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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

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Chapitre 23 – Petit Frère !

Le regard de la reine scrutait l’horizon de la fenêtre de ses dortoirs. Ses pensées déviaient sur Link, ce qu’il faisait maintenant. Elle ne se faisait pas trop de soucis pour l’aventure. Elle savait que cela ne la torturerait que d’avantage. Et peut-être était-ce pour cela qu’elle était prise de panique quand elle sentit soudainement comme quelqu’un s’approchait de derrière, comme une main s’enfermait soudainement devant se bouche, la poussant contre le corps de son agresseur. L’autre main venait aussitôt s’entourait autour de la taille d’une prise violente. L’odeur entourant l’agresseur était facilement reconnaissable.

— N’ayez pas peur, cela n’est que pour votre bien, murmura le médecin de sa voix bienveillante qui infiltrait cette confiance absolue, cette confiance dont Zelda essayait de se méfier à présent. Il libérait un peu la reine.

— Pourquoi ? murmura-t-elle, votre main…

— Oui, ma main je ne peux pas l’utiliser certes, mais mon bras marche impeccable, murmura le médecin dans l’oreille de la reine, faites moi confiance, je ne vous ferai rien.

Cette voix… Zelda commençait à la détester. Cette voix laissait jaillir en elle cette confiance qu’elle ne voulait pas. Mais elle ne pouvait pas résister. N’importe comment le médecin le faisait, c’était plus puissant que la volonté de la reine. Et elle se maudissait pour cela, de se soumettre si facilement sous le pouvoir du médecin. Il arrivait qu’elle le suivait n’importe rien attiré par cette voix confiante ! Et il le savait, il le savait si bien !

Calire la laissait. Lentement Zelda se retournait. Sa main paralysée repose de nouveau dans la poche de sa veste.

— Suivez-moi, dit-il avec un beau sourire aux lèvres.

Zelda essayait de riposter mais n’y arrivait pas. Lentement elle suivit le médecin hors de la pièce, ne le laissant pas des yeux, fixant sans cesse son beau visage souriant. Oui, car aussi pâle qu’il soit, il était beau. Cela venait de son intérieur, Zelda le sentait. Calire la guidait dans le château, toujours de plus en plus profond, jusqu’à arriver aux cachots. Elle sentit son malaise accroître, elle voulait riposter à la magie avec laquelle l’ensorcelait Calire, mais elle ne pouvait pas. Aucun garde ne se trouvait ici, pourtant les cachots étaient censés être surveillé sans cesse. Le médecin la traînait dans un des cellules les plus profondes, les plus noirs. Elle était vide. Zelda se demandait comment le médecin avait pu s’acquérir des clés. Dans la cellule, le médecin se pencha vers le sol et deux minutes plus tard un flambeau illuminait la pièce. Zelda ne posait pas de questions, même si elle voulait. Le sort envoûtant du médecin ne la laissait pas faire.

Il s’avançait d’avantage dans la pièce.

— C’était où déjà…, murmura-t-il en tâtant les murs, ah oui, ici !

Calire enleva une pierre du mur. Quelques araignées s’enfuyaient. Ensuite il tâtonna dans le petit trou jusqu’à ce qu’il trouvât un petit bouton. Il l’enfonçait. Avec un bruit de pierres se frottant, un passage s’ouvrit dans le noir au sol.

Étonnée Zelda dévisageait le médecin. Celui-ci rétorquait avec un visage surpris.

— Oh, mais si vous avez cru me surveiller avec vos gardes, dit il secouant légèrement la tête, chaque château possède au moins un passage secret. Ne connaissez-vous donc pas le vôtre ?

Zelda ne répondit rien. Calire haussait les épaules.

— Suivez-moi…, dit-il simplement.

Zelda sentit comment le sort du médecin s’en allait. Brusquement elle se retournait vers la sortie et s’apprêta à partir. Or, la porte se fermait poussée par des mains invisibles, se fermait automatiquement à double tour et la clé flottait tranquillement dans la main de Calire.

— Il me semble que j’ai laissé la porte ouverte, je n’ai pas de manière décidément, dit le médecin au petit sourire aux lèvres.

Aussi brusquement d’avant Zelda se retournait de nouveau vers l’homme en blanc.

— Vous… lançait-elle.

Calire fronçait les sourcils.

— Calmez-vous, je veux juste mettre les choses au clair. Je n’ai pas le moindre envie de vous faire du mal, alors ne me donniez pas l’occasion de vous en faire.

— Vous…, lançait la reine de nouveau d’un ton agacée, je vous hais !

— Oh, dit Calire, à votre place je ne ferai pas…

— Pourquoi devrais-je ? dit la reine, donnez moi une preuve.

— Parce que je vous ai sauvé la vie, répondit le médecin, parce que j’ai sans problème pu vous entraînée tout le chemin que nous avions à parcourir en vous envoûtant de mon charme. Cependant je voudrais bien que vous me suiviez de votre propre gré. Est-ce suffisamment, chère reine ?

Zelda gardait le silence toujours méfiant. Ensuite elle rétorquait :

— Et qui me dit, que ce n’est qu’un simple piège de vous ? Même si Vnet a dit à Link que vous êtes de notre côté pour le moment, qui me dit si c’est vrai ? Qui me dit si le jeune homme n’est pas de votre côté ? S’il n’a pas menti ?

— Personne ne vous le dirait, répondit le médecin, mais sachez que celui qui bâtit son monde sur la méfiance, le bâtit sur du sable, il va lui glisser des mains, sans qu’il puisse l’arrêter. Vous n’avez pas vraiment le choix reine. Vous êtes enfermée ici, la seule sortie celle qui s’ouvre à côté de moi. Et une derrière vous, mais dont je possède les clés.

