mais où ? Il y avait également un rapport avec Ryaon… Ah ! Mais oui ! Sur le cimetière ! Quand Vnet jouait le chant de celui qui protège la vie. Il y avait le mirage de Ryaon et une vague silhouette qu’il avait appelé Rôdeur ! N’empêche que cela ne lui aidait point. Link soupira. — Et maintenant ? demanda-t-il, où est l’ange déchu prochain ? Les deux autres haussèrent les épaules. — Il faut prendre un miroir au pif, remarquait Vnet, on ne sait pas où ils sont. — Magnifique ! s’exclama Link en observant les milliers de miroirs. Cela deviendra une recherche laboureuse. — Au héros de choisir un monde ! dit Ryaon d’un ton sacarstique. Link n’avait pas oublié qu’il correspandait point à l’image d’un héros de Ryaon, mais il décidait de rien rétorquer. Son regard erra sur les miroirs. Bien… au pif… — Celui-là ! dit-il en pointant sur un. Vnet l’examina. — Étrange…, murmura-t-il, le nom du monde… On dirait qu’il est écrit dans un dialecte. J’arrive pas à trouver du sens, ça donne quelque chose d’impossible ! — Il existe des dialectes chez ton peuple ? demanda Ryaon. Vnet se grattait la tête. — Justement non… — Alors, on doit être sur la bonne voie ! concluait Ryaon et traversa le miroir. Vnet le suivit, intrigué. En poussant un dernier soupir, le héros du temps s’y lança aussi. Et attérit dans le noir absolu, sur quelque chose de mou… — T’as pas bientôt fini de t’écraser sur moi ?! entendit-il Vnet gormmeler. — Pardon, répondit Link et se pressa de rouler à côté. Le sol était ferme et froid. De la pierre. Mais il faisait tellement obscur que Link ne voyait pas la main devant ses yeux, sans parler de ses compagnons. — Il faut de la lumière ! entendit-il Vnet, aïe…désolé Ryaon… Le jeune tailleur venait de s’écraser dans le guerrier. Link fouilla entre temps dans son carquois. Il chercha les flèches de lumière. Il se brûlait les doigts avec les flèches de feu, mais ne sentait pas la douche chaleur des flèches de lumière ! Il lâcha un juron. D’abord les flèches de glace, et maintenant les flèches de lumière ! Et maintenant que faire ? S’il utilisait le feu de Din, alors il y aurait du Vnet et du Ryaon rôti… Les bombres étaient trop risquées, l’amour de Nayru n’aidait rien… Les flèches du feu n’illuminait sans doute jamais assez. Mais peut-être que la lumière du vent de Farore suffisait ? Du moins, cela vallait le coup pour essayer… Link sortit donc l’objet dit de sa poche. Après avoir mit du temps à le retrouver. Ensuite il appela le vent de Farore. La petite boule verte était effectivement d’une lueur faible, mais du moins assez foirte pour qu’il puisse distinguer les silhouettes de ses comagnons. — Cela ne suffit pas, répondit Ryaon. — Tu crois que je ne le sais pas ? grommela Link. — Où sont tes flèches de lumière ? demanda le guerrier. — Plus là…je ne sais pas où ils sont…, répondit le héros du temps assez sèchement. Il ne pouvait pas s’expliquer leur soudaine disparition, surtout que les flèches de lumières sont assez importantes et pratiques. — Je pourrais essayer, murmura Vnet, d’aboserber l’énérgie du le boule dans un de mes saphirs et de l’augementer. — Tu es capable de faire cela ?! demanda Link assez étonné. Vnet semblait gêné quand il répondit : — Disons que je devais, mais je n’ai jamais réussi… — Et que ce passe-t-il si tu ne réussis pas ? — ça fait une fois un grand « Boum » et les alentours se retrouvent en débris… Link faisait une grimasse. Très charmant cette idée de se retrouver en débris si ça ratait ! Mais d’une auter manière c’était leur seule possibilité. Il entendit Vnet