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Autres Zelda Zelda CD-I
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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57) << Précédent - Sommaire - Suivant >> Chapitre 30 – La Porte des MondesLentement Culdiliel se laissait glisser d’une niche vers le sol. Elle avait observé la scène à distance. Doucement elle s’approchait du cadavre et de Link. Ce dernier s’était relevé, la main fortement fermée autour de son épée. Il remarquait soudainement la jeune fille. Cette dernière s’assit près du cadavre d’Arakiel et effleuré le visage du mort. Link l’observait. Quand elle leva la tête vers lui, son regard exprimé de la haine. — Tu n’avais pas à le tuer, dit-elle sombrement. — Je ne l’ai pas fait volontiers ! se défendit Link, la boîte de musique m’est glissé. J’y peux rien ! — Tu n’avais qu’à la poser sur sol auparavant ! rétorquait Culdiliel, un guerrier doté d’une intelligence normale l’aurait fait, sachant qu’elle le dérangerait durant le combat ! Link se fâcha. — Alors comme ça tu crois que j’aurais souhaité sa mort ? s’écriait-il, je ne pouvais pas non plus savoir qu’il se différait tant des autres anges déchus croisé ! Comment aurais-je pu ? Il marquait une pause puis ajoutait : — Et puis d’abord, pourquoi TOI, tu t’inquiètes tant pour son sort ? Calire l’avait enfermé. Tu devais le savoir, et également que la mort lui était d’une manière ou d’une autre certaine. Car s’était ça le but de Calire, sans aucun doute, il voulait sa mort ! Culdiliel fixait toujours Link. — Je l’aime, dit-elle, j’aime Arakiel. Il était comme un grand frère pour moi, avant qu’il n’ait rejoint ses frères battre pour Venon. Elle gardait le silence avant de continuer d’un ton sombre : — Même si je ne suis pas humaine, cela ne veut pas dire que je suis incapable de ressentir des sentiments et d’avoir des êtres qui me sont chers au cœur ! Elle plissait les yeux. Link était surpris. — Quoi qu’il en soit, finissons-en avec cette histoire. J’en ai marre te voir ta gueule, siffla-t-elle. Sa queue montait et descendit agressivement. L’attitude de Culdiliel rappelait Link un chat. Elle sortait le boule mauve avec Ryaon, sans jeter le moindre regard désormais à l’héros du temps. Quelques instants après l’ami de Calire avait retrouvé sa taille normale sans une boule mauve autour. Par la suite ils franchissaient le labyrinthe sous le guide de la fille, ramassaient Sphira et Vnet en passant qui avait de nouveau la pêche à leur arrivée, vu que les saphirs se trouvaient de nouveau proche. Culdiliel lui redonnais alors ses saphirs. Enfin, elle déclara qu’elle allait les renvoyer des le présent. Vnet se plaignait un peu du temps trop court partagé avec sa sœur, mais il la quittait le cœur plus léger, sachant qu’elle était à présent en sûreté, et c’était ce qui comptait ! Ce fut avec la boule de Thérméhen que Culdiliel les renvoya dans le présent. Elle l’avait sans doute eu de Calire. Le voyage se déroulait comme toujours : Tout commençait à tourner autour de Link, il sentit le vertige lui monter, et soudainement, le noir absolu pendant un moment et soudainement il tomba assez rudement sur le sol. — Aïe… murmura-t-il, faut dire que j’apprécie point ce genre de voyage. Il voulait se lever du sol, mais remarquait que le gazon était mort. Cette petite peste de Culdiliel ne les avait-elle pas renvoyé au présent ?! Il n’avait pas le temps de vérifier, car subitement il était pris au collier et traîné rapidement et violement derrière le petit muraille proche de la Ranch Lon