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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

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Chapitre 31 – Passé…

Les attirations en traversant un miroir de la Porte des Mondes étaient aussi incommode que par la boule Thérméhen. Mais quelque chose était pourtant étrange : Link avait l’impression de se trouver en plein d’eau ! En effet, le sol où reposait l’héros du temps était assez liquide, bien que pas aussi liquide que de l’eau. Ensuite, il avait le bouche par contre rempli de ce nutriment fondamental !

Il toussa et cracha de l’eau. Il essayait de se me mettre debut. Mais c’était bien difficile comme il remarquait. Finalement, en prenant recours à un arbre proche il y arriva finalement. Un arbre proche ?!

En effet, il se trouvait dans une forêt. À part qu’il pleuvait violement que même le sol s’était transformé dans une vrai mer de bou. Ses pieds glissaient jusqu’aux chevilles sous terre. Et il fallait mieux pas remarquer l’état de ses vêtements, de même pour Vnet et Ryaon. Ce dernier se tenait déjà debout, le moins sale de tous, et il scrutait l’horizon. Une éclair déchirait le ciel. Une tempête. Une tempête terrible ! Vnet essayait de libérer son visage des mèches de cheveux lui collant dessus. Ce qu’il réussit, mais vu que ses mains étaient couvertes de bou, son visage l’était à présent aussi. Il lâcha alors un petit juron. Il rejoignit Link, en faillant retomper sur terre à plusieurs reprises. La marche sur cette terre boueuse n’était pas évident.

Quant à Ryaon, il scrutait toujours l’horizon, immobil. Les deux frères mentaux se regardèrent perplexes, mais décidèrent ensuite de le joindre également, en remerciant les déesses ou quoi que ce soit selon les réligions (note : Qui dit que Vnet croit forcément aux trois déesses ?) d’avoir planté des arbres à cet endroit pour s’accrocher. Ryaon une fois rejoignit, ils virent ce qu’il fixait :

Un garçon. Un petit. Link estimait son âge à maximum huit ans. D’ailleurs l’état du petit était assez cruel et étonnant à la fois : Ses habits étaient des lambeaux, ses cheveux gris étaient hideux, crasseux et n’avaient pas vu de baigne durant une étérnité, garnis avec quelques feuilles mortes. Son corps, lui aussi ne semblait jamais être venu en contact avec de l’eau, encore moins du savon. À présent il était recouvert de bou comme petit bonus. Pour finir un détail pas repugnant comme avant, mais plutôt cruel : À la bou se mélângeait une grande quanditié de liquide rouge que Link identifia sans problème comme sang. Le garçon était massacré, comme si quelqu’un avait essayé de le trancher en morceaux. Il se traînait dans cette bout, pitoyablement, prenant recoure aux arbres. Étonnant était qu’il tenait encore debout ! Il affichait une mine tordu par la douleur, il haleta, mais il se traînait, toujours, un pas devant l’autre, trébuchant, tombant, se relevant. Mais l’enfant était à bout de ses forces. Quand il tombait une nouvelle fois, il n’avait même plus le force pour bouger le petit doigt. Et Link vit que le dos de l’enfant était entièrement en sang, une entière grosse blessure. Comme si on lui avait arraché la peau… Impossible de nier les fait : Cet enfant était mourrant. Et Link se demandait bien comment il avait réussi à ce tenir debout jusqu’à présent. Il voulait déjà partir à son secours, mais il fut repoussé violemment en arrière dans une haie :

— On ne bouge pas !

Link regardait dans le visage de Ryaon.

— Mais l’enfant mourra ! dit-il automatiquement. Quelque chose avait changé. Quelque chose n’était pas normal. Mais Link ne saisissait pas quoi, bien qu’il savait que la solution était évidente et devant ses yeux !

Ryaon le poussa dans le boue, fortement mais son lui faire mal.

— Tu restes ici, sagement, sans bouger le petit doigt, on s’est compris ?! dit-il

L’héros du temps compris soudainement ce qui avait changé. Sa voix ! La voix de Ryaon ! Elle était froide ! Sans aucun doute, elle exprimait de la froideur ! Jusqu’à présent, elle avait été monotone, maintenant froide comme la glace.

Link en fut ébahis. La froideur était un sentiment. Et à présent, la voix ainsi que les yeux de Ryaon en exprimaient.