fouillait dans son manteau. À présent il connaissait ce bruit par cœur. Soudainement une éclair jaillit du saphir vers levent de Farore, mais il s’interrompit aussitôt, et se restabelisait la seconde après. Le processuse se repéta autant de fois jusqu’à ce que le lien était entièrement faite. Ensuite la lumière du Vent de Farore diminua et le saphir commençait à luire d’une lueur bluâtre. Quand la lumière du Vent de Farore avait complètement disparu, Vnet commençait à augementer celle du saphir. Bientôt Link pouvait voir le visage de son frère mental qui était concentré au plus haut point, et des gouttes de sueurs lui perlaient sur les joues. Soudainement Ryaon s’écrait : — Attention ! Il poussa Vnet rudement. Le saphir lui volait des mains. Paniqué, le jeune taillur réussit à le ratrapper juste avant qu’il n’atteigne le sol. Fâché, il se retourna vers Ryaon. — Dis donc ! Tu aurais fini par tout faire sauter ! s’écria-t-il. — Fini donc par augementer la lumière avant de râler ! rétorquait le guerrier. Perplexe Vnet le fit. Il ne voyait de toute façon plus le guerrier, tellement il était éloigné. Quelques instants plus tard, presque l’entière pièce qui se réveillait être un cachot était plongée dans une lueur bleuâtre. Ryaon avait posé un genoux à terre, et la dague s’enfonçait dans une bestiole assez étrange : Elle avait le corps d’un grand rat, des longues et finies dents, les pattes d’un aigle en avant, et des pattes de chien derrière. En gros c’était uen créature asez étrange à regarder, de même qu’elle devait posséder d’un étrange squelette… — Jolie combinaison…, fut le seul commentaire de Vnet. Ryaon haussait les épaules. — En tout cas, cela avait une envie folle de se jeter sur toi. Par la suite, le trio cherchait la sortie. Ce qui n’était pas tellement difficile vu qu’il s’agissait d’une lourde porte de bois de chêne qui était en fracas. Mais les fentes était trop petites et étroites pour nos héros de passer, et le bois trop lourd pour déplacer. Comment sortir ? Ce ne fut qu’avec l’aide de Ryaon que Link se rappela l’épée qu’il portait et son pouvoir. Elle avait coupé de la pierre, alors pourquoi pas du bois de chêne ? Ce que Link fit, et quelques instants après les aventuriers se retrouvaient dans un sombre couloir. — Pauvre prisonniers ! constata Vnet. Mais toutes les cellules étaient vide, orné des fois avec des squelettes pas toujours humain. En bas du couloirs, ils trouvaient un escalier en colimason. Ils montèrent, et constatèrent vite qu’ils se trouvaient dans un grand château ruiné. En effet, des passages était inaccesible, il fallait des fois escalader des débris pour pouvoir continuer le chemin. Les murs étaient des fois cassés et laissaient filtrer la lumière du jour à l’intérieur. Le verre des fenêtres étaient brisé. Des fentes dans les murs offraient la vu sur une jardin d’un vert envoûtant, des arbres centenaires parsemés avec des tâches colorées, des oiseaux qui chantaient leur mélodieux chant. Que dire, ce qu’ils virent, nos aventuriers, leur donnait réellement envie de sortir, à l’exception d’un seul. Mais toutes les fentes ou fenêtre brisées étaient bien trop étroite et petite pour pouvoir passer. Ils devaient donc bien trouver la porte d’entrée. Mais, ce château était un vrai labyrinthe, même Ryaon perdit complètement le sens d’orientation, et si Link sortait une boussole acquie autrefois dans un donjon, la flèche tournait rapidement au rond, sans indiquer à nos amis où se trouvait donc le nord. Ils se retrouvaient deux fois dans la salle à manger en étant sûr d’avoir