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Parle en français stp. (07/10/2007 - 20:57)
MeCarana, fervent défenseur de la langue de Molière, prie Goddot d'user d'un parler correct.

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Chapitre 17 – Adieu Navi !

Link se réveillait surpris de ne pas être mort. Il souffrait d’un petit mal de tête, mais sinon il ne lui manquait rien. Ryaon avait dû l’assommer avec le plat de sa lame. Perplexe il regardait autour de lui. Il se trouvait dans un château, à voir l’architecture de la salle. Mais la couleur noire qui était trop mise en évidence ne laissait rien prédire de bon. Il était tombé dans un piège. Sans aucun doute.

L’héros du temps se mettait débout, et décidait d’inspecter un peu plus la salle. Vu que devant et à côté de lui ne se trouvait rien à part des piliers et des murs, il se retournait et eut le souffle coupé voyant la scène morbide devant lui :

Posé un peu partout dans la salle se trouvait des têtes des êtres autrefois vivants. Mais pas n’importe quelles têtes ! Link reconnaissait entre autres des amis, Malon, Anju, Kafei, et plein d’autres, les six sages, et il remarquait également celle de Calire, Ryaon et Vnet. Donc le guerrier ne serait finalement pas un ennemi ? Il y avait aussi des têtes d’inconnus, dont quelques unes frappaient Link :

Un homme avec des cheveux argentés et des yeux d’or, et un autre dont les couleurs étaient inverses. Un garçon avec des cheveux flamboyant, un autre avec des couleurs de la lune…

Au milieu de la salle trônait deux petits piliers, découvert avec du satin noir. Celui de droite était vide, mais sur celui de gauche reposait la tête de Zelda, les yeux privés de vie, posés sur l’héros. Ce dernier sentit son estomac rebeller face à cette scène. Avec beaucoup d’effort, il s’approchait du pilier droite pour pouvoir lire ce qu’il y avait gravé : L’héros du temps.

Donc ce pilier lui était destiné… Link avait la soudaine envie de s’enfuir de cette salle dégoûtante. Il cherchait un moyen d’échapper, mais il n’y en avait pas. Cette salle n’avait ni de fenêtres, ni de portes et était illuminée par une lumière non existante.

— Ne cherche pas héros tu temps, il n’y a pas d’issu, expliquait soudainement une voix derrière lui.

Link se retournait sortant l’épée nocturne. Il eut un nouveau choc. Devant lui se trouvait Ganondorf… mais, il ne ressemblait pas à son ennemi juré.

En effet, le sorcier possédait à présent des yeux d’un bleu glacial à donner la chair de poule. Sa voix aussi n’était plus la même, sans parler des long cheveux du même bleu glacial à moitié transparents, lui tombant jusqu’au dos et flottant dans un vent qui n’existait pas. Pour finir il était enveloppé d’une aura, également de ce même bleu, et il dégageait de soi un pouvoir extraordinaire.

— Link, tu es le seul qui me manque dans ma collection. Me ferais-tu donc l’honneur de te faire une tête plus petite ? Ne t’inquiète pas, cela ira vite.

Ganondorf riait, mais Link ne reconnut pas celui de son ennemi juré. Comme s’il était un étranger.

— Adieu Link, le seul obstacle avant le pouvoir absolu ! dit l’étranger avec un air triomphant.

Ensuite il murmura quelques mots inconnus, mais tellement rapidement que Link n’avait pas le temps de bouger le petit doigt. La prochaine chose qu’il vit était cette couleur bleu l’entourant, la prochaine chose qu’il ressentit une immense douleur provoqué par des couteaux non existant qui s’enfonçait dans chaque millimètres de sa peau. Link criait, hurlait à tue-tête, comme un fou, fasse à cette douleur inimaginable, essayant de retirer ces couteaux invisibles. S’il ne le réussissait pas, il mourrait…

— Link !

