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Chapitre 14 – L’ange déchu

Le soleil s’était à peine levé quand Link se réveilla d’un sommeil agité. Pas qu’il ne se sentait pas à l’aise dans ce grand lit, au contraire. Mais il avait attendu le jeune hommes des mines après le dîner. Or, bien après minuit, il n’était toujours pas revenu de sa promenade nocturne. Finalement Link s’était endormit. Et là, la première chose qu’il faisait était de glisser son regard sur le lit vis-à-vis de lui. Vide.

Vnet où était-il ? Était-il déjà debout ? Quelque part dans le château ? Link s’habilla en pensant au jeune homme. Il n’aurait pas pu dire pourquoi, mais ce jeune homme lui tenait au cœur. Déjà qu’ils se ressemblissaient un peu physiquement, surtout à cause des habits. En plus Link avait un pressentiment… que la destinée de Vnet et la sienne était ralliée…

Link descendit aux cuisines pour se renseigner sur le déjeuner et si Vnet n’était pas passé par hasard. Pour le déjeuner, chacun pouvait manger quand il le voudrait. La reine refusait de déjeuner en compagnie des deux étrangers Calire et Ryaon. Et Vnet n’était plus vu depuis ce soir, après le dîner.

Link s’inquiètait. Où était-il passé enfin ?! Il décidait de le chercher. Avec une tartine dans la bouche, il commençait le jour par fouiller le château, à questionner les gens. Mais personne ne l’avait vu, et Link ne le trouvait pas. Étrange… où était-il passé ? Il n’aurait tout de même pas passé la nuit sous la lune avec son mal à l’aise dans les châteaux ?

Link croisait alors Calire et Ryaon marchant dans les couloirs du château. Calire avait l’air de rêvasser, Ryaon regardait de sa façon monotone.

— Dites, vous n’auriez pas vu Vnet par hasard ? questionnait-il les deux hommes.

Calire sortit de sa rêverie lentement.

— Non, répondit Ryaon monotonement.

— Qui a-t-il avec lui ? mumura Calire.

— Il a disparut, répondit Link simplement. Une lueur d’inquiètude s’enflamma un instant dans les yeux de Calire.

— As-tu chercheré partout ? demanda Calire.

— Partout, à part dans le jardin royal, répondit Link.

— Hé ben, allons-y le fouiller ! proposait Calire, nous t’aiderons !

Soutenu par les deux amis, Link chercherait dans l’immense jardin, avec toutes ses fleurs fleurissant, dans l’ensemble formaient des motifs, ses arbres centenaire. Il gardait néaumoins de la distance entre Calire et lui, se souvenant encore bien de la scène hier soir. Il savait que Zelda avait raison, il le savait de toute son cœur, mais le médecin lui… lui inspira également confiance. « C’est son arme ! » avait dit la reine. Son arme… il ne devait pas lui faire confiance, en tout cas pas entièrement… Mais maintenant, il fallait trouver Vnet.

Soudainement, il trébuchait sur quelque chose. Avec un « kling » l’objet volait quelques mètres plus loin. En pestant Link regardait l’objet maléfique. Un saphir ! Aucun doute, Vnet était passé par ici ! Link laissait glisser son regard autour de lui. Il remarquait d’autres saphirs, dispersés un peu n’importe comment. Un signal d’alarme retentait dans la tête de Link. Vnet ne laisserait jamais ses saphirs traînés ainsi ! Ce n’était pas dans la nature du jeune homme ! Un mauvais pressentiment s’emparait de Link. Il était arrivé quelque chose à Vnet, il s’en était sûr !

— Vnet, cria-t-il, Vnet !

Il se trouvait quelque part ici, il n’en doutait pas ! Il courrait comme un fou dans le jardin royal, recoltant les saphirs en espérant qu’ils le meneraient vers le jeune homme. En effet, soudainement, il entendit un gémissement. Le héros du temps courrut dans la directioj d’où le son provenait. Il voyait un bout de tissu bleu sortir d’une grande haie. Le manteau de Vnet ! Avec une boule dans la gorge, grâce à son mauvais préssentiment qui accroit, Link l’inspecta de plus près, et finissait par sortir le jeune disparut, mais dans quel état ! Il était recouvert de sang et de blessure ! À le voir ainsi Link n’eut aucun doute qu’il avait plusieurs membres brisé. Ses vêtements bleus étaient presque entièrement rouge et déchiré !

— Link… gémissait le jeune homme.