été partis de la direction opposée. La salle à manger, quant à elle, donnait l’impression que les habitants avaient quitté leur demeur en hâte : En effet, les plats étaient encore tout posés sur la longue table, des restes se trouvait sur les assiettes, la vaisselle était utilisée, des verres remplis à moitié d’eau, vin. Mais l’odeur qui se dégageait de ces aliments indiquaient clairement qu’ils n’étaient plus à manger. D’ailleurs rien qu’à leur vu, nos amis venaient à cette conclusion. Enfin bref, aucun d’eux ne savait quand, mais ils parvenirent enfin à la porte d’entrée. Mais celle-ci fut bloqué, pour leur horreur, par des immenses rochers dont même Ryaon doutait que l’épée nocturne pouvait les détruire. De toute évidence, ils n’arrivaient même pas aux rochers ! Un bouclier invisible se trouvait tout autour de la porte qui rejeta celui qui osait s’approcher trop de la sortie. Le trio constata donc amerement qu’ils devaient faire demi-tour et trouver un chemin pour sortir. Alors, Link proposa de poser une bombe, une idée qui ne trouvait point de reconfort. En effent, dans l’état actuel qu’était le château, une bombe risquerait plutôt que ce château devenait leur tombe, que d’exploser une sortie dans le mur. L’idée fut donc rejeté. Et une autre alternative fut choisie : Errer aussi longtemps dans le château, jusqu’à ce qu’ils tombent sur une sortie. Toujours mieux cela que risquer d’être écrasé par un château ! Nes amis se retournèrent donc de la porte d’entrée, mais restèrent cloués sur place, perplexe. Ils ne s’en souvenait vraiment pas qu’il y avait trois chemin menant jusqu’ici ! Un mauvais sentiments parcourrut Ryaon et il se tourna de nouveau vers la porte d’entrée. Or, il n’y avait plus de porte d’entrée ! Mais un autre chemin ! — Voilà donc pourquoi…, murmura-t-il. Les frères mentaux se retournaient vers lui. — Les chemins changent de place… pas étonnant que nous avons perdu le sens d’orientation, expliquait-il. Link se retournait de nouveau. Maintenant, il y avait deux chemins et non trois. — Mais comment fait-on alors pour sortir ? demanda Vnet. — Simplement errer ! Comme prévu ! Que veux-tu faire autrement ? rétorquait Ryaon. Vnet haussait les épaules. Link pensait à utiliser le Vent de Farore, mais finalement il concluait qu’avec des chemins changeant, cela ne les aidait pas beaucoup. Link soupira. — Restons ensemble, sinon, nous ne nous retrouverons jamais ! dit-il. Les deux autres hochèrent la tête. Après quoi, ils se lançèrent, peu enthousiasmé, dans le labyrinthe des couloirs. Inutile de décrire leur recherche, car le résultat frissait le zéro absolu. Après plus au moins deux heures de promenade à rien, ils s’arrêtèrent fatigué. — Jamais, nous ne trouverons la sortie ! reclama Link. Ryaon ne répondit rien. Vnet soupira, et sortait un saphir de sa poche pour jouer un peu avec lui. Ryaon tappait avec le pied sur une pierre. — Et si…, demanda Vnet, un habitant du château avait tenu un journal et aurait écrit ce qui s’était passé et comment en sortir ? Ou encore…la bibliothèque ? Il y doit bien en avoir une ! Ryaon arrêta de torturer la pierre. Il regarda le tailleur. — Peut-être, dit-il, mais nous n’avons ni trouvé un journal intime ni une bibliothèque. Nous n’avons eu que le droit de tomber sur ces bestioles dans la cuisine… — Mais, ça vaut la peine d’essayer ! remarqua Link, de toute manière c’est le seul espoir qui nous reste. Ryaon gardait le silence un moment. — Il faut bien…, dit-il soudainement, chaque château possède au moins d’un passage secret… Nous n’avons qu’à