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Chapitre 12– Retrouvailes

Link, Vnet ainsi que Navi chercherait déjà tout l’après-midi. Ils voulaient d’abrd chercher dans le désert, mais la marche était longue jusqu’à la fortesse Gérudo. Vnet refusait gentiment à la demande de Link, de monter sur Epona, et il refusait également d’enlever ses vêtements en fourrure. Mais étrangement, le jeune homme ne semblait pas souffrir de chaleur cette fois-ci… Tout de même… si Link repensait à son état d’avant…

Navi se reposait dans le bonnet de Link, sa place préférée. Ils se trouvaient actuellement une demi journée d’Hyrule et du désert. Et le destin voulait qu’ils ne s’en approchait plus davantage.

Soudainement Vnet s’arrêtait dans sa marche, regardant stupéfait devant-soi. Link suivit son regard, mais ne vit rien au débout. Mais lentement, il observait alors, deux silhouettes se détacher de l’horizon. L’une d’entres elle portait quelque chose…ou plutôt quelqu’un. Les silhouettes s’approchaient de plus en plus, et Link pouvait reconnaître des détails plus nets, entre-autres que l’une d’entre elles, était entièrement blanche.

Lui et Vnet attendait étonnés les deux hommes qui s’approchaient. L’autre, avec des cheveux blond portait quelqu’un, et Link eut le souffle coupé quand il vit qui il portait.

En effet, déjà de loin, Link reconnaissait le signe de Triforce briller sur la main de la personne.

— Zelda ! s’écria-t-il soulagé et stupéfait, Zelda !

Il ordonnait à sa fidèle monture d’aller à la rencontre des inconnus au galop. Vnet suivit plus lentement.

Les deux hommes s’arrêtaient quand ils virent le cheval s’approcher.

— Zelda ! Comment va-t-elle ? cria Link, en sautant d’Epona.

— Ne t’inquiète pas, Link. Elle n’a rien, dit l’homme en blanc, elle se réveillera dans quelques heures. Laisse-lui ce repos.

Link regardait l’homme en blanc stupéfait. Puis il demanda :

— Où l’avez-vous trouvée ?

L’homme regardait l’héros du temps, avant de répondre après quelques instants :

— Proche du désert.

Link ne savait pas pourquoi, mais cet homme dégageait quelque chose de soi qui calmait Link et qui lui disait que ses paroles étaient la vérité.

— Qui êtes-vous ? demanda l’héros alors.

— Calire, se présentait l’homme en blanc, et à côté de moi, Ryaon.

Link fronçait les sourcils.

— Calire ? … Salade Calire ? murmura-t-il en se grattant la tête, quelle étrange idée d’appeler quelqu’un comme un salade…

Cette fois-ci ce fut à Calire de regarder étonné. Vnet, qui avait fini de les rejoindre, expliquait alors à l’héros :

— Et si on a appelé la salade par le nom de son créateur ? lui proposait-il. Link avouait que cette idée tenait plus debout que la sienne. Le regard de Calire glissait alors sur Vnet qui évitait son regard.

Link examinait alors l’ami de Calire, Ryaon. Tout comme Zelda, il eut des frissons sur le dos. Quels yeux monotones !

— Il n’a pas de sentiments, lui chuchotait Calire.

— Atroce… fut le seul commentaire de Link.

Calire haussait simplement les épaules, sans dire un mot. Navi, réveillée par des sécousses, dues à cause de l’agitation de l’héros du temps auparavant, avait observé la scène, et décidait maintenant d’intervenir :

— Je ne veux pas être impolie, mes cher monsieurs, mais ne faudrait-il pas penser à rentrer ? Sinon on arrivera trop tard, et il vaudrait mieux apporter notre reine au château. Qu’en dites-vous ?

Tout le monde confirmait. Ryaon laissait glisser la reine dans les bras de Link, qui l’installait prudement sur Epona, puis il montait lui-même. Navi s’adressait encore à Calire et Ryaon :

— Pourriez-vous venir avec ? Il y a un récomprense pour celui qui retrouve la reine. De même que vous semblez venir de loin. Je ne vous ai jamais vu ici.