Lon. C’était Ryaon. — Qu’est… ? voulait Link demander, mais Ryaon lui plaqua sa main devant la bouche. Vnet, qui les avait suivit, observait quelque chose par-dessus le muraille. Rapidement, il baissa sa tête à un moment. — Ils arrivent, chuchotait-il à Ryaon. Celui-ci inclinait la tête. — Il y a des ennemis qui approchent, expliquait Ryaon à Link, ils viennent par ici, il faut prier qu’ils ne nous remarquent pas en passant. Plus aucun mot à présent ! Il enleva la main de la bouche de Link. Ce dernier remarquait soudainement des voix. — L’assaut était tellement facile ! dit une, je me demande pourquoi sa Majesté Venon a tant attendu pour s’en emparer. — Parce qu’il ne ce s’agissait pas d’un royaume fleurissant auparavant, expliquait une deuxième voix, en plus il avait attendu le bon moment pour attirer ce Ganondorf sur con côté. C’est bien le meilleur pour dominer sur ce monde en absence de sa Mæjsté Venon ! À côté du muraille apparaissait maintenant les deux ennemis. Des espèces de loups marchant sur deux pieds, avec un pellage en bataille, hideux et crasseux, un habit qui devait autrefois être rouge, mais à présent d’un étrange brun, et chacun portait un dague. Leur yeux brillait entièrement d’un rouge sang, sans posséder un quiconque iris. En parlant, ils dévoilaient des lonngs dents pointus ayant l’air asez tranchant. Aucun des trois aventuriers ne bougea. Le moindre geste pourrait les trahir. Un coup d’œil à côté de ces monstres, et ils étaient découvert. — Mais ce Ganondorf aurait quand même eu des problèmes, disait un des loups, ce coin-ci n’est pas idéale pour s’enrichir d’une armée. Il doit être reconnaissant envers sa Majesté Venon de nous avoir envoyé chez lui ! Le loup poussait un rire, du moins Link estimait que c’en était un. — Oui c’est vrai ! confirmait l’autre, sans nous, Hyrule ne serait toujours pas pris ! Les derniers mots paralysait Link. Hyrule, prit ?! Ce n’était pas vrai… ?! Et Zelda ? -N’empêche… Envoyez nous deux pour regarder si quelqu’un se trouve dans la pleine, pf… Il n’y a pas vraiment d’occasion pour se cacher… Soudainement Ryaon lui tappait sur l’épaule pour lui faire signe qu’il fallait mieux se cacher de l’autre côté du muraille. Ébahis, Link suivit sa proposition, les loups étaient assez éloingés pour ne plus remarquer leur mouvement. De l’autre côté, Link avait un panaroma excellent sur le bourg d’Hyrule… ou plutôt de ce qu’il en restait. Les murs de protection étaient intactes, mais derrière eux dominait un immense feu. — Non j’y crois pas…, murmura Link terrifié, nous somme bon et bien au présent ? — Je crois bien que oui, répondit Ryaon, n’oublie pas que tu as mis du temps à finir le donjon grâce à ta somme ! — J’y peux rien ! Sinon j’aurais rien vu ! rétorquait Link, et puis d’où tu le sais toi ? — Culdiliel t’a observé au long du chemin, donc logiquement moi aussi.. Link ne répondit rien, mais son regard fixait Hyrule en feu. — Il faut y aller ! dit-il, il faut sauver Zelda ! Ryaon l’observait. — Tu agis beaucoup trop rapidement, dit-il, regarde le feu, cela doit faire un bon moment qu’il dévore le ville, si Zelda n’a pas réussi de se sauver à temps, elle est morte. — Mais… bégayait-il. — Ne t’inquiète pas, intervenait Vnet, Calire est avec elle. Et ce n’est pas dans son intention de voir la reine mourir si tôt ! Il est quelqu’un de très prudent. Il retourne chaque pierre au moins mille fois. Il doit avoir envisagé la possibilité d’une attaque, et avoir quitté le château à temps avec la reine. Link fixait Vnet d’un regard insûre. — Tout à fait, confirmait