recherche de nouveau. Une nouvelle flamme d’esport s’illumina dans le cœur des frères mentaux. Et ils reprirent leur recherche qui semblait sans désespéré. Ce qu’elle était : Ils retombaient de plus en plus souvent sur des endroits vu, et inspecté, comme si le château savait leur intentions. En gros, ils passaient cinq heures à s’épuiser pour rien. — Nous n’allons jamais sortir ! s’exclama Vnet, ce château sera notre tombe ! Essayons la bombe, nous pouvons de toute façon rien predre ! Link affichait une mine mécontent. Et il donnait un violent coup de pied dans le mur. Ceci provoquait une douleur soudaine dans les orteils du héros, mais la chance semblait également leur sourir : En effet, Link avait activé un passage secret ! Déesses merci ! Sans plus attendre, le trio se rua vers le passge. Ils parcourirent à la vitesse l’étroit passage pour se retrouver dans une salle circulaire, avec trois portes, richement décoré et orné. — En plein dans le mille ! joubila Vnet. — Oui ! remarqua Ryaon, ces pièces-ci doivent toujours rester les mêmes, à voir leur portes ! Content que le sortilège ne marchait plus, ils inspectaient les pièces : La première était une salle à coucher, et vu son apparence, sans doute cele du roi. Les ornament d’orés, argentés ne manquait pas. Sans parler du baldaquin, avec des linges en satin ! Ils fouillèrent un peu, mais la seule chose qui semblait être utilisable était un petit livre écrit à main dans une écriture inconnu à Link. C’était lui qui le trouvait. Il appela Ryaon, le plus proche. Ce dernier examina le livre. Il fouilla un peu, ensuite il appela Vnet. Le livre passait alors entre les mains du tailleurs. — Mais, n’est-ce pas l’écriture de Calire ? s’exclama-t-il. Link sursauta. Encore lui ! — Non, répondit Ryaon, elle ressemble fortement à la sienne, mais ce n’est pas elle. — Sûr ? demanda Vnet intrigué. — Sûr, confirma Ryaon. Vnet s’attaquait alors au contenu du livre. — C’est difficile à déchiffrer, remarquait-il, c’est bien ma langue maternelle, mais cent fois plus compliqué. Cela doit être un texte très ancien ! La langue n’aurait donc pas mal évolué. Si vous me laissez du temps, je pourrais essayer à retranscrire le texte…. Ils lui donnèrent le temps. De toute façon, Après une si longue recherche, ils étaient affamés, et ils mangeaient donc un peu des provisions de Vnet qui, lui, grignotait un bout de pain, penché sur le bureau de la pièce, une plume dans la main, le livre devant soi et un papier où il écrivit la version facilité du texte. Il s’écrait soudainement : — Link, tu sais que tu es tombé sur une merveille ?! Link arrêta de mâcher son bout de pain et observa le jeune homme. — Content de le savoir, grommela-t-il. — Mais vraiment ! continuait Vnet, il s’agit d’un journal intime ! Et… à ce que j’ai pu comprendre jusqu’ici, un des premiers Kurukas existants ! — Kuru…quoi ? demanda le héros du temps — Kuruka, le nom du peuple à qui appartient Vnet, expliquait Ryaon car Vnet était de nouveau absorbé dans le texte. — Mon dieu, Link, tu sais que je t’adore ?! s’exclama Vnet de nouveau, c’est LE premier Kuruka ! J’y crois pas ! LE Kuruka qui a commencé à construire des mondes ! Nous nous trouvons dans SON monde ! J’y crois pas ! Link je t’adore ! Link l’observait perplexe. — Je suis flatté de savoir à quel point je te tiens au cœur, dit-il, mais pourrais-tu expliquer plus clairement ce que tu disais entre tes : « Link je t’adore » ? — Ah mais oui ! s’écria-t-il, tu n’est pas au courant ! Ryaon interrompit cependant : — Mais, Vnet ce que tu dis est impossible ! Calire m’a bien expliqué que le premier monde crée par les Kurukas n’existent plus ! Un ennemi l’a détruit, ainsi que toutes les Liaisons existant ! Comment, dis-moi, peut alors se trouver un miroir vers ce monde dans la Porte des Mondes ? Crois-moi, Calire la connaît par cœur ! Si jamais ce monde existerai, il connaîtrait les Liaisons ! — Mais pourtant, c’est bien ça ! rétorquait Vnet, je ne me trompe pas pourtant ! Link observait la scène, les bras croisés devant sa poitrine. — Et moi ? On m’oublie ? Je ne suis pas au courant moi ! Ryaon et Vnet le regardaient. — Il faut aller plus en détail pour lui, remarquait Ryaon. Link faisait une grimasse. — Je t’explique ! dit Vent, écoute bien. Mon peuple, les Kurukas, sont capable de créer un monde entier ! D’ailleurs, pas mal de monde que tu vois dans le Porte des Mondes, ont été crée par leurs mains ! Et en faisant cela, ils sont tombés sur d’autres mon existant, tel que le tient et ils l’ont rallié dans la Porte des Mondes… Enfin… un petit détail…
« Décidément les humains ne méritent pas la vie ! Il s’agit ici d’un peuple barbare et inculte. Tous ce qui dépasse leur niveau, ils tuent par peur, à la place de tirer un avantage de cela. Ils se jettent dans les batailles sans cerveau. Ô comme ils sont énervant ! C’est une vraie torture de partager un monde avec des créatures comme ça ! Je construirai un monde nouveau, un monde où rien ne manqua à mon peuple, un monde où ses inculte d’humains ne vivent pas, un monde de paix. Même si cet effort me privera de la magie pour le reste de ma vie, j’offrirai à mon peuple le monde qu’il mérite ! » — Heum… vaut mieux que je ne dise pas mon opinion sur ce passage…, grommela Link. — C’est pas fini ! Voici encore ce que j’ai traduit : « Ça a réussit ! Il existe désormais un monde rien que pour nous ! Et il ne manque rien, à personne, à aucun Kuruka ! C’est magnifique ! L’effort m’a bien épuisé des années, mais ça valait la peine. Comme je suis heureux de pouvoir voir mon peuple content, parmi les siens et non parmis les barbares d’humains assoiffés de pouvoir ! Mon acte semblait également avoir impressionné les autres. Pas mal tentent de faire pareil que moi, avec bravoure ! Si on continue ainsi des années, notre magie aurait atteint un tel point qu’on sera capable de créer des mondes de paix sans cesse ! Et personne d’autres que les Kurukas en savent ! Et même…peut-être serions-nous capable de créer pas seulement des mondes mais aussi des vies ? On serait comme des dieux humains ! Alors, un jour on leur montrera…on éliminerai ce peuple méritant pas l’existence ! On créera des mondes comme nous le souhaitons ! On laissera vivre ceux dont on veut qu’il vive ! » — Dis-moi, Vnet, murmura Link, ce…ce Kuruka, il n’avait pas un petit problème niveau esprit ? Pour ne pas dire qu’il était complètement cinglé… — Il est un peu mégalo, confirmait Ryaon. — J’ai encore un autre petit bout, les derniers pages, écrites en hâte, continua Vnet, mais c’est un peu…heum… intriguant. Voyez vous-même : « Ah, ah ! Quel malheur ! Il attaque ! Venon ! Déjà ? Si tôt ! Je ne me l’aurais jamais imaginé ! Oh quel malheur ! Il ne devait pas être là ! Pas encore ! Pas si tôt ! Oh mais il l’aura jamais ! Je le mettrai en sécurité bien avant qu’il atteigne le château ! Oh oui ! Il ne l’aurait pas ! Jamais ! Mais si tôt…quand même….