Le héros ne captait que lentement que quelqu’un lui parlait.

— Mon dieu, Link calme toi !

Il sursautait quand il ressentit les deux mains posées sur ses épaules. Le bleu glacial disparaissait lentement et cédait la place à un Vnet les yeux ouverts de terreur et le visage entièrement pâle pareil qu’un mort. Lentement il le laissait, il tremblait. Link regardait autour de lui. Il se trouvait dans leur chambre, au château d’Hyrule. Il avait dû faire un cauchemar… Il secouait la tête. Pourtant la douleur était si réelle…

— Tu m’as foutu la trouille, murmura Vnet alors, tu as soudainement commencer à hurler tel un torturé. C’était atroce. J’aurais parie que tu étais en train de mourir ! Cela m’étonnerai que tu n’aies pas réveillé le château entier !

— J’ai…j’ai fait un rêve…horrible, murmura Link, s’accrochant à son linge. L’apparence de Ganondorf ne voulait pas quitter son esprit. Comme il avait l’air…tellement étrange, tellement sinistre, tellement puissant.

Alors, on toquait à la porte. Vnet avait eu raison, Link avait réveillé le château entier. Bientôt une Zelda et un Calire inquiet se tenaient autour de son lit, sans oublier Ryaon assis sur le lit de Vnet, les béquilles allongées à côté de lui.

— Qu’est-ce qu’il y a ? demanda Zelda directement.

— Un cauchemar, conclut Calire avant que le héros eût le temps d’ouvrir la bouche. Il se contentait alors d’incliner la tête. Calire leva alors un peu la tête.

— Mieux vaudrait le raconter. Je vois qu’il pèse lourd sur ta conscience. J’en ai fait l’expérience, qu’il vaut mieux raconter que l’enfuir en soi, lui expliquait le médecin, je ne répare pas seulement le corps mais aussi l’âme, donc je peu me baigner un peu dans une certaine expérience acquise….

Link regardait intrigué le médecin. Mais il se décidait tout de même de raconter son rêve. Enfin, à ce qu’il se souvenait. L’apparence de Ganondorf, ainsi que cette atroce douleur. Il mettait surtout beaucoup de soins dans la description du vil sorcier, aimerait-il donc bien que les autres arrivent à partager sa crainte. Zelda devenait encore plus inquiète, car il était sûr et certain que ce n’était pas un cauchemar ordinaire. Même Calire semblait légèrement surpris.

— Ven… commençait-il puis s’interrompit, et reprit soudainement : Vraiment étrange.

Link fixait Calire le regard perplexe. Ven ? Venon ? Soudainement Link se souvenait d’une question.

— Venon ! s’écria-t-il légèrement en fixant Ryaon, qui est-ce ? Qui est-ce ? Cet homme sous l’ordre duquel tu es ? Cet homme qui me semble être un ennemi.

Ryaon observait Link un moment.

— Je ne suis plus sous son ordre, expliquait-il simplement et détournait son regard.

— Mais on a le droit de savoir, Zelda et moi ! s’écria Link, nous avons le droit de savoir ! Nous sommes amplement attiré dans cette histoire pour que nous puissions exiger des réponses à nos questions !

Ryaon et Calire échangèrent un bref regard. Celui de Link glissait alors sur Vnet, qui semblait encore plus pâle qu’auparavant, et son regard montrait une telle peur qu’il aurait dit de la pure folie. Mais pourquoi ?

— Il a raison, affirmait Ryaon.

Le médecin se retournait alors vers les deux Hyliens.

— Quelles sont donc vos questions ? demanda-t-il. Aucun son dans sa voix trahissait, indiquait au couple ce que ressentait le médecin.

Maintenant la reine et l’héros du temps se regardaient. Chaque question devait être retournée plusieurs fois avant d’être présenté à Calire. Et également, il fallait s’être conscient de l’ordre des questions. Les plus importants d’abord, car qui savait ce qui pouvait se passer soudainement ? Ils avaient déjà eu tant de surprises… Mais, comment savoir laquelle était la question la plus importante ? Il y en avait tant !