— Mais nous devons venir au secours du garçon, se défendit Link tout de même. Voix froide ou pas ! Il devait tenter au moins quelque chose pour le sauver !

— Tu restes ici ! s’écrait Ryaon. Sa voix claquait comme une fouet dans les oreilles de Link. Là, de la colère, dans la voix, tout comme dans les yeux.

Du coin d’œil, Link vit le garçon remuait. Il avait entendu le hurlement de Ryaon. Mais il était trop faible. Il mourra ! Link observait Ryaon. Pourquoi ripostait-il tant de venir en aide à ce garçon ? Certes son sort semblait être reglé…mais… par simple principe !

Un nouveau bruit trouvait alors le chemin dans les oreilles de Link : Le bruits de pas, se hâtant le plus possible dans cette mer de boue.

Rapidement Ryaon poussait Link plus profondement dans la haie. Vnet rejoignit leur cachette. Le guerrier retournait son attention sur l’enfant blessé, mais les bruits de pas venait d’une autre direction. Alors passait soudainement deux silhouettes très proche de la haie. Des petites silhouettes. Des enfants également, complètement habillés avec une langue cape noir résistant à la violente pluie avec une capuche cachant leur visage. Mais d’après leur taille, l’un devait à peine avoir quatre ans, l’autre le même âge que le blessé. Ils le rejoignirent rapidement.

— Vite, va chercher Àràndun ! entendu Link crier le plus âgé. La petite silhouette se retournait de nouveau et reparti en courant. Aussi aisément qu’il faisait, Link concluait qu’une pluie si forte était habituel dans ce monde ou pays ou où qu’il fût. L’autre enfant prit le blessé par le bras, se mettant avec un pied à genoux et mettait le bras autour de son épaule. Il essayait de prendre le blessé sur le dos. Mais ce n’était point facile. Le gamin blessé était comme un grand sac de pomme de terre : un lourd fardeau. Link vit comment il combattait contre l’évanouissement. Cela ne faisait la tâche de l’enfant voulant l’aider pas plus facile. Mais finalement, les déesses savaient comment, il avait réussit à le mettre sur son dos. D’ailleurs la capuche lui tombait de la tête pendant cette action-là, et dévoilait sa chevelure blonde avec deux mèches encadront son visage, et deux plus petite sur le front.

Le regarde de Link erra entre l’enfant et Ryaon. La ressemblance était frappante, trop même ! Ils devaient se trouver dans le passé du guerrier. Il avait devant lui un petit Ryaon ! Ainsi, il savait qu’il allait venir porter secours à cet enfant ! Clair. Il voulait pas modifier le passé ! Mais l’ange déchu, les avait donc envoyés dans le passé de Ryaon ?

Cela n’était pas bon… pas du tout… Link avait un très mauvais pressentiment…

Et Link pouvait faire confiance à son mauvais préssentiment. En effet, le petit Ryaon traînant le garçon blessé, se battait contre le bout pour s’avancer, quand soudainement surgit du néant une force invisible qui séparait les deux enfants. Le blessé lourdement tombait dans la boue, et le petit Ryaon fut projeté quelques mètres plus loin de lui. Il hurlait de surprise. Ensuite Link vit l’ange déchu apparaître et se jeter sur le blessé, mais aussi rapide qu’une éclair Ryaon lui barrait soudainement le chemin. Semsaveel s’arrêta alors.

— Ah tiens ! Je me demandais quand tu te montres enfin à toi-même ! remarquait l’ange déchu amusé.

Semsvæel ria. Link jeta un rapide coup d’œil vers le petit Ryaon. Celui-ci était horrifié et visiblement désorienté. Link soupira.

« Au moins, il avait ses sentiments quand il était petit » se pensa-t-il amerement.

Il changeait alors sur le vrai Ryaon, qui tirait sa dague de sa botte.

Semsaveel éclata de rire en la voyant.

— Et dire que tu comptes me défier avec ça ? Déjà étonnant que ce ne soit pas un jouer en bois !

Link savait que Ryaon ne possédait rien de mieux. Et il savait aussi que ce n’était pas bon. Il tira l’épée nocturne de son fourreau.

— Tient ! hurlait-il et la lançait vers Ryaon qui réagissait immédiatemment et l’attrapait avec la poignée. Aussitôt il la pointait vers l’ange déchu. Ce dernier riait de nouveau.