Calire regardait ave un air peu surpris.

— Oh ! dit-il, en effet, nous ne sommes pas d’ici. Mais nous voulons pas vous être un fardeau.

— Mais vous l’êtes pas !, intervenait Link, au contraire, vous avez sauvez Zelda ! Vous méritez une recompense !

Après avoir insisté encore quelques minutes, Calire abondonnait, et lui et son ami accompagnait le trio.

Au château, les gardes étaient fous de joies quand ils virent leurs reine bien aimée. Ils invitaient Link et les autres à passer la nuit au château. Encore une fois Calire essayait de s’échapper, mais finalement, il était obligé de rester.

Vnet admirait le château, impressionné. Et Link aussi se sentit à chaque fois un peu étrange, quand il passait dans le château, et ses immenses piliers décorés, les tableaux, le murs de marbre, les tapis riches décorés…

Et alors les chambres ! Link et Vnet avaient une pour eux, Calire et Ryaon également.

Chaque chambre possédait de deux baldaquins, avec des ornament d’orés et argentée, des rideaux en velours.

Sur le sol se trouvait un tapis épais, et un feu pétillant dans une cheminée rendait l’atmosphère agréable.

Le matelas et les coussins étaient tellement moux que chacun aurait pu s’endormir sur place, s’aurait pu laissé emporté dans le monde des rêves, tellement c’était confortable !

En gros : On se trouvait au paradis !

— Parfois j’en veux à Zelda, si je vois tout ce lux, murmura Link quand il se trouvait seul avec Vnet. Les gardes les appeleraient quand le dîner serait prêt, mais chacun voulait attendre que la reine soit réveillé avant de le prendre. Vnet laissait glissait son regard sur les alentours du château à travers la fenêtre gothique. Leur chambre se trouvait dans une des miliers de tours.

— Moi pas, répondit Vnet, ceci n’est rien pour moi, j’ai besoin de la profondeur des minies, de leur obscurité, de leur danger pour me sentir à l’aise.

— Des mines…, murmura Link en s’allongeant sur son lit, il y en a pas ici, ni dans les alentours… D’où viens-tu ?

Vnet se laissait du temps avant de répondre. Link connaissait les mines, il en avait déjà entendu parler, mais aucune royaume autour d’Hyrule en possédait. Au contraire, pour recevoir des pierres préscieuse tel le diamant, la reine était obligée à faire du commerce avec un royaume voisin qui, lui, recevait les pierres préscieuse d’un autre royaume, trop éloigné pour Hyrule.

— Apparement le travail dans les mines est très dangereux, remarquait Link quand Vnet ne répondait toujours rien.

— Le feu aussi est dangereux. Pour celui qui le sait manier, il est un bête domestique. C’est pareil pour les mines, expliquait Vnet, puis ajouta : Je viens d’un royaume très lointain….Cela fait des années que j’y suis parti…

Avec un regard nostalgique il scrutait l’horizon. Puis, s’en lassant, et allait s’asseoir sur son lit, prenant la poche contenant les saphirs, en sortait un, et le tenait devant ses yeux, en le tournant des doigts. Quand la lumière du feu réussit à atteindre le saphir, un étrange jeu de lumière se dessinait alors sur les murs de la chambre.

— Pourquoi es-tu parti ? demanda Link alors.

— Parce que…je recherche une personne, un personne qui m’est chère, murmura le jeune homme, mais je l’ai toujours pas retrouvée…

Link observait Vnet, sans dire un mot. Il avait pas le droit de fouiller davantage dans la vie du jeune homme. Alors toqua un garde à la porte, rapportant que la reine s’était réveillée et qu’elle, ainsi que le dîner était prêt.

Son cœur faisant des bands de joie, Link se réjouissait déjà du moment où il retrouvera la reine. Cette dernière attendait déjà dans la salle à manger contenant une énorme table, où on se sentait tout à fait ridicul à cinq personnes, assis sur un bout, des dixaines de piliers pour soutenir le plafond orné avec des passages de la légende de la triforce.