— J’attends, pressa Calire.

Link décidait alors de commencer par le début. À quoi poser des milliers de question si on ne savait même pas quelle est leur situation, et celle de l’ennemi ? Tout d’abord qui était l’ennemi ? Il présenta cette question à Calire.

— Ganondorf, répondit Calire aussitôt, puis ajoutait après un moment d’hésitation : … et Venon. Du coin de l’œil, Link vit Vnet qui sursauta net.

— Et qui est ce Venon ? continuait Link son interrogatoire.

Vnet s’enveloppait dans son manteau, encore plus pâle. C’était donc bien au nom de Venon que le jeune homme réagissait ainsi… Calire semblait visiblement hésiter avec la réponse. Parce qu’il ne voulais pas ? Ou bien parce qu’il ne savait pas comment répondre, ou encore parce qu’il ne le savait pas tout court ?

Bref, ce que Link pouvait s’être sûr, était qu’il n’aurait pas pour si tôt une réponse à sa question. En effet, soudainement quelque chose toquait à la fenêtre de la chambre. Tout le monde fut étonné, à part Ryaon. Ce fut également celui-ci qui allait ouvrit. Une boule rose fila dans la chambre pour aller s’écraser dans le mur opposé quelques centimètres à côté du visage de Vnet. Ce dernier la prit doucement dans les mains. Plus rien de son comportement étrange n’était visible.

— Navi ! s’écriait Link, qu’est-ce qui se passe ?

Après que la fée s’était remise du choque, elle racontait excité à la ronde ce qui lui était arrivé.

— C’est horrible ! Horrible ! commençait-elle, d’abord Zelda qui disparaissait et maintenant ça ! J’étais partie pour la forêt Kokiri. Je voulais voir Saria, après…après la disparition de Zelda, pour voir si elle allait bien. Mais…mais…

La fée s’interrompit, visiblement trop choquée. Cela n’accrut qu’un très mauvais pressentiment de Link. Jamais elle l’avait vu dans un tel état. Après quelques minutes Navi reprit :

— La forêt a disparut…entièrement… il n’y a plus rien qu’un blanc brouillard très dense…

— Il faut y aller voir ! s’écria Link, directement !

— Je t’accompagnerai, proposait Ryaon aussitôt, mais l’idée ne plaisait guère à Calire.

— Oh non mon cher ! Tu restes ici ! Jusqu’à ce que tu sois guéri entièrement ! interrompit-il visiblement mécontent, tu as déjà pensé à moi ? A ce pauvre médecin qui doit passer à chaque fois une nuit blanche à cause de tes conneries ? Parce que m’sieur trouve bien plus palpitant de se couper un bras entier pour arroser un squelette idiot, bien qu’il savait qu’une simple goutte aurait suffit ? Ah non mon cher ! Je proteste ! Je ferais la grève s’il faut, sacré macho du service !

Ryaon observait son ami puis répondit :

— Je ne le trouve pas palpitant.

— Non bien sûr que non… mais…, Calire se tut, il faudrait peut-être revenir au problème, reprit-il.

— Je suis volontiers à accompagner Link, proposa Vent alors, si ce dernier n’a rien de contre.

Link secouait la tête. La compagnie de Vnet lui était bien plus agréable que celle de Ryaon ! Navi décidait également de les accompagner. Ni Zelda, ni Calire protestaient, mais leur souhaitaient simplement bonne chance. Link vit que Zelda était visiblement désorientée par les événements. Link s’approchait alors d’elle est posait ses mains sur ses épaules.