— Vnet ! Que c’est-il passé ? murmura Link terrifié.

— Un…un serviteur, murmura-t-il, de…de Ganon…dorf…

Ganondorf ? Ici ? Un serviteur ? Passerait-il encore une fois à l’attaque ? Non… impossible ! Link serrait les dents.

— Il faute de soigner, dit-il, je vais chercher le médecon royal.

Link se leva, mais difficilement Vnet s’accrochait à sa botte.

— Non…, murmura-t-il, Calire…meilleur…médecin…

D’ailleurs ce dernier apparaissait comme par miracle : Soudainement il se trouvait à côté de Link qui sursaute en le voyant. Le médecin se penchait vers lui, le regard inquièt. Après l’avoir examiné, il s’adressait à Link.

— Il faut le soigner le plus vite possible, mais mes outils se trouve dans la pièce où moi et mon ami reposent actuellement, dit-il, pourrais-tu m’aider à l’y emporter ?

Link inclinait la tête. Ses outils ? Il n’avait vu aucune poche ou autre chose avec lequel il aurait pu apporter des outils ! Les petites poches dans sa veste… bref, il fallait soigner Vnet ! Et il pourrait toujours laisser venir le médecin royal….

Link voulait soulever Vnet, quand soudainement le ciel s’assombrit. Mauvais signe, très mauvais. Par instinct, Link se remettait immédiatement debout, et regardait autour de lui, sur ses gardes. Son épée et bouclier reposait dans sa pièce. Une lueur noir s’efonça soudainement du ciel vers le jardin royal. Calire faisait quelques pas en arrière. Quand la lumière avait disparut, un homme se tenait là, fière et froidement… enfin in homme… un ange plutôt. Des immenses cheveux noir profond tombait sur son dos et ses énormes ails dépliés. La tunique noir également qu’il portait une langue tunique, déchirée. Au dessus de la tunique, il portait une cape mauve sombre, en velours. Ses yeux froid, dont l’iris était tellement sombre que la pupille fixait Link d’un regard déterminé. Pour finir une couronne en argent reposait sur sa tête, et dans sa main droite, il tenait un sceptre, dans le bout représentait une tête de mort. Link apercevait également huit autre silhouette semblable derrière l’ange.

— Héros du temps, déchirait la voix froide de l’être le silence en plantant son sceptre vers la direction de Link, vous vuos trouvez devant le roi des anges déchus. Chymes, de la mort.

Link gardait son sang froid. Un ange déchu de la mort ? Cela le rendait perplexe. Il ne savait pas ce que c’était, mais il savait qu’il ne devait pas laiser apparaître de l’incertitude ou quoi que ce soit d’autre.

— Que me veux-tu ? demanda-t-il.

Chymes leva un peu la tête, son regard supérieur reposant sur Link.

— Un au passé, un au présent, un au futur. Trois dans les mondes cohérents, trois dans les mondes incohérents. Nous t’attendons, héros du temps !

Un éclaire déchirait le ciel, aveuglait Link et Calire pour un moment. Quand ils pourrent revoir, Chymes, ainsi que les huit silhouettes avaient disparut.

Link restait perplexe. Que ce passait-il ? Un ange déchu ? De la mort ? Mais qu’est-ce qui était un ange déchu ? Des mondes cohérents, incohérents ? Toute cette scène restait un mystère complète pour lui.

— Link, il faut s’occuper de Vnet ! lui rappelait Calire gentiment.

Les pensées du héros se détournaient de l’évenement précedent. Oui, le jeune homme était bien plus important que cet anges déchu. Qui disait qu’il devait aller à la rencontre d’eux ? Et pourquoi ?

Link souleva Vnet doucement de la terre. Il avait perdu connaissance. Ensemble avec Calire et Ryaon, qui les avait retrouvé à un moment, ils quittèrent le jardin royal. Or, ils n’allèrent pas loin. Une boule rose volait rapidement et n’importe comment à la direction des hommes et fini par s’écraser dans la poitrine de Link et tomba sur Vnet.

— Navi ? demanda Link étonné, qui a-t-il ?

— Un malheur vient jamais seul, murmura Calire.

La fée secouait la tête à cause du choc pour s’adressa, excitée à Link :

— Link ! Link ! C’est horrible ! Horrible ! Zelda ! Elle…elle, bégayait-elle.

— Qui a-t-il avec Zelda ? demanda Link terrifié.

— Elle…elle disparaît ! répondit le fée désespérée.