— C’est meilleur, dit-il, mais dague ou épée, cela ne changera rien !

Il fixait Ryaon d’un regard étrange.

— Au moins…que tu es prêt à faire un sacrifice ?

Avec un sourire rusé, il leva sa main en direction du garçon et la fermait. Link reconnaissait la prise : Il l’aviat utilisé contre Lanima ! Vnet aussi la connaissait car il hurlait en même temps que Link un « non » terrifié. Mais trop tard. Il vit comment le mine du garçon se tordait encore plus de douleur, comment il essayait vainement de bouger, haletant, en tenant avec une main sa poitrine à la place où se trouvait son cœur. Choqué au plus haut point, le petit Ryaon le rejoignit en courant, essayant en vain de l’aider. Mais l’enfant blessé rassembler toutes ses forces pour pousser le petit Ryaon, voulant l’aider de soi. Comme s’était étonnant cette force ! Vraiment étonnant. Link vit la détresse sur le visage du petit Ryaon. Naturellement, il petit, naif. Il ne comprenait pas comment on pouvait refuser de l’aide dans l’état où se trouvait l’autre garçon. Le petit Ryaon paniquait, mais ne savait visiblement pas quoi faire. C’était avec un regard apeuré qu’il restait auprès du garçon se battant contre la douleur…

***

Calire et Zelda se trouvait dans un endroit charmant : Un ciel d’un bleu parfait avec des nuages avec d’étranges formes, une plaine d’un vert envoûtant, l’herbe dansait doucement sous le vent. D’ailleurs un air frais était présent. À côté d’eux une lisière d’une forêt, avec des arbres centenaires. Pour finir, le soleil brillait chaleureusement sur nos deux êtres. Bref, la reine se plaisait bien ici.

Depuis qu’ils avaient franchit le miroir, aucun mot s’était échapé de leur bouche. Peut-être serait-ce mieux ? Après les paroles de Vnet, Zelda s’étamit mit à réflechir une nouvelle fois sur le médecin. Il avait des milles facettes. Il pouvait être gentil, comme tout un coup il peut vous souhaiter la mort. De ce qu’elle avait entendu de lui, elle concluait Calire devait portrer une profonde blessure en soi, dûe peut-être à cause des humains, et qu’il s’était bâti autour de soi, une certaine réputation, qu’il s’était crée une personnalité qui n’était pas la sienne. Du moins, c’était ce qu’elle croyait, ce qu’elle trouvait logique. Mais la logique humaine, allait-elle avec des êtres si étrange que Calire ? Elle décidait de lui faire plus confiance. Si elle se montrait plus ouverte, saurait-elle un jour cerné mieux ce personnage ?

Soudainement, le médecin trébouchait, l’air assez surpris. Il arrivait que de justesse de s’accrochr à un arbre. Zelda s’arrêtait. Dévisageant le médecin d’un air perplexe. Le regard du médecin devenait absent, mais il montrait toujours de la surprise, et lentement se main s’enfermait sur sa poitrine, là où devait figurer son cœur.

Il s’avançait de nouveau de quelques pas, fascillant, mais dû prendre recours à un nouveau abre, rapidement.

— Calire, qu’est-ce vous avez ? demanda la reine surprise.

Le médecin ne répondit rien. Il avançait de nouvea quelques pas, trébuchait et tombait à terre. Difficilement il se mettait au genoux, la main de monstre posé sur le sol, et tenait plus fortement la place de son cœur. Son visage montrait la douleur et soudainement il commençait à cracher du sang. Difficilement, il essayait de se relever, avança de nouveau quelque pas, et recrachait du sang. Le contraste de ce liquide rouge sur sa veste d’un blanc parfait était immense. Il abondonna une nouvelle fois sa tentation d’avancer, et s’agroupi, le corps tremblant de douleur. Zelda s’approchait de lui voulant l’aider, mais Calire la poussa violement devant soi en se relevant, trébuchant ensuite et retombant à terre, ce qui provoquait un nouveau flot de sang craché. Perplexe Zelda ne savait pas comment réagir. Qu’est-ce que le médecin avait tout un coup ? Quelle était cette crise ? Qu’est-ce qu’elle devait faire ?