cependant Ryaon, regarde les choses en face, Link : Si ce qui Vnet vient de dire n’est pas vrai, la reine n’est plus de ce monde. Tout le monde s’effondrait autour de Link. Zelda morte ? Pas qu’il ne croyait pas aux paroles de Vnet, mais il ne croyait pas tellement dans ce médecin. Tout comme Venon, il semble prendre de plus en plus d’importance, il était de plus en plus présent, dans presque chaque acte, on parlait de lui ! Ce point commun entre Venon et Calire, était-ce un hasard ? — Il faut y aller, dit Ryaon, Vnet, sais-tu où se trouve la Liaison la plus proche ? Vnet inclinait la tête. — Pas loin d’ici, répondit-il. Link demanda ce qu’était une Liaison, mais il n’eut pas de réponse, il suivit donc, le cœur lourd, ses deux compagnons. Au bout d’un moment, ils passaient devant un cadavre…étrange. Il ce s’agissait d’Hokuto qui reposait au sol, les yeux fermés. Sur son front se trouvait un signe. Link mettait quelques instants avant de se souvenir d’où il le connaissait : Un soleil avec un croissant de lune derrière lequel se cachait une sorte de fleur. Le même signe qui figurait sur l’habit de l’être étrange ! — Je connais ce signe ! s’exclama-t-il. — Celui de Lueur de Lumière, rétorquait Vnet, l’être d’oré… — Tu le connais ? demanda Link étonné. Ainsi cet être s’appelait Lueur de Lumière… — Non, mais il profite d’une certaine réputation parmis mon peuple, répondit Vnet le regard fixé sur le cadavre. Soudainement le corps du petit frère de Calire commençait à luire d’une lueur blanche et d’orée, et il disparut subitement dans un éclat de poussière. — Venez, la lisaison et proche, murmura Vnet et il se retournait sans dire un mot de plus. Ryaon le suivit. Link restait encore un peu perplexe sur place. Quelque chose le dérangeait dans le comportement de ses amis…. *** Calire secouait la reine pour la réveiller. Lentement elle ouvrit les yeux. Comme elle avait mal au dos ! Son regard tombait sur Calire, et elle sursautait. — Oh, pourquoi être tellement effrayée ? demanda-t-il étonné. — Je…je suis pas encore complétement réveillée, essayait la reine, je vous n’ai pas reconnu au premier coup d’œil. Le médecin sourait. — ça arrive à tout le monde, confirmait-il puis ajoutait : Nous devons y aller. Zelda inclinait la tête, et s’apprêta à quitter la pièce, mais le médecin la retenait. — Non, non, pas par là, dit-il. Perplexe elle se retournait vers le médecin. Où voulait-il aller ailleurs ? Ceci était un cul-de-sac ! Mais pour l’étonnement de la reine, Calire palpa le mur. Encore un chemin caché ? Comme dans le cachot ? — Voyons-voir…, murmura-t-il, quelque part ici… Soudainement sa main glissait dans le mur sous le regard ahuri de la reine. — Ah ! Je savais bien que c’était ainsi ! s’exclamait le médecin joyeux. Il se retourna vers la reine, lui tenant sa main. — Touchez-moi, dit-il, sinon vous êtes incapable de franchir le Liaison. Rien que celui qui sache où elle est et où elle mène pourront la traverser ainsi. Vous allez voir ce que je vous ai caché auparavant en vous assomant. Perplexe la reine suivit l’invitation du médecin et prenait sa main. Elle était étrangement douce. Par la, Calire commençait à s’avancer dans le mur, d’abord avec sa main de monstre, ensuite la moitié de son corps disparaissait, puis il ne restait que la main qui tenait la reine. Cette dernière ne sentit rien quand elle glissait dans le mur, à part Calire qui la tenait. Et c’était avec une énorme surprise qu’elle observait les alentours une fois traverser le mur. Elle se trouvait en plein Univers ! Ici, il faut noter