— Imagines-toi de manger tout seul à une table pareille, chuchotait Vnet à Link, tu comprendras un peu mon mal à l’aise.

Link hochait la tête. Son regard était posé sur la reine, se tenant debout devant une fenêtre, habillée dans une robe en velours bleu ciel, d’orée et blanc.

Timidement, Link s’approchait de la reine. Ses pas rententirent dans la salle entière. Navi, flottant à côté de la reine, lui fit signe de se retourner. Lentement, Zelda suivit le conseil de la fée. Et c’est alors qu’ils se fixaient dans les yeux l’un et l’autre, longtemps, car ce qu’ils ressentaient ne pouvait être décrit pas des mots.

— Link, murmura la reine.

— Zelda, murmura l’héros du temps.

Link s’approchait de la reine quand soudainement un garde entrit avec Calire et Ryaon. L’attention de Zelda se tournait soudainement vers les niveaux arrivés.

— Vous ?! s’écria-t-elle étonnée en voyant Calire, puis continuait en colère : Vous osez encore me venir sous les yeux ?!

Calire leva les mains comme pour se défendre de la rage de la reine. Perplexe, Link suivit la scène. Après tout, ces hommes lui avaient sauvé la vie, et elle les engeulait ?

— Je vous ai fait confiance ! continuait-elle, j’avais cru avoir affaire à un jeune médecin qui avait ses petits secrets, mais qui était honnêt, et je n’ai pas demandé d’avantage. Un mois j’ai vécu sous le toit de deux inconnus !

— Heu…Zelda, murmura Link alors mais la reine l’ignorait.

— Je vous ai fait confiance, pour qu’après vous m’agressez lâchement de derrière ? cria-t-elle.

Aussitôt, des gardes pointaient leur lances sur les deux hommes.

— Attendez…, commençait Calire.

— Non ! J’en ai assez ! hurlait la reine, vous expliquer maintenant clairement qui vous êtes et dans tout les détails. Sans oublier votre savoir sur Ganondrof !

— Je ne vois pas de quoi vous parler, essayait Calire pour la seconde fois, je vous ai nullement agressé. Et ce Ganondrorf m’est inconnu.

Zelda voulait retorquer quelque chose, mais Link intervenait.

— Zelda ! Il y a une petite incohérance…, dit-il timidement, ils se sont passé, au pire deux semaines, mais pas un mois comme vou…tu l’as prétendu.

Zelda le regardait d’un air ahuri.

— Comment ? dit-elle.

Les gardes confirmait. En effet, deux semaines s’était écoulées, mais pas un mois !

— Elle doit être un peu désorientée, expliquait un des gardes. Les autres approuvaient, puis s’occupaient de Calire.

— Si vous voudriez bien nous raconter un peu plus d’avantage sur vous, tout de même ?

— He ben…, murmura Calire, nous avons trouvé la reine blessée dans le désert, nous nous sommes occupés d’elle. Elle était évanouie pendant tout le temps. Et quand ses blessures étaient guéries, nous avons voulu la rammener. C’est tout.

Les gardes baissèrent leur lances.

— On vous croit, lui dirent-ils.

— Non ! Il ne faut pas ! Il ne faut pas lui faire confiance ! s’écrait Zelda alors, je sais ce qui s’est passé ! Il ne faut pas lui faire confiance ! C’est son arme ! La confiance qu’on lui porte est son arme !

— Reine, il vaudrait mieux que vous vous reposiez après le dîner, expliquait un garde, cela a dû être trop pour vous.

— Mais…, murmura la reine, puis se retournait vers Link, tu me crois non ? Link !

L’héros du temps ne répondit rien. Il était visiblement trop perplexe. D’une part sa propre conscience lui disait que la reine avait tort, mais son cœur savait qu’elle ne lui mentirait jamais.

Zelda tourna alors les talents, fâchée et annonça :

— Je regagne mes doirtoires. Je n’ai pas faim.

Violement elle laissait claquer la porte derrière soi. Les restants se regardèrent, puis haussèrent les épaules, perplexes. Le dîner se passait silenscieusement en absence de la reine.

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