— En gros je dois vous suivre. Alors pourquoi me poser devant le choix ? demanda la reine croisant les bras devant sa poitrine.

— Parce que je ne veux pas vous faire du mal, dit le médecin, c’est quelque chose dont j’ai horreur. Et afficher sans cesse un beau sourire aux lèvres, c’est fatiguant à la fin.

Le médecin souriait.

— Et si…, répliquait la reine, je refuse de venir ? Un des gardes remarquent bien ma disparition, il va alarmer le château entier. Ils vont me trouver à la fin, non ?

Zelda espérait que cela soit un bon argument. Mais Calire ne semblait pas être du même avis que la reine.

— J’en doute… dit-il.

— Qu’avez-vous fait ? lançait la reine alors.

— Rien, je me suis qu’occupé que le garde des cachots a soudainement autre chose à faire que tenir surveillance. Mais c’est tout.

Zelda se mordit les lèvres.

— Pourquoi vous m’enlevez ? demanda-t-elle alors.

Calire semblait surpris.

— Oh ! Mais je ne vous enlève pas. Je vous sauve la vie.

Zelda ne répondit rien, et le médecin poursuivit :

— Nous avons assez discuté. Suivez-moi maintenant.

Il s’approchait de la reine et la prit par le bras pour l’entraîner avec soi. Mais Zelda ripostait violement en essayant de s’emparer des clés. Mais Calire possédait des bons réflexes. Il réagissait immédiatement quand la reine libéra son bras et voulait le frapper avec l’autre. Il évitait le coup et rattrapait la main toute en la plaquant la reine contre le mur glacial de la cellule.

— Je me répète pour la dernière fois, chuchotait le médecin, le visage très proche de celui de la reine, faites encore une bêtise pareille, et vous me connaîtriez d’une autre côté.

Zelda sentit comme quelque chose d’étrange se posait sur son menton et leva un peu sa tête.

— Vous m’aviez compris ? demanda Calire.

Le regard de la reine glissait alors en bas pour voir l’objet inconnu posé sur son menton. Elle eut le souffle. Le médecin lui avait mentit. Sa main n’était pas paralysée, il n’en possédait pas tout simplement. Du moins pas réellement. Des écailles brillaient d’une couleur verdâtre, tel un serpent, et les doigts étaient remplacés par des longues griffes qui donnaient l’air d’être assez tranchants. Et c’était avec le plat d’un des griffes que Calire avait poussé le visage de la reine en haut. Maintenant il lui caressait doucement avec cette main de monstre le cou.

— Sinon je serait contraint d’adapter d’autre manière à notre relation, chuchotait-il, et j’en doute que vous en voulez arriver là ?

Effrayée, la reine fixait l’homme en blanc. Il la laissait.

— Bien, je vous que nous nous sommes compris. Si vous voudriez bien me suivre ?

Encore sous le choc, la ne ripostait pas et Calire l’entraîna dans le gouffre au sol qui possédait d’une vieille échelle. Mais avant, le médecin remettait sa main monstrueuse dans la poche, et ramassait avec l’autre le flambeau posé au sol auparavant. Zelda devait y aller première. Calire suivit sur-le-champ en fermant l’ouverture et en passant le flambeau à la reine en lui rappelant bien de ne pas faire des bêtises. Zelda avalait sa salive et s’apprêta à descendre.

Plus qu’ils avançait, plus le bruit d’un courant d’eau parvenait aux oreilles de la reine. Quand ils avaient atteint le sol après quelques minutes, elle remarquait qu’ils se trouvaient à présent dans une grotte garnit d’une source d’eau.

— Il faut bien que l’eau entourant votre château provienne de quelque part, expliquait Calire.

La reine le fixait un bref moment.

— Où m’emmenait vous ? demandait-elle.

— Chez un ami, fut la seul réponse.

Il reprit le flambeau et le couple continuait leur route, Zelda toujours devant le médecin. Après quelques minutes ils arrivaient à l’endroit où l’eau sortait. Le chemin y faisait une bifurcation à droite, le médecin désignait à la reine de continuer à suivre le chemin. Sans dire un mot la reine obéissait. De nouveaux minutes passaient avant qu’ils atteignirent une longue fente se serpentant un chemin en haut du mur rocailleux. La lumière du jour y pénétrait. Calire éteignit le flambeau.

— Cela devait être assez large pour qu’on puisse y passer, expliquait-il, cette fois-ci je vais y aller d’abord, le chemin de derrière vous est de toute façon barré.

Il posait les reste du flambeau par terre, et s’apprêta et sortir. Une fois fait, Zelda suivit. De toute façon elle ne pouvait pas faire grand-chose. Calire avait dit juste. Il faisait tout pour qu’elle ne puisse pas lui échapper.

Quand elle fut dehors également Calire se retournait pour continuer leur route. Mais ils s’arrêtaient net. Zelda, essayant d’enlever la poussière de sa robe, l’observait alors intriguée. Sur le visage du médecin se lisait de la surprise, ensuite un mélange entre la tristesse, la rage, mais surtout la détresse. Il fixait quelque chose. La reine suivait son regard.

Devant eux se trouvait un homme, du moins une moitié de l’être était humain. L’autre moitié brillait d’un gris vif et à la place d’un œil sur ce côté, l’être possédait une sorte de boule rouge. Comme main l’homme possédait d’une lance. Le côté humain, quant à lui, possédait de longs cheveux bruns et d’un œil vide de toute présence d’esprit et d’âme. Pour finir, Zelda remarquait sur ce côté des traits de visage ressemblant étrangement à ceux du médecin.

— Mon dieu…, murmura ce dernier avec un mélange de surprise, de tristesse, de la haine, non…non… qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? Petit frère, qu’est-ce qu’ils t’ont fait ?!

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