qu’Hyrule ne possédait ni d’une tour d’observatoire, ni d’un quiconque d’autre matériel soutenant l’astronomie. Rien que des livres illustrants quelques fois à quoi l’univers ressemblait. Cependant, Hyrule négociait avec un pays voisins Termina (Notre de l’auteur : Je me facilite un peu la tâche. ^^ ça s’appelle libre fantasie :p) et Zelda avait pu profiter pendant un voyage d’aller faire un tour à l’observatoire dont l’avait parlé Link, et elle s’était éblouis de la beauté de l’univers. Cependant, jamais elle ne saurait imaginé qu’un jour elle s’y trouverait ! Mais un détail était bien étrange dans cet univers : Les miroirs aux cadre d’orée avec une inscription en une langue étrangère. Mais le reste, l’univers semble bien réel : Si on observait pointilleusement, on pouvait remarquer comment les planètes bougeaient, on pouvait assister à des supernovas, voir des trous noirs dévorer tout ce qui se mettait à travers leur chemin. Et c’était d’autant plus surprenant, que la reine sentait du sol à ses pieds. Elle aurait dit un solide sol de pierres, mais au dessous d’elle se trouvait l’infinité de l’univers. Elle sentit le vertige lui monter. Elle semble flotter dans l’univers ! Et pourtant il y avait le sol, et en même temps…rien. Elle cherchait le regard du médecin. Ce dernier lui sourait. — Je vois que notre chef-d’œuvre vous plaît, dit-il. — Votre chef-d’œuvre ? demanda la reine perplexe. Calire leva la tête vers « l’horizon » de l’univers. — Cette salle, dit-il, oui, car il s’agit d’une salle, reine, à été construit par mon peuple, par nos ancêtres plutôt, il y a des milliers d’années. Mais simplement, une salle ordinaire, nous l’avons trouvé trop monotone et trop ordinaire. Nous avions voulu rendre la salle plus vivante. Et nous avions choisi comme motfi l’univers. C’est un peu… si vous dessinez, vous essayez aussi de donner de la profondeur à votre image. Hé bien, nous avons fait de même, à part sur les murs de la salle et nous l’avons rendu vivante si vous voulez. Zelda regardait surprise. Calire parlait comme si cet exploit était ordinaire. Le médecin le remarqua. — Oui, reine, dit-il, le pouvoir de mon peuple dépasse de loin celui des humains. Ici, vous vous trouverez dans la Porte des Mondes. Mon peuple s’est fait la peine de rassembler tout les mondes leur étant connus dans cette salle. Enfin, on peut atteindre tout les différents mondes grâce au miroir. Un miroir pour chaque monde. Mais si on pénétre dans la Porte des Mondes, on apparaît n’importe où. De même qu’il est inutiles d’essayer de trouver les murs de la salle, dit-il en voyant la reine, car la salle est tellement grande qu’une vie humaine entière ne suffirait pas à aller du milieu à une extremité de la salle. Votre vie et trop courte, votre rapiditié trop lente pour y réussir. Et oui, reine, notre peuple vit bien plus longtemps que vous. « Cette salle doit rester à l’écart des regards d’autrui outre que mon peuple. Mon peuple est pacifique et bienveillant. Jamais il n’utiliserait son savoir et son pouvoir pour une quiconque raison maléfique. Mais d’autres êtres, tels les humains, sont avide du pouvoir. Jamais ils doivent être au courant de la Porte des Mondes. Vous, chère reine, vous êtes une exception. Et comptez sur moi, de vous faire la vie dure, si jamais quelqu’un d’autre connaît son existence grâce à vous. La reine observait le médecin. Elle n’avait aucun problème de lui croire ses derniers paroles. Calire lui faisait signe de le suivre, en faisant bien gaffe que la reine ne sortait jamais de son champ de vision. Il