Elle vit comment le médecin bougeait ses livres, mais elle était incapble de déchriffer les quelques syllabes. « Ryaon » était bien moins fort qu’un simple murmure.

***

— Alors Ryaon ? Tu ne bouges pas ? Étrange ! Tu tiens donc tant à ce garçon crasseux ? demanda Semsaveel d’un ton amusé puis ajoutait : Essayer d’attaquer par derrière ne t’aide pas grand-chose, n’est-ce pas jeune tailleur ?

Surpris, Vnet arrêtait son mouvement, lâchant un court juron. La situation était un vrai dilemme : Tant que l’ange déchu possédait du garçon comme otage, les trois aventuriers avait les mains ligoté : Impossible de s’approcher de Semsaveel, encore moins d’essayer d’attaquer avec une arme à distance : Semsaveel tuerait le garçon avant même que l’arme aurait atteint sa cible.

Link serra les dents. Il y devait avoir une solution ! Une autre, qui ne provoquait pas la mort du gamin ! D’ailleurs…encore faudrait-il savoir s’ils pourraient réellement le sauver de la mort. Tout un coup, Link se souvenait des paroles d’Arakiel. Il lui avait promis quelque chose…

— Semsaveel ! Écoute-moi ! déclara Link.

L’ange déchu fronçait les sourcils.

— Garre à toi si je perds mon temps avec toi, rigola-t-il puis fixait Link d’un regard noir, je suis l’ange déchu de la sagesse mon chèr. Que veux-tu me dire, ce que je ne sais pas déjà ? Fait gaffe… cela pourrait avoir quelques effets secondaires pour ce petit garçon…

Pour insister sur le dernier point, il fermait subitement sa main d’une prise de fer, laissait subir à l’enfant qui hurlait alors à tue-têtes des moments atroces. De nouveau, Link fut étonné par la force de résistance du gamin et en même temps il fut rempli d’un doute, avait-il donc fait le bon choix ? Soudainement, il entendit un bruit sourd, venant de la direction où se trouvait Ryaon. Il se retourna, et vit pour son horreur que Ryaon était devenu transparent tout un coup.

Semsaveel ria.

— Ce garçon aurait-il donc tant d’influence sur toi ? demanda-t-il le guerrier, à un tel point que ta vie et dépendant de son sort ?

Le regard de Ryaon exprimait une haine furieuse contre l’ange déchu. Pourquoi ? Pourquoi ces soudains sentiments ? Mais Link n’avait pas le temps de se poser trop de question.

— Semsaveel ! cria-t-il, écoute-moi, par les déees, écoute-moi ! Arakiel, ton frère, je dois passer un message de lui : Venon vous trompe ! Chymes est attiré par lui car il est l’ange déchu de la mort ! Mais la force que vous semblez posséder, cette force n’est qu’imaginaire ! Vous étiez beaucoup plus libre quand vous étiez pas sous son ordre ! Semsaveel, Arakiel voulait que je vous libère de votre aveuglement !

L’ange déchu ne réagissait pas directement. Il ferma les yeux un moment et les rouvrit. Tout son apparence avait alors changé : Il dégageait de lui une aura aussi douce que ses yeux calme. Lentement il laissait l’enfant dont la miine s’immobilisait aussitôt. Le petit Ryaon le secouait, mais il ne réagissait pas, mais haletait.

— Héros du temps, la voix de Semsaveel était doux et envoûtant à présent, étant l’ange déchu de la sagesse je m’en suis bien conscient. Mais tu vois…ce sont mes frères…ne pas les suivre aurait été égal à la trahison. Et le combat avec eux aurait été inévitable. Mais tu vois, héros du temps, tu vois, ce sont mes frères, mes frères ! Mon cœur saigne abondamment depuis les avoir suivit, mais ce sont mes frères ! J’ai essayé, pourtant, de faire le moins de mal possible jusqu’à présent…

Link fut ébahis par ces paroles et par ce changement soudain. Semsaveel était devenu tout le contrait d’auparavant ! Et ce fut avec le même étonnement que Semsaveel faisait soudainement des gestes brusques :

— Non, non ! criait-il, ce n’est que mensonge ! Ne crois rien, ne crois rien !