Vnet gardait le silence. — Mais, Venon ne devait pas y être né ! remarqua Ryaon. Le jeune tailleur l’observait. — Justement, c’est ça le problème… Il soupira. — Autre problème ! remarqua le héros du temps alors, comment sortir d’un château scellé ? Surtout quand c’était un cinglé pareil… Aucun ne trouvait une réponse. Alors, ils décidèrent d’inspecter les autres pièces. Comme prétendu par Ryaon, ils se retrouvèrent dans le hall après avoir quitté la pièce. La seconde salle, était une salle d’armes. Ryaon profitait pour s’équiper d’une épée. Mais toutes les armures présentent étaient bien trop lourdes, et gênerait trop dans leur quête pour que quelqu’un décidait d’en revêtir une. De même pour les armes. Vnet, lui, était content avec ses saphirs, Link avec l’épée nocturne, et Ryaon avec le choix qu’il avait fait. Le milieu de la salle était entièrement vide. Pratique. Ryaon voulait en profiter pour s’entraîner avec Link, et améliorer sa technique. — Le temps n’existe pas, argumenta-t-il, et nous sommes incapables de sortir d’ici. Autant en profiter ! Link lui jeta un regard noir. Il n’aimait pas la façon dont il exprimait les situations désastreuses. Car la leur l’était. Mais avant de passer à la pratique, ils inspectèrent la dernière pièce : La bibliothèque ! Vnet poussa un cri de joie ! C’était ici qu’était enfermé les précieux trésors des anciens Kurukas ! Sans plus attendre, il se précipita vers les étagères. Link, ne connaissant pas le langage, et Ryaon, ne le connaissant à peine, se rendirent dans la salle d’armes pour commencer leur entraînement. Après quoi, Vnet les rejoignit, avec un tas de livres. Il les déposa à terre, quittait la pièce, et revenait avec un nouveau tas. Ce processus ce répéta à plusieurs reprises. — Voilà ! dit-il, en enlevant la poussière des vêtements, là, on sait nous entraîner ! Voilà, il pointa vers grand tas qu’il avait fait, des livres sur des techniques magiques, nous pouvons trouver un moyen de nous en sortir j’espère ! Et ici, il pointa vers le deuxième tas qu’il avait construit, les livres enseignant des techniques de combats sans magie ! Les images devaient vous aider à comprendre. — Chouette, fut le seul commentaire de Ryaon, mais moi, je ne sais pas utiliser la moindre magie. Calire me l’a dit. Vnet fixait Link. — Et toi ? demanda-t-il en expliquant : Il faut que tu sois capable de produire la magie toi-même. Ceci est un don inné. On l’a ou on ne l’a pas. — Je…heu…, murmura-t-il, je sais pas… Vnet s’approchait alors du Hylien, et pris ses mains dans les siennes. Il fermait les yeux, et murmura une formule magique. Le front de Link commençait à chatouiller, doucement, puis de plus en plus violement. Link lâcha Vnet et mit sa main sur son front. — Bon, il sait en utiliser. Faudrait encore savoir quel élément. Lève un peu la main ! Doucement, il enleva la main du front. — Un triangle jaune ? demanda le jeune tailleur perplexe. — La Triforce sans aucun doute, remarqua Ryaon, tu portes quel fragment ? — Le courage, murmura Link perplexe. — Alors son élément est la glace ! fut le seul commentaire de Ryaon. — Tu en es sûr ? demanda Vnet. Ryaon inclina la tête. — Calire ne se trompe jamais dans les légendes et récits ! — Depuis quand, il y au un élément avec le fragment de Triforce ? demanda Link perplexe en se grattant le signe sur son front. Ryaon haussait les épaules. — Qu’est-ce que j’en sais ? Les légendes sont vieilles ! Nous n’avons qu’à essayer. Link grommela quelque chose d’incompréhensible, puis demanda à Vnet si cette Triforce sur son front disparaîtras un jour. En rigolant, le jeune tailleur affirma. Ensuite, nos amis commencèrent à s’entraîner. Pendant que Vnet et Link révisait la magie, Ryaon étudia des techniques de combat en se fiant aux