tenait à ce qu’elle ne faisait pas de bêtise… Mais la reine était de toute façon encore trop étonné. Des différents mondes ! Elle s’était toujours demandé s’ils en existaient d’autres, et là elle avait la preuve ! Ainsi, quand elle séjourner chez Calire, elle se trouvait dans un monde différent ! Voilà donc pourquoi elle y était resté deux semaines, bien qu’à Hyrule cela était un mois ! Mais jusqu’où la différence des mondes allaient ? Et le peuple de Calire… Leur puissance devait être… grand, en restant dans les termes normaux. Étaient-ils des sortes de sages ? Les pensées de la reine revenait sur Vnet, il n’avait pas l’air très sage, mais il était jeune aussi, tout comme elle. Ou bien… ? À quel point l’apparence de ce peuple par rapport à leur âge se différait à celle des humains ? Tant de question dans la tête de Zelda, tant de questions et si peu de réponse satisfaisant…. *** — Attends, attends ! dit Link, tu veux pas me dire que nous sommes dans une salle ici ? — Mais si, mais si ! insistait Vnet, et sauta sur place, tu entends ? Il y a un sol ! Il a juste l’apprence d’un univers très réaliste ! — Mais vraiment réaliste alors, grommela Link en se grattant la tête. Vnet ria. — Oui ! Je peux être fier des ancêtres de mon peuple ! déclara-t-il avec un air de fierté. Link souriait. — Si tu le dis…, murmura-t-il. Mais au fond de soi, il se pensait les mêmes choses que la reine. La but pourquoi ils se trouvaient ici était simple : Les six anges déchus restants se trouvaient dans des mondes cohérents et incohérents. La porte des mondes menaient dans ces mondes, trop de mondes même ! Comment savoir lequel était le juste ? Link doutait que c’était écrit sur les cadres d’orés des miroirs. Enfin… Il allait voir… Sûrement de nouvea quelque chose d’aussi étrange… Après, ils allaient boire un coup de verre avec un des anges, comme s’est un des meilleurs amis de Calire, quelque chose du genre… Vnet lui avait expliqué la fonction des Liaisons : Il en existait deux différente. Celles qui mène dans la Porte des Mondes, et celles qui mènent directement dans un monde précis. Partout dans les mondes se trouvaient des miliers de Liaison bien caché. Et pour que ne pas tout le monde puisse franchir ces Liaisons, son peuple avait fait en sorte que rien que ceux connaissant exactement la place et sachant où la laison menait pouvait les trouver…. Soudainement, l’héros du temps entendait des pas oute que ceux de Vnet, Ryaon et soi-même. C’était avec étonnement qu’il regardait les deux personnes qui allaient à leur rencontre. Son cœur faisait un bon de joie. — Zelda ! s’écriait-il, Zelda ! Tu es donc vivante ! Zelda se précipitait vers son ami pour se jeter dans ses bras. — Oh Link ! J’avais si peur, murmura-t-il, je ne veux l’accompagner ! Je ne veux plus le voir ! Inutile de préciser qu’elle parlait de Calire. Ce dernier se tenait à l’écart du groupe. Depuis qu’il les a appercus, il n’avait plus bougé. Une statue de marbre, avec des yeux très vivant. Ainsi, Ryaon le rejoingit. — Toi, ici ? demanda-t-il. — Moi, ici, en effet, murmura-t-il, le passage dans la lac n’existent plus. Quelque chose doit le bloquer. Je suis contraint à faire le détour par ici… D’ailleurs je ne sais ce qui aurait été mieux : Plongez avec la reine dans un lac ou bien lui dévoiler nos secrets… Enfin… la première solution aurait été beaucoup plus court d’une certaine manière… — Aucune victoire, sans sacrifice, remarquait Ryaon. Calire soupirait. Son regard glissait sur Zelda. — Pourquoi les humains font-ils tant de bêtises ? Il regardait