Rapidement, Link deposa Vnet dans les bras de Ryaon, puis il fillait dans la direction des dortoirs de Zelda.

La fée avait raison. Quand il entra dans la pièce, Zelda se tenait à genoux, moitié transparente.

— Zelda ! cria Link choqué puis se pressait de la rejoindre. Il voulait la prendre dans ses bras, mais il n’arrivait pas à la toucher. Ses mains la traversaient tout simplement

— Link… aide..aide-moi ! murmura Zelda, les larmes aux yeux et la visage désespéré. Puis, elle avait complétement disparut.

— Zelda… Zelda ! Non…, murmura Link choqué. Que se passait-il ?

— Zelda est morte, entendit-il soudainement Calire à côté de lui. Terrifié, il se retournait. Le médecin repeta :

— Zelda est morte.

Link secouait la tête. Morte ? Comment. Et puis qu’est-ce qu’il en savait, lui ? Un simple médecin ! Soudainement il se rappelait les parols de Zelda. La confiance était son arme. Peut-être saurait-il tout de même plus ? Le médecon s’expliquait :

— Un au passé, un au présent, un au futur. Ainsi furent les paroles de Chymes. Si Zelda a disparut, cela est une conséquence d’un évenement du passé. Un évenement qui l’a fait disparaître au présent. En court : Elle a été tuée, ou est sur le point d’être tuée dans le passé.

Lentement Link captait les paroles de Calire. Quelqu’un au passé l’a tuée. Chymes. Anges déchus. Zelda. Tout se mélangeaient dans le tête du héros. Et ce fut avec peine que le héros réussissait à faire une seule pensée clair dans se chaos : Il ne devait pas venir à la rencontre des anges déchus, ils l’obligeaient à venir !

— Comment, comment aller dans le passé ? murmura Link, avec l’ocarina du temps ?

— Non, pas avec l’ocarina du temps, répondit Calire, avec elle tu ne pourrais pas choisir le temps du passé où tu attireras. L’ocarina le choisit au hasard. Il y a une façon plus simple et plus difficile en même temps.

Link était tellement desorienté qu’il ne se posait même pas de question sur le fait que Calire sache autant sur l’ocarina du temps, l’objet detenu dans le famile royale depuis des générations.

— Quel est se moyen ? demanda Link.

— Il me faudra une boule Thérméhen, expliquait Calire, avec elle je serais à l’aise de t’envoyer au juste moment du temps. Par contre je ne pourrais choisir l’endroit où tu apparaîtrais.

— Une boule téméquoi ? murmura Link.

— Thérméhen. Une boule en crystal qui représente l’univers. Or, elle est presque introuvable. J’en ai vu une pendant toute ma vie.

Un boule avec l’univers ? Link fouillait dans ses vêtements et sortit la boule que Vnet lui avait offert et la tenait à Calire. Aucun trait de son visage trahissait ses sentiments fasse à l’apparition soudaine de cette boule extraordinaire.

Soudainement Ryaon se tenait dans l’encadrement de la porte, avec les affaires de Link.

— Vnet repose dans sa pièce, expliquait-il.

Calire hochait la tête. Puis il s’adressait à Link.

— Écoute bien, Link. Ryaon t’accompagnera. Il est privé de sentiments, certes, mais cela n’accroît que sa logique et sa stratégie. Il te sera un compagnon util et indispensable. Grâce à sa monotonie il peut voir clairement dans des situations où d’autres auraient déjà perdu la tête… Je vais donc vous envoyer au passé. Donnes-moi la boule, je t’en prie.

Lentement Link la tendait à Calire. Quelque chose n’allait pas. Calire maîtrisait cette situation comme s’il en était habitué. Vnet semblait être oublié. Il se passait quelque chose, au déla de sa compréhension. Et il n’avait pas le droit de demander maintenant. Zelda était piroritaire.

— Vous êtes prêt ? demanda Calire.

Link et Ryaon hochait la tête.

— Bien…

Calire fermait ses yeux, tendit sa main avec la boule en avant. Une douce aura blanche commençait à se former autour de lui, laissait flotter ses vêtements et ses cheveux. La boule, elle-aussi, commençait à briller, se soulevait de quelques centimètres et flottait au creux de la main du médecin.

— Thérméhen in feren furno héméhe in cassio manti ! prononçait Calire, articulant chaque mot précisément.

Tout commençait à tourner autour de Link, rapidement. Il sentit qu’il était pris par le vertige. Puis, soudainement, le noir régnait autour de lui.

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