Link reculait de quelques pas. Ses changements… c’était effrayant ! D’ailleurs ce moment de surprise autorisait à l’ange déchu de renfermer sa prise sur le garçon qui souffrait de nouveau. Terrifié, le petit Ryaon reculait lui aussi. Fallait pas être magicien pour voir qu’il ne comprenait rien aux événements. Mais ces changements de caractère….

— Double personnalité, shizophrènie ! remarquait Ryaon alors, Semsaveel porte en lui une deuxième âme, la mauvaise qui a le dessus !

L’hypothèse de Ryaon avait l’air correct. Du moins ces changements brusques et radicaux s’expliquaient. Mais il avait de nouveau le garçon ! La solution était clair : Ils devaient pousser Semsaveel à riposter contre sa mauvaise âme. Or ce dernier possédait du garçon comme otage ! Il pourrait le tuer avant même que Semsaveel ait pu reprendre le contrôle de son corps ! Le regard de Link glissait sur le vrai Ryaon, transparent, dont les yeux exprimaient toujours la haine. La vie du garçon blessé était capital. S’il meurt, alors Ryaon aussi mourra.

Mais comment faire ? Comment ?! Cette situation était un vrai dilemme ! Sans issu ! L’être d’oré lui était pourtant toujours venu en aide dans des situations compliqué ! Lueur de Lumière ! Lueur de Lumière ! Et étais-tu à présent ? Ils avaient besoin de ton aide ! Ils ne savent plus quoi faire ! Link priait, priait les déesse pour que cet être étrange lui aidait une nouvelle fois.

Et pour son bonheur, ses vœux furent entendus.

— Héros du temps, héros du temps…, entendit ce dernier une faible voix, mais il la reconnaissait entre mille ! Il chercha Lueur de Lumière du regard.

— Ne cherchez pas…, entendit-il, toujours d’une voix faible, je ne me trouve pas sur les lieux. Écoutez-moi, je ne possède pas de beaucoup de temps, mais il faut que vous détruisez le lien ! Détruisez le lien !

Sur ce la voix avait disparue. Et Link se trouvait là, avec un indice dont il ne savait au premier coup pas quoi faire avec. L’être étrange parlait d’un lien. Quel lien ? Le regard de Link erra sur la scène. Finalement il trouvait le lien. Ce n’était pas difficile non plus, il n’y avait qu’un : Un lien entre l’ange déchu et l’enfant. La prochaine question était comment détruire ce lien. Simpliment se mettre entre l’ange déchu et l’enfant était un peu trop improbable, déjà Ryaon s’y trouvait et il n’avait pas été transparent tout le temps. Et il en doutait qu’une bombe ou quoi ce que soit d’autre pourriait faire l’affaire. Quoi alors ? Qu’est-ce qu’il possédait encore… ? La feu de Din ? Sûrement pas, et le Vent de Farore pas non plus… Mais… alors peut-être l’Amour de Nayru ? Il s’agissait bien d’un bouclier magique. Il portégeait peut-être aussi de liens invisibles ?

Link s’avança, entre l’ange et l’enfant. Smesaveel l’observait intrigué. Y arrivé Link hurlait :

— Allez Semsaveel ! Riposte, riposte ! Tu le peux, je le sais !

Vnet saisissait aussitôt, et lui aussi encourageait Semsaveel à battre contre son côté obscur :

— Oui ! Ton mauvais côté n’est qu’un lâche ! Se prendre aux enfants mortellement blessé ! Tu ne devrais pas le laisser faire !

L’ange déchu, enfin la mauvaise côté était visiblement irrité. Mais avant qu’il ne pût se prendre à l’enfant, Link avait invoqué l’amour de Nayru et en effet le lien s’interrompit : De nouveau l’enfant se trouvait immobil au sol, haletant, combattant contre la mort.

L’ange en était encore plus irrité, mais les trois aventuriers encourageaient le vrai Semsaveel à riposter, et en effet, le mauvais côté n’avait plus de contrôle sur le corps.

— Tu y es presque ! hurlait Link, continue, continue ! N’abondonne pas !

Et se fut en poussant un cri et tombant à genoux que Semsaveel reprit posséssion de son corps. Il soupira profondément.

— Je savais que tu y arriveras ! s’écrai Vnet joyeux en faisant un bont de joie.

L’ange affichait un sourire triste. Et soudainement, la pointe de l’épée nocturne se trouvait devant son coup. Il leva le regard vers Ryaon.

— Oui…, murmura-t-il, tu as raison… mon autre moi est toujours là… je suis un danger… Il faudrait mieux que je meurt.

L’ange marquait une pause.

— Mais pourquoi, pourquoi ? murmura-t-il, nous ne sommes que des êtres vivants, nous ne sommes pas parfaits… Alors pourquoi les dieux l’exigent-ils ? Les anges font des erreurs comme chaque être vivant…

Une seule larme perlait sur le visage de Semsaveel, et c’était ainsi qu’il mourrut en silence.

Ryaon nettoyait l’épée avec la togue de l’ange déchu. Il se retournait vers on petit ego qui était saisit d’une épouvante folle. En voyant le regard de Ryaon il recula de quelques pas, tomba et continuait à ramper en arrière jusqu’à un arbre lui bloquait le passage. Ryaon s’approchait de lui. Link vit que le petit avait les larmes aux yeux.

— Àràndun devait bientôt venir non ? demanda le vrai guerrier.

Le petit gémissait de peur, et ne répondit rien. Ryaon s’approchait plus. Alors le petit essayait de se lever pressé ce qui provoquait qu’il retombait à plusieur reprises.

— Kotta ! entendit Link alors une voix d’homme.

D’un bont le petit sautait sur ses pieds et courrut vers la grande silhouette s’approchant, avec la petite d’auparavant. Ils étaient toutes les deux vêtus de la même cape noire. Il pleuvait toujours, moins fort, mais il pleuvait. L’enfant se jeta dans les bras de l’homme, fondant en sanglots. Quand au petit gamin d’environ quatre ans, il dévisageait le vrai Ryaon d’un regard étonné.

— Wouah ! s’exclama-t-il, ce homme te ressemble vachement beaucoup !

L’homme, sans doute cet Àràndun examinait le vrai guerrier. Link apercevait des yeux de couleur argent dans l’ombre de la capuche. Étrange couleur de yeux. Son regard tombait ensuite sur le corps inerte de l’ange déchu.

Ensuite il détournait les yeux et examinait l’enfant blessé. Curieux le petit allait à ces côtés.

— Il va bien ? demanda-t-il possédant d’une naïvété ordinaire de chaque enfant.

Le petit Ryaon s’accrochait à la cape de l’homme, pleurant toujours.

— Cela dépend que du garçon, répondit Àràndun, je ne peux que guérir ses blessures, s’il veut vivre c’est son choix…

Le petit le regardait étonné. Il pouvait rien faire avec cette réponse là. Il ne devait pas se rendre compte de la graviété des blessures. Àràndun leva l’enfant blessé du sol. Il tournait les talons. Ryaon se serrait très proche à lui, le regard appeuré tourné vers le vrai Ryaon.

— Allez Hokuto viens ! dit l’homme au petit de quatres ans. Ce dernier avait observé le trio.

— Et moi, on me gronde toujours quand je joue avec la boule ! grommela-t-il avant de se retourner et suivre Àràndun et Ryaon.

Notre trio lui aussi décidait de s’en aller. Ils n’avaient plus rien à faire ici dans ce monde. Ils se mettaient alors à la recherche d’une Liaison, sous le guide de Vnet.

Le petit Ryaon les observait encore. Il sanglotait.

— Je ne veux pas devenir comme ça Àrà ! s’exclama-t-il, je ne veux jamais devenir aussi…aussi monstrueux !

Il sanglotait toujours.

L’homme, portant le gamin blessé sur un bras, mit l’autre sur la tête de Ryaon.

— Je ne vais jamais devenir comme ça ! s’exclamait Ryaon de nouveau, jamais ! Je resterai un enfant, toujours, un enfant pour toujours !

Il sanglotait de nouveau et prit la main d’Àràndun et se serra contre l’homme.

— Allez…, le consola Àràndun, notre petit patient à plus d’importance, ou bien voudrais-tu le vois mourir ?

Ryaon secoua violement la tête.

— Jamais ! fut son commentaire, personne ne mérite la mort !

Àràndun jeta encore un regard examinant par-dessus son épaule pour voir les aventuriers partir. Puis ses yeux glissaient sur l’enfant blessé qui s’était réellement évanoui à présent. Son visage ne trahissait pas comment il pensait au sujet de l’état du gamin…

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