Ryaon. Ce dernier ne répondit. Calire soupirait une nouvelle fois. — Autrefois tu m’aurais tué si j’aurait quelque chose de pareille, murmura-t-il amerement. — Tu veux que je fasse semblant ? demanda le guerrier. — Non, c’est bon… soupira le médecin. Quant au trio Link, Zelda, Vnet, à reine avait raconté ce qui c’était passé durant l’absence des deux frères mentaux. Link était tout choqué, face aux menaçent de Calire. Vnet, lui, se montrait étonné. — Ainsi, il ne vous a rien dit, remarquait-il, vous devez lui être reconnaissant. Il vous a sauvé la vie. Hyrule n’existe plus. Hyrule est tombé. Une armée de Venon, dirigé par Ganondorf l’a assiégé. Zelda devenait tout pâle. — Mon peuple ! murmura-t-elle choquée. Vnet gardait son sang froid. — Même si Calire vous souhaite la mort, ou encore tout les malheurs du monde, continuait-il, il ne peut pas le faire. La preuve : Il avait eu assez de temps de le faire, ne le pensiez-vous pas ? Il porte en lui une haine profone contre les humains à ce que j’ai pu constater. Même s’il fait semblant de les mépriser comme tout le monde dans notre peuple. Il les hait. Pour une raison que j’ignore. Ryaon est un des seuls à avoir réussi à gagner sa confiance et son amitié. Ne me demandez pas comment il l’a fait…. Il se taisait. Zelda réféchissait à ses paroles. Elle jeta des rapides coup d’œil vers Calire et Ryaon. Ainsi, Ryaon était humain. Mais Calire restait tojours imprévisible dans ses actes. — Mais que veut-il à la fin ? demanda la reine plutôt pour soi. Mais vnet répondit en haussant les épaules : — ça, je me demande depuis des années. La seule chose qui est certain, c’estt qu’il suit qu’une unique fois : La sienne, celle qu’il croit pour juste. Zelda observait le jeune tailleur. Ce dernier sourait gênée sentant le regard examinant de la reine sur lui. Entretemps, le médecin et le guerrier les avaient rejoint. — Il est temps de continuer notre route, remarquait Calire. Ryaon confirmait, tout comme Vnet. Link et Zelda hésitaient un moment. Plus vite ils avançaient, plus vite cette aventure était fini. Mais ils avaient de ce qui allait venir. Et ce fut également cette hésitation qui bascula les plans de Calire. En effet, soudainement, le vacarme d’un miroir détruit retentit dans la salle. Rapidement comme une éclair, Calire se retournait vers la sources du bruit. — Semsaveel ! s’écrait-il avec une pointe de colère. Semsaveel, observait son forfait avec une mine satisfait. — Oh, dit-il d’un ton moquer, ma main a glissé, je suis sincèrement désolé, mon cher Calire. Voulais-tu le traverser ? J’avais pas su. Milles excuses. Il ria. Inutile décrire l’apparence de ce personnage, comme il était un des anges déchus. Et il ne faisait pas exception à la ligne : Il ressemblait à ses frères comme une boutte d’eau. — Bien, dit Calire d’une voix sûre, je ferai alors encore un détour. L’ange déchu l’observait amusé. Quant à Ryaon, il était d’avis que l’occasion était bon pour tenter une attaque avec sa dague. Mais l’ange l’esquieva facilement. — Ici, ce n’est pas le bon endroit pour se battre, déclara-t-il, suivez moi plutôt ! À ses mots, il disparaissait dans un miroir. Les aventuriers restaient encore debout quelques instants, silencieux. — Bien…, interrompit Calire le silence, il est temps de partir. Il prit la reine par le bras, et la tira vers un autre miroir. Ryaon, lui, prenait Link par la bras et sautait avec lui dans le moirir choisit par l’ange, suivit du maigicien. Ni Link, ni Zelda avait eu le temps de riposter. |
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