images. L’élément de Link était effectivement la glace. Avec un peu d’entraînement il arriva à geler des petits objets bien que cela l’épuise. Il arrivait également à manipuler son épée ainsi qu’elle dégageait une extrême froideur, pas jolie pour celui qui se faisait touché. Mais après Link avait besoin d’un quart d’heure de repos après. Il préféra de loin s’entraîner avec Vnet, vu que ce derniers ne l’engueula pas pour tout et rien et comme Ryaon qui était d’avis que la façon de se battre du héros était loin d’être acceptable, et Vnet expliqua meilleur que Ryaon, sûrement parce qu’il compris également le texte. Ils s’entraînaient sans cesse profitant de l’arrêt du temps dans ce monde. Tant que le temps ne coulait pas, ils pouvaient rester pour le reste de leur vie ici sans qu’ils ratent quelque chose dans d’autres mondes, des conditions excellentes pour s’améliorer. Ça serait parfait s’il y aurait quelque chose à manger et à boire dans ce château. Après un bon bout d’entraînement, les provisions de Vnet avaient disparu dans le ventre des héros. Ils avaient donc bien progressé durant des jours. Mais maintenant, sans quoi à manger, ils commencèrent à s’épuiser. Surtout Link, qui lui n’était pas habitué à utiliser la magie et cela fatiguait. Ensuite, Ryaon aussi robuste qu’il soit, il n’était qu’un humain, et non une machine, et il s’épuisa visiblement également. Rien que Vnet semblait tenir le coup. — J’y peux plus ! s’exclama Link en se laissant glisser pas terre, j’ai faim ! Ryaon aussi s’assit. À quoi bon leur servait-il le fait qu’ils avaient progressé dans leurs techniques ? Ils allaient tout de même crever de faim et de soif ! Leur sort été réglé ! Et dire que… et dire qu’ils n’avaient même pas vaincu la moitié des anges déchus ! Vnet fouilla dans un des quelques livres restants. Soudainement, il s’arrêta net. — J’ai trouvé ! s’exclama-t-il joyeux, écouter : « Comment changer le monde, sans passer par une Liaison :
Les regards de Ryaon et Vnet glissait sur Link. — Il est le seul capable, murmura Ryaon. — Oui ! confirma Vnet. En grommelant Link se leva, et alla près de Vnet. La méthode pour y arriver était simple et difficile à la fois : Il fallait se concentrer au plus haut point, penser à un monde ou une chose près de laquelle on veut atterrir, et fondre l’air avec l’épée, et une fenêtre apparaîtrait. Link essayait, mais cela ratait à plusieurs reprises. Il avait d’énormes difficultés à penser en même temps à un change déchu et de s’imaginer l’air opaque pour pouvoir le trancher. Il lâcha un juron après la vingtième fois. Il ne pouvait jamais réussit ! Il avait trop faim ! Un bon bout de viande… avec du pain et quelques légumes, et un bon litre d’eau ! En songeant à ce délicieux repas, il laissait glisser l’épée dans l’air, et pour sa surprise, et celle des deux autres, ils remarquèrent que l’air été coupé là. Intrigué, Link continua, pensant toujours à un bon plat, et bientôt une fenêtre assez grande pour qu’ils puissent passer se trouvait devant eux. Ils virent, quelle surprise, un bon bout de viande à la vue duquel la salive se rassembla dans la bouche du trio. Sur un bout de table qu’ils voyaient, se trouvait également un saladier, ainsi que des petits pas frais. Le tout dégageait une odeur délicieuse ! Sans réfléchir plus, Link se jeta dans l’autre monde, suivit de Ryaon un peu hésitant, et finalement venait Vnet, qui tâcha également à renfermer la Liaison. Ce que personne n’avait vu était qu’il avait glissé le journal intime du premier Kuruka dans sa poche avant de les suivre. |
|