— Ne t’inquiète pas, tout finira bien, lui chuchota-t-il dans l’oreille avant de poser un léger baiser sur le front de la reine. Après quoi, il partit sur le dos de sa fidèle monture, avec Vnet qui s’accrochait à l’héros pour ne pas tomber du cheval. Zelda observait la silhouette d’Epona fondre avec la nuit. Puis elle se retournait vers Calire, mais ce dernier ne se trouvait plus à son côté. Devrait-elle s’en réjouir ou non ? Elle le cherchait dans le château entier, espérant le trouver pour lui poser des questions. Sans succès. La chambre qu’il partageait avec Ryaon était fermée à clé et aucune lumière n’y était allumée. Ils s’étaient peut-être recouchés. Ce fut alors qu’elle remarquait l’énorme fatigue qui la torturait. Elle décidait de faire pareille que les deux hommes mystérieux et regagnait ses dortoirs.

Quant à Link et Vnet, il galopait le reste de la nuit sans pause. Link essayait de questionner Vnet :

— Sais-tu ce qui c’était passé ? Comment on est revenu moi et Ryaon ?

— Oui, murmura Vnet, Calire m’avait soigné, ensuite il m’a raconté ce qui s’était passé. Quand Zelda était réapparut, Calire a essayé de vous renvoyer dans le monde actuel, ce qu’il avait réussit. Ryaon, sachant cela t’as assommé.

— Pourquoi ? demanda Link.

— Qu’est-ce que j’en sais ? répondit Vnet un peu plus rapidement qu’il avait voulu. Link se taisait alors.

Ils arrivèrent devant la forêt Kokiri à l’aube. De l’entrée se dégageait déjà la dense brume blanc. Navi sortit alors du bonnet de Link.

— La voilà ! s’écriait-elle, j’espère que Saria va bien. Et l’arbre Mojo ! Ô mes déesses ! Link, je ne peux plus attendre ! Il faut que je joigne l’arbre Mojo !

Avant que l’héros pouvait dire le moindre mot, la voilà partit. Il voulait la rejoindre aussitôt mais Vnet le retenait.

— N’y entre pas ! murmura-t-il.

— Pourquoi ? Ce n’est qu’une brume ! rétorquait-il.

Vnet secouait la tête.

— Attends, murmura-t-il et s’approchait de l’entrée. Juste avant il s’arrêta. Il leva sa main et le posait contre la brume. Étrangement Link vit pour un moment un mur invisible briller sous une lumière inexistante. Après quelques instants, Vnet se retournait.

— C’est bien ce que je me pensais, murmura-t-il, puis s’adressait à Link.

— Ce brouillait est tout sauf ordinaire, commença-il, cette brume à la faculté de rendre inexistant tout ce qui s’y trouve, tout ce q’elle avale, tout ce qui y entre. Ces choses ou êtres arrêtent d’exister dans le présent, ainsi que le passé et le futur même dans les souvenirs des êtres l’ayant connu. Tu as sûrement oublié la fée, Navi, je parie ?

— Qui ? demanda Link intrigué.

— Tu vois… murmura Vnet, les humains oublient le plus rapidement, les fées eux non. C’est pour ça qu’elle pouvait se souvenir encore de cet arbre Mojo et cette Saria, mais tu toi t’en souvienne plus.

Link le regardait d’un air ahuri.

— De quoi tu parles ?

— Où nous trouvons-nous ? demanda Vnet

— Qu’est-ce que j’en sais ? Devant l’entrée où sort ce brouillard, répondit Link mécontent.

Vnet ne répondit pas mais se retournait vers l’entrée et murmura pour soi :

— Quand Navi était venu, le brouillard ne devait pas encore s’avoir répondu dans toute la forêt. Mais c’est triste… Tout un endroit oublié…à jamais… pauvres habitants…pauvre fée, Navi… jamais ils ne reviendront dans le souvenirs des gens… comme c’est triste.

Un sourire mélancolique s’affichait sur le visage du jeune homme.

— Parfois je regrette de ne pas